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    Plaire, aimer et courir vite
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    213 critiques spectateurs

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    Alexandre Cacheux
    Alexandre Cacheux

    57 abonnés 541 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Un film français typique. Un scénario mince étiré au maximum et qui tourne donc en rond. Heureux de se contempler.
    Le film souffre considérablement de la comparaison avec "120 battements par minute". Alors que l'un transcendait son sujet et provoquait des réactions considérables, l'autre s'embourbe et ennuie rapidement le spectateur.
    Certes la thématique n'est pas tout à fait la même, mais la cadre général si.
    Cependant l'interprétation sauve l'ensemble. On regrette que le rôle de Denis Podalydés soit si ténu.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 20 mai 2018
    J'avais adoré les chansons d amour que j avais été voir 2 fois au cinema. Dans ce nouveau film je n ai ressenti aucune émotion ni empathie pour ses personnages. Des longueurs et encore des longueurs et une logorrhée pathétique.j ai tout de même apprécié le jeu des acteurs mais je me suis malheureusement beaucoup ennuyée.
    Christophe R
    Christophe R

    29 abonnés 465 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2018
    " Plaire, Aimer et Courir Vite "... vaste programme et des promesses à tenir... Le film de Christophe Honoré présente, selon moi, un défaut majeur : il est très (trop ?) écrit. Certains dialogues passent au forceps uniquement grâce au talent remarquable (et ce n'est plus une surprise) du fabuleux Vincent Lacoste (je ne suis pas loin d'être fan car il a encore ajouté, grâce à ce film, une corde à son arc déjà bien équipé) et du toujours très juste Pierre Deladonchamps.
    L'histoire est riche et vraiment forte. De nombreux débats s'opposent : l'amour peu-il aider à lutter contre la maladie, la maladie est-il plus fort que l'amour, quel est le lien entre l'amour physique et l'amour spirituel, l'acceptation de soi, l'acceptation des autres... bref des sujets forts, intelligents et très bien servis, encore une fois, par les acteurs principaux.
    Le film aurait pu encore gagner en émotions crues, si certaines histoires parallèles n'étaient pas venues se greffer au squelette du film (oui car 2h15 de film, même quand c'est bien, c'est long !).
    Au final un film réussi, touchant et vraiment intéressant même si pas aussi accessible qu'il aurait pu (du ?) l'être. Je pense vraiment que la promesse " Courir Vite " reste sans réponse, et c'est la note de dommage de ce film.
    cosette2010
    cosette2010

    51 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Quelques instants de grâce ont su m 'émouvoir et me rappeler mes propres expériences amoureuses, mais le film est lent et décousu, ennuyeux malgré la présence de l'adorable Vincent Lacoste. Ce film est déprimant...
    AZZZO
    AZZZO

    302 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 mai 2018
    Va pour plaire, aimer... mais pas courir vite. Pour coller au rythme du film, il ne faut être pressé, ne surtout pas courir, pas même marcher. La première partie très lente, la seconde très bavarde. Le talent de Christophe Honoré est indéniable, certaines scènes sont superbes et le jeu des acteurs est subtil (mention spéciale à Denis Podalydès) mais la plupart des dialogues sont trop écrits, comme un remake littéraire des Nuits fauves. Un film tout de même très touchant.
    pinkf
    pinkf

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 mai 2018
    Les acteurs, la reconstitution des années 90, l’évocation des années sombre de l’épidémie de VIH/sida, l’amour naissant... tout est à la fois très juste et très émouvant dans ce qui est, à mon goût, le plus beau film de Christophe Honoré
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 126 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2018
    De Christophe Honoré (2018)
    Un film fort, intense et intimiste à la fois. Une histoire de passion , de vie contée comme une parabole ou l'un prend son envol quand l'autre s'engoufre au bout du chemin de sa vie.
    La société d'alors (des années 90) est assez bien marquée par de petits riens (objets, livres) et aussi l'ambiance sonore (musiques et tubes) de l'époque. Pour autant par une certaine retenue, le film manque de cette intensité que cette histoire semble révéler . Comme aussi les jeunes du film (ce en plus en province) semblent eux aussi d'une ouverture d'esprit qui n'était peut-être pas le marqueur de ces années. Dans ce film (à l'inverse du film 120 battements sorti lui aussi en 2018) le sida et la lutte auprès des pouvoirs publics sert plus de décor et de fond de tableau. Pour marquer la difficulté d'aimer, de vivre intensément une passion amoureuse en plein marasme de santé publique. A une époque où pour beaucoup il était difficile de vivre sa sexualité quand le Sida décimait dans lres rangs des jeunes homosexuels.
    Le film enfin nous révèle le talent et la force (toute en douceur et naturel) du jeu de Vincent Lacoste. Pierre Deladonchamps est excellent et habité par son rôle où la fougue et l'envie de vivre se disputent à une certaine pudeur de s'engager plus avant comme pour protéger les autres. Sans être anecdotique Denis Podalydès campe un voisin, un ami à la fois intime qui ne juge pas.
    La in du film toute en nuance et en pudeur est comme un mirroir où les deux réalités se reflètent.
    Puss D
    Puss D

