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Bobby Sander
49 abonnés
506 critiques
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4,0
Publiée le 23 août 2015
N'attendez pas d'action ou de frissons intenses. C'est un délice baroque, somptueux, prenant et sans longueurs. Sa froideur et son goût morbide "simple" m'ont charmé. Vraie réussite, en revanche la fin fait désuet (il tombe dans l'eau... yahou!). C'est même un vilain point noir, surtout qu'on s'arrête subitement !
Les films de la Hammer ont eu certes beaucoup de succès dans les années 50-60 revolutionnant le cinéma fantastique d'après guerre, mais ont aujourd'hui assez mal vieillis. Dracula prince des ténèbres en est l'exemple meme.Mais il ne faut pas regarder ce film pour avoir peur, il faut le voir au second degré, pour se divertir...Mention spéciale "au plus grand dracula de tous les temps" dixit Térence Fisher,Christopher Lee,dégoulinant de talent,alors qu'il ne prononce pas un mot du film...Si ça c'est pas la classe...
Peu effrayant et assez convenu pourtant ce Dracula, prince des ténèbres m'a beaucoup plu avec son ambiance gothique, son atmosphère inquiétante et mystérieuse. C'est efficace et solide, c'est bien mené et le récit quoique peu originale fonctionne à merveille ; les péripéties s'enchaînent sans temps morts. Très divertissant à voir.
Réalisateur fétiche de la Hammer Film Productions (maison de production anglaise spécialisée dans les films d'épouvantes grand public qui a connu son heure de gloire dans les années 50-60), Terence Fisher réalise un Dracula pas ridicule mais manquant de mordant. On s'endort en effet un peu devant une intrigue trop convenue et parfois invraisemblable. On y trouve les spécificités plastiques de la maison de production à petit budget : couleurs criardes et décors de cartons peu en rapport avec le temps diégétique. Dracula est interprété par un Christopher Lee assez caricatural comme les autres personnages d'ailleurs. Bref, si tout ceci permettait quand même de contenter les foules de l'époque, ce n'est plus le cas maintenant. Il reste certes une certaine nostalgie pour ces films mals fichus vus dans notre enfance.
Bof bof bof Il est vrai que c'est Dracula, mais pas très terrifiant. Le trucage qui se voit le plus est le sang, mais là, c'est bel et bien du ketchup, meme un peu rosé. Bon, j'accorde 2 étoiles parce que l'in terpretation de Lee est assez convaincantes mais le scénario est plutôt plat. La musique, oui, assez dans l'ambiance ce qui donne quand même un petit frissons parfois mais très bref.
Cette suite du célèbre "Cauchemar de Dracula" entraine le spectateur dans un suspense haletant grace à la réalisation de Terence Fisher qui mise sur des décors baroques, une atmosphère toujours inquiétante et une interprétation sans faille. Barbara Shelley et Christopher Lee sont impeccables, on pourra regretter l'absence de Peter Cushing dans ce classique du genre qui reste un des meilleurs films de la Hammer.
Christopher Lee reprend pour la deuxième fois la cape et les canines du célèbre comte des Carpates dans ce volet des plus correct qui plairat à tous les amateurs du genre et de la Hammer en particulier avec un parfum un peu viellot qui ne fait qu'accentuer son charme. On pourra juste regretter que van helsing alias Peter Cushing ne soit pas de la partie.
Long-métrage de bonne tenue avec un récit bien mené et un rôle de Dracula qui va comme un gant à Christopher Lee,mais ce film datant,les scènes "sanglantes" ne font plus vraiment sursauter,et les interprètes féminines surjouent.Il y a un certain stylisme,mais la mise en scène j'ai trouvé qu'elle manquait de vitalité.Mais ceux qui aiment les films de vampires,y trouveront leurs comptes.
