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Votre avis sur En Pleine Tempête ?
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Malgré la fin, sans concession, l'ensemble fait penser aux productions hollywoodiennes des années 1990, avec les mièvreries de rigueur en cascade. Le film se laisse regarder comme un de ces films catastrophe déjà un peu ringard, alors qu'ils ne sont pas si vieux. Une belle brochette d'acteurs pour ce film moyen.
Beau film catastrophe. On voit bien comment ceux qui partent en mer tiennent à ceux qu'ils laissent derrière eux. Beaux morceaux de bravoure. Bons effets spéciaux. Belle musique de James Horner.
Ouvrant les hostilités dans le registre dramatique avec pas mal de réussite, "En Pleine Tempête" séduit dans un premier temps par sa photographie et sa bonne ambiance rythmée par des airs rock mythiques. Placé derrière la caméra, Wolfgang Petersen nous montre de belles choses par un bon usage de ses personnages interprétés par de très bons acteurs. Outre un deux excellents Clooney et Walberg, cette histoire de pêcheurs jouit de la présence de très convaincants seconds rôles tels que John C. Reilly, William Fichtner, Diane Lane ou encore Mary Elizabeth Mastrantonio. On se retrouve ainsi face à des interactions fortes et crédibles qui donnent un bon contenu à la première moitié du film.
Malheureusement, la suite s'avère moins réjouissante. Passant du registre dramatique à celui de l'action grossière hollywoodienne, "En Pleine Tempête" perd ses bases et se retrouve perdu au milieu de l'océan. Oubliant ses origines, Wolfgang Petersen nous bombarde de rebondissements facétieux et alourdit son œuvre par l'usage excessif d'une bande originale vite saturée. Une bien triste fin pour un long-métrage qui avait tous les ingrédients pour réussir.
Malheureusement, la suite s'avère moins réjouissante. Passant du registre dramatique à celui de l'action grossière hollywoodienne, "En Pleine Tempête" perd ses bases et se retrouve perdu au milieu de l'océan. Oubliant ses origines, Wolfgang Petersen nous bombarde de rebondissements facétieux et alourdit son œuvre par l'usage excessif d'une bande originale vite saturée. Une bien triste fin pour un long-métrage qui avait tous les ingrédients pour réussir.
En voilà un de film très bien fait. Collectionnant des personnages tous très attachants dû à la grande performance des acteurs surtout pour Mark Walhberg, John C.Reilly (la relation entre son fils et lui est très, très touchante), George Clooney, John Hawkes, et William Fichtner. Ils jouent tous à merveille ce qui nous laisse quelques larmes au générique tant on s'était attaché à eux. Quant au reste c'est du grand spectacle, avec des effets-spéciaux grandioses et une jolie réalisation de Petersen.
Sans être un chef d'oeuvre, le film reste assez réussi dans son ensemble, quelques clichés plus ou moins volontaires que l'on pardonnera, des effets spéciaux très bons et des acteurs tous bons dans leurs rôles. On regrettera du sentimentalisme un peu trop poussé par moment. Un film correct ni plus ni moins.
Les effets spéciaux sauvent le film décidément sans imagination.
Vu le 29/06/2021.
Basé sur des faits réells avec la tempete de l'Halloween en 1991, le film raconte l'histoire du capitaine Billy Tyne (George Clooney) qui convainc ses hommes de repartir une nouvelle fois en mer pour pêcher l'espadon. Le jeune Bobby (Mark Wahlberg) laisse sa compagne Christina (Diane Lane) au port et embarque avec l'équipage à bord de l'Andrea Gail. Ignorant les conseils de son amie Linda (Mary Elizabeth Mastrantonio ) qui l'avertit de l'arrivée imminente d'un ouragan dans la région, Tyne s'enfonce dans l'Atlantique Nord vers le Cap Flemish (Bonnet flamand), une zone où le poisson abonde. Au même moment, le voilier Mistral, pris