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Le film repose plus sur les dialogues que la mise en scène, mais offre à ses interprètes (Chesnais, remarquable, et Cottençon, délicieuse en épouse lucide) des partitions tout en perfidie délectable.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Dans ce rôle d’intellectuel grincheux fan de rock, Patrick Chesnais cabotine joyeusement : il s’amuse, lui aussi, comme un gamin. Pour son one-man-show en quasi-huis clos, il est épaulé par de vieux briscards : (Michel Aumont, Mohamed Fellag, Philippe Nahon). Qu’il soit aussi l’alter ego du cinéaste donne à ce long métrage des allures de comédie générationnelle.
Échec patent pour le dernier-né de Patrice Gautier, qui n’avait plus réalisé de long métrage depuis 1985. Intrigue fumeuse, cadres immobiles, interprète en roue libre : une déception.
"Moi et le Che" est plutôt une fausse comédie qui tangue et qui fait semblant de ne pas chercher à être comique. Elle n'est ni drôle, ni émouvante, ni réfléchie.
« Entre nous, est-ce que j’ai une tête de traître ? », s’interroge Patrick Chesnais, vaguement soupçonné d’être celui qui aurait donné Che Guevara des décennies auparavant. Et le film de dessiner poussivement, entre les quatre murs d’un appartement, le portrait d’un vieux révolutionnaire à coup de répliques historico-philosophiques assommantes et d’humour décalé ringard.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Obs
Le film repose plus sur les dialogues que la mise en scène, mais offre à ses interprètes (Chesnais, remarquable, et Cottençon, délicieuse en épouse lucide) des partitions tout en perfidie délectable.
Télérama
Dans ce rôle d’intellectuel grincheux fan de rock, Patrick Chesnais cabotine joyeusement : il s’amuse, lui aussi, comme un gamin. Pour son one-man-show en quasi-huis clos, il est épaulé par de vieux briscards : (Michel Aumont, Mohamed Fellag, Philippe Nahon). Qu’il soit aussi l’alter ego du cinéaste donne à ce long métrage des allures de comédie générationnelle.
Les Fiches du Cinéma
Échec patent pour le dernier-né de Patrice Gautier, qui n’avait plus réalisé de long métrage depuis 1985. Intrigue fumeuse, cadres immobiles, interprète en roue libre : une déception.
Le Journal du Dimanche
Si le film interpelle par son originalité, il se révèle foutraque et peine à nous arracher un sourire.
Ouest France
Pompeux et faussement décalé.
Positif
"Moi et le Che" est plutôt une fausse comédie qui tangue et qui fait semblant de ne pas chercher à être comique. Elle n'est ni drôle, ni émouvante, ni réfléchie.
Première
« Entre nous, est-ce que j’ai une tête de traître ? », s’interroge Patrick Chesnais, vaguement soupçonné d’être celui qui aurait donné Che Guevara des décennies auparavant. Et le film de dessiner poussivement, entre les quatre murs d’un appartement, le portrait d’un vieux révolutionnaire à coup de répliques historico-philosophiques assommantes et d’humour décalé ringard.