Deux couples en provenance d’Angleterre décident de se rendre dans la ville de Carlstadt. Sur leur route, ils croisent le château d’un certain Comte Dracula. Sans la moindre méfiance, ils se font inviter à dîner et à passer la nuit avant de reprendre la route. Pourtant, dans les environs, chacun sait que la province des Carpates est loin d’être sure, surtout que Dracula rôde, à la recherche de proies. Pris au piège, ils vont devoir déjouer ses plans afin de rester en vie, mais face à ce redoutable suceur de sang, il ne restera que peu de rescapés au final. Grands fidèles de la Hammer, le réalisateur Terence Fisher, à qui l’on doit entre autres Le Chien des Baskerville (1959) & La Nuit de la grande chaleur (1967) et l’acteur Christopher Lee, qui, durant sa longue carrière (toujours prolifique) aura interprété à 11 reprises le Comte des Carpates, tous deux nous donnent rendez-vous pour un nouvel opus, suite au très réussi Le Cauchemar de Dracula (1959). Ici, l’histoire continue de plus belle avec Dracula - Prince des ténèbres (1965), en intérieur comme en extérieur, le réalisateur joue avec les lumières et les acteurs en profitent pour faire des jeux d’ombres, rendant les scènes encore plus sombres et angoissantes. Une adaptation très réussie, côté scénario et trucages, qui pour l’époque, sont assez bluffant !
Suite directe du « Dracula » de 1958, « Dracula, Prince of Darkness » est en réalité le troisième film du cycle Dracula de la Hammer. Le second étant « The Brides of Dracula », dans lequel on retrouvait Van Helsing interprété par Peter Cushing, mais où le comte vampirique n’apparaissait pas, faisant mentir le titre. Ici, pas de Van Helsing. Les héros sont un groupe de candides touristes britanniques qui décident de visiter les Carpates. Malgré un environnement sinistre, des avertissements explicites, et des événements étranges, ils ne trouvent rien de mieux à faire que de loger dans le château de Dracula. Ce qui va évidemment provoquer sa résurrection ! Résurrection qui deviendra d’ailleurs un gimmick des films de la Hammer, chaque suite imaginant un nouveau moyen de faire revenir le vampire, puis de le terrasser, et ainsi de suite… Le film se divise en fait en deux parties. La première voit nos andouil… ahem nos protagonistes aboutir à la fameuse résurrection. Le vampire n’apparait donc pas, mais paradoxalement c’est le meilleur morceau du film. Terence Fisher exploitant plutôt bien l’intérieur gothique du château, la musique inquiétante, et la menace mystérieuse (puisque Dracula est mort, on ne sait pas vraiment d’où va venir le danger). Tandis que Philip Latham campe un inquiétant serviteur. La seconde partie, plus classique, voit Dracula s’attaquer aux touristes survivants dans les Carpates. C’est sympathique et Christopher Lee pète toujours la classe en vampire, à défaut d’être un tueur vraiment efficace. Mais il faut avouer que c’est bien moins inspiré que le « Dracula » de 1958 (malgré quelques éléments repris du roman de Bram Stoker). L’ambiance gothique étant plus limitée, avec des décors souvent naturels. Et puis il y a cette gestion très étrange du jour et de la nuit, certaines séquences soi-disant nocturnes étant tournées en nuit américaine peu discrète. Enfin, le film est connu pour une célèbre anecdote : Christopher Lee ne prononce pas un seul mot dans son rôle ! L’acteur prétend que ses dialogues étaient tellement mauvais qu’il préféra jouer uniquement en gestuelle. Le scénariste prétend qu’il n’avait en fait écrite aucun dialogue pour le vampire. La vérité se situe quelque part entre le maillet et le pieu ?
Un film complètement loufoque et sans le moindre intérêt, qui ne nous donne aucun frisson. Beaucoup de longueurs et même passablement ennuyeux malgré la performance de Christopher Lee en Dracula.
Un film qui ne demeurera pas dans les annales. Disons qu'au moins le réalisateur nous à épargné des effets de suspens à la con ce qui rend le film plus simple et plus sympathique. La réalisation quoi que sans suprise est correcte. Les acteurs sont bon sutout Christopher Lee qui n'a pas du avoir de mal à apprendre son texte. étrangement on ne s'ennuit pas et le film parait trop court la fin sent d'ailleur le baclé. Dommage le début qui précède la réssurection quoi que classique est vraiment bon qui l'actrice qui interprète le personnage d'Helen convaincante.
Un film assez peu convaincant. Alors que le cauchemar de Dracula était vraiment un classique du genre, cette sorte de suite n'apporte rien ou presque. Terence Fisher ne semble pas intéréssé derrière la caméra et les personnages sont assez fades, à la limite du ridicule parfois. Reste des décors à peu près correct et surtout une excellente musique. A noter bien sur la formidable prestance de Christopher Lee, comme d'habitude. La deuxième étoile, TRES généreuse, est pour lui et uniquement pour lui.