Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
15 critiques presse
Femme Actuelle
par La Rédaction
Le chic de l'Amérique des années 30, les rebonds du récit et les personnages savoureux forment un ensemble très séduisant.
Le Parisien
par La Rédaction
Chaque nouvel élément découvert par Marlowe ne fait qu’épaissir le mystère. Même la forme du film se met au diapason, avec sa musique jazzy, ses lumières tamisées, ses nuages de fumée ou l’indispensable enseigne en néon de cabaret qui se reflète dans une flaque d’eau…
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Le Point
par Victoria Gairin
Classique, mais diablement efficace.
Télé 2 semaines
par Corentin Marouby
Après une entame poussive sauvée par la mise en scène soignée de Neil Jordan, l'intensité va crescendo, le tout porté par les prestations impeccables de Liam Neeson, qui ne fait pas dans la dentelle, et de Diane Kruger.
L'Obs
par François Forestier
Petits secrets, grosses saloperies, règlements de comptes brutaux, tout est là, sous la caméra de l’Irlandais Neil Jordan. Pas de message, rien que du film, rien que du bonheur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Télérama
par Guillemette Odicino
Dans le rôle-titre, Liam Neeson ne démérite pas, violemment désabusé et un peu sardonique. Rien de nouveau sous le ciel de la Cité des anges, mais un plaisir aussi démodé qu’assuré.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Cahiers du Cinéma
par Fernando Ganzo
Le résultat est parfaitement étouffant, ces scènes en studio sagement découpées enfermant personnage et acteurs dans une structure beaucoup trop figée.
La Croix
par Céline Rouden
Liam Neeson emprunte le costume de Robert Mitchum et Humphrey Bogart pour incarner un Philip Marlowe dans un film qui parodie le genre sans convaincre.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Ce polar s’avère léthargique, plombé par un rythme languissant et une mise en scène sans tension.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par J.-F. R.
On peut ne pas bouder le plaisir un peu vain d’un pastiche agréable mais hautement volatil.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Fiches du Cinéma
par Simon Hoarau
Avec Marlowe, le réalisateur irlandais entend revisiter le film noir, mais n’en capture jamais l’essence. Au lieu de ça, il signe un film parfois confus, souvent ennuyeux.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Frédéric Foubert
Pour du L.A. noir à la fois vintage et moderne, référencé mais pertinent, old-school mais excitant, mieux vaut se tourner vers le récent Perry Mason de HBO – d’ailleurs bientôt de retour aux affaires.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 7 Jours
par Isabelle Magnier
L’hommage est plaisant. Cependant, il peut décourager, par son intrigue tortueuse et sa profusion de dialogues, les non-initiés aux romans atmosphériques de Chandler.
Le Figaro
par É.S.
Le détective privé inventé par Raymond Chandler est ici incarné par un Liam Neeson monolithique. Diane Kruger joue les femmes fatales pas du tout fatales. Seule Jessica Lange sauve les meubles. Après Le Grand sommeil, la petite sieste.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Marianne
par Olivier De Bruyn
Mais quelle mouche malfaisante l’a donc piqué ? Auteur par le passé de fictions honorables (The Crying Game, Entretien avec un vampire), le réalisateur irlandais Neil Jordan, 73 ans, rate la cible en voulant ressusciter Philip Marlowe, le personnage inventé par le maître du roman noir américain, Raymond Chandler.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Femme Actuelle
Le chic de l'Amérique des années 30, les rebonds du récit et les personnages savoureux forment un ensemble très séduisant.
Le Parisien
Chaque nouvel élément découvert par Marlowe ne fait qu’épaissir le mystère. Même la forme du film se met au diapason, avec sa musique jazzy, ses lumières tamisées, ses nuages de fumée ou l’indispensable enseigne en néon de cabaret qui se reflète dans une flaque d’eau…
Le Point
Classique, mais diablement efficace.
Télé 2 semaines
Après une entame poussive sauvée par la mise en scène soignée de Neil Jordan, l'intensité va crescendo, le tout porté par les prestations impeccables de Liam Neeson, qui ne fait pas dans la dentelle, et de Diane Kruger.
L'Obs
Petits secrets, grosses saloperies, règlements de comptes brutaux, tout est là, sous la caméra de l’Irlandais Neil Jordan. Pas de message, rien que du film, rien que du bonheur.
Télérama
Dans le rôle-titre, Liam Neeson ne démérite pas, violemment désabusé et un peu sardonique. Rien de nouveau sous le ciel de la Cité des anges, mais un plaisir aussi démodé qu’assuré.
Cahiers du Cinéma
Le résultat est parfaitement étouffant, ces scènes en studio sagement découpées enfermant personnage et acteurs dans une structure beaucoup trop figée.
La Croix
Liam Neeson emprunte le costume de Robert Mitchum et Humphrey Bogart pour incarner un Philip Marlowe dans un film qui parodie le genre sans convaincre.
Le Journal du Dimanche
Ce polar s’avère léthargique, plombé par un rythme languissant et une mise en scène sans tension.
Le Monde
On peut ne pas bouder le plaisir un peu vain d’un pastiche agréable mais hautement volatil.
Les Fiches du Cinéma
Avec Marlowe, le réalisateur irlandais entend revisiter le film noir, mais n’en capture jamais l’essence. Au lieu de ça, il signe un film parfois confus, souvent ennuyeux.
Première
Pour du L.A. noir à la fois vintage et moderne, référencé mais pertinent, old-school mais excitant, mieux vaut se tourner vers le récent Perry Mason de HBO – d’ailleurs bientôt de retour aux affaires.
Télé 7 Jours
L’hommage est plaisant. Cependant, il peut décourager, par son intrigue tortueuse et sa profusion de dialogues, les non-initiés aux romans atmosphériques de Chandler.
Le Figaro
Le détective privé inventé par Raymond Chandler est ici incarné par un Liam Neeson monolithique. Diane Kruger joue les femmes fatales pas du tout fatales. Seule Jessica Lange sauve les meubles. Après Le Grand sommeil, la petite sieste.
Marianne
Mais quelle mouche malfaisante l’a donc piqué ? Auteur par le passé de fictions honorables (The Crying Game, Entretien avec un vampire), le réalisateur irlandais Neil Jordan, 73 ans, rate la cible en voulant ressusciter Philip Marlowe, le personnage inventé par le maître du roman noir américain, Raymond Chandler.