    16 abonnés 44 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 mai 2018
    Soyons clairs le sujet est grave et interessant mais comment apprécier ce film après 120 battements par minute et apres call me by your name? Le réalisateur voulant probablement s'inspirer de ces chefs d'oeuvre en tentant d'en faire un film bouleversant a complètement échoué..on en sort plutôt ennuyés ,les dialogues sont lourds ..les acteurs sont bons certes mais pas du tout convaincants dans leurs rôles mis à part Pierre Deladonchamps..un film que je déconseille vivement ..
    tupper
    tupper

    132 abonnés 1 378 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 mai 2018
    Le trio Podalydès, Lacoste, Deladonchamps est rayonnant et émouvant. Christophe Honoré parle de rencontre, d’amour, de sexe, de maladie, de souffrance au sein de ce tri. Franchement mais avec douceur, calme et pudeur. Il parle d’homosexualité sans parler d’homophobie. C’est rare et cela magnifie cette histoire.
    floflo2204
    floflo2204

    81 abonnés 379 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 mai 2018
    Christopher Honoré est de retour après une longue absence qui a su place le spectateur en attente d'un film de qualité. Avec son pitch Plaire, aimer et courir vite avait tout pour plaire mais le résultat final est grandement décevant. Oui les acteurs sont excellents, Pierre Deladonchamps, Vincent Lacoste et Denis Podalydès incarnent leurs personnages avec grande justesse et les font vivre le mieux possible à chaque instant. Mais on en revient à un constat évident, le personnages incarné par Deladonchamps est détestable au possible ce qui laisse son spectateur en dehors du film dans des moments cruciaux qui demanderaient toute son attention ou qui provoqueraient chez lui une grande émotion. Autre point fort du long-métrage, la bande originale qui est vraiment pertinente et qui sait apporter quelque chose à chaque instant. Pour ce qui est du scénario, il est très bien écrit c'est indéniable mais que de longueurs dans les dialogues qui se veulent philosophiques à souhait mais qui n'ont que pour seul effet d'abandonner le spectateur en cours de route.L'histoire est bien racontée et surement emplie de réalisme (le récit étant en partie autobiographique), il n'empêche que l'émotion que l'on devrait ressentir à chaque instant est finalement traduite par une distance étrange. La mise en scène de Christopher Honoré y est pour beaucoup, celle-ci est très froide, très distante et apporte un nombre impressionnant de lenteurs qui n'ont pas leur place dans l'histoire. Il ne fait aucun doute dans mon esprit qu'une bonne demie-heure aurait pu être enlevée compte tenu du nombre de plans inutiles. Les décors sont très beaux, la gestion de la photographie est excellente et la ville de Rennes comme de Paris sont mises à bon escient pour accompagner une histoire qui se veut tendre et sentimentale. Avec Plaire, aimer et courir vite, Honoré fait son grand retour sur la scène cinématographique mais c'est un retour sur lequel on avait peut-être trop misé et qui au sortir du film se révèle loin des standards intimistes et amoureux auxquels il nous avait habitué.
    Min S
    Min S

    58 abonnés 458 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 octobre 2024
    J’ai beaucoup aimé ce drame, des histoires d’amour douloureuses, un film qui me semble très sincère, assez sombre qd mm.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 18 mai 2018
    L’homosexualité, le SIDA et la mort. Mais sans une once d'indécente geignerie. Avec bien au contraire la valorisation d’une forme de pudeur orgueilleuse, de dignité très aristocratique, peut-être nietzschéenne, dans le rapport à la souffrance et à la déchéance. Une manière de célébrer la vie jusqu’en son crépuscule, de suivre sur leur fil les danseurs funambules qui lui disent "oui" jusqu’à la fin, y compris en se suicidant dès qu’il n’est plus possible de vivre. Car "vivre", pour un esthète hédoniste comme Jacques ou comme Arthur, c’est tout sauf subsister dans l’être-là semi-végétatif d’une vie sans flamme, sans passion, c’est tout sauf s’accrocher à l’existence vaille que vaille. "Vivre", c’est jouir, vibrer, saisir l’intensité fugace de l’éphémère, céder au jaillissement électrisant de la pulsion, se risquer dans l’ivresse des escapades et des passades, se désaxer et s’exalter dans la fiévreuse dissidence du désir d’illimité, laisser venir le frisson romanesque de l’égarement, sentir l’élan du cœur dans les frémissements du corps, cueillir les fleurs d’amour et de soyeuse volupté même si elles naissent dans l’antichambre de la mort … Et il s’agit de l’assumer, sans jamais feindre de s’en dissocier, contrairement aux jouisseurs clivés qui cherchent à se laver de ce qu’ils font, à s’excuser de ce qu’ils sont. Belle vigueur d’âme que celle d’un Jacques ou d’un Arthur. Mélange d’intégrité altière et de distanciation. Avec un net dédain pour l’indécence des geignards, pour leur posture victimaire. La vraie « fierté gay » ? Peut-être. Le film de Christophe Honoré n’en est pas moins très agaçant. D’abord parce qu’il épouse le point de vue d’un petit entre-soi de libertins intello-snobs que même le plus violent des homophobes verrait d’abord comme des « pédants », à moins qu’un jeu de mots involontaire ne les lui fasse traiter de « pédéants » ?! Parmi les scènes crispantes, l’échange téléphonique au cours duquel Arthur, qui a laissé sa dernière proie (un jeune autostoppeur) en standby dans sa chambre, reçoit de Jacques un éclairage de connaisseur sur les « 4 types de blonds », soit une version snobinarde (Whitman, Ginsberg, Auden sont convoqués) de la typologie du vieux baiseur impénitent. Certes, on en perçoit l’humour et le raffinement. Mais également la cuistrerie. "Cul-istrerie" ?! De plus, même saupoudrée d’intelligence et de clins d’œil aux beaux esprits, la sexualité consumériste d’un Jacques ou d’un Arthur n’a pas la profondeur tragique du vrai donjuanisme. Par ailleurs, et de manière plus générale, Christophe Honoré se complaît trop dans l’étalage des références. Certaines scènes du film en sont rendues artificielles et gauches. Par exemple, il y a celle où l’un des trois meilleurs amis rennais d’Arthur rebondit sur l’idée de « cruauté » en récitant par cœur tout un passage de "Dans la solitude des champs de coton", de B.-M. Koltès. Quant au personnage d’Arthur, ses airs narquois, son assurance de joli freluquet et sa petite morgue de lettré peuvent finir par fatiguer. Sans doute aussi est-ce l’acteur (Vincent Lacoste) qui en fait trop dans ce registre. Enfin, le film est exagérément soucieux de nous montrer en quoi des gays fantasques et libertins peuvent en même temps se montrer fiables et responsables. C’est le sens de la scène où Arthur, en directeur de colonie de vacances, sermonne son équipe de moniteurs fêtards. C’est aussi le sens des allusions aux qualités de Jacques en tant que père. Heureusement, les faiblesses et les travers de "Plaire, aimer et courir vite" sont pour partie compensés par la finesse du jeu d’acteur de Pierre Deladonchamps (Jacques) et de Denis Podalydes (Mathieu, voisin-ami de Jacques). Pour finir, la plus belle scène du film est celle, sublimement hallucinatoire, où Jacques, pourtant seul dans son bain, prend dans ses bras la dépouille dénudée de son ex-compagnon, Marco. Étreinte macabre, sépulcrale, mais d’une tendresse infinie.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 18 mai 2018
    Les années SIDA.on ne peut pas rester insensible. Mais que de longueurs. Lacoste et Delalonchamp sont remarquables. Selon moi, ce film omet de relater la souffrance due à la maladie et par pudeur, peut être, la non utilisation des capotes. Ce qui est beau, c'est que les scènes sont filmées sont suggérées...
    Maelle D.
    Maelle D.

    1 abonné 7 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 mai 2018
    Bon film. Mais... comme un air de déjà-vu...un mélange de 120 bpm et Call me by tour name, en moins bien. je suis restée assez passive, j’ai eu du mal à ressentir de l’émotion. Pourtant tout y est. L’alchimie n’a juste pas prise.
    Alexis R.
    Alexis R.

    6 abonnés 54 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 20 mai 2018
    Un film grave avec malgré tout une belle histoire d’amour
    Le film est un peu trop long à mon goût mais il se suit avec plaisir du fait de l’excellence des acteurs
    Mention spéciale à Vincent Lacoste qui au fil des années se bonifie de manière impressionnante et qui fait preuve de beaucoup d’audace dans ses choix de films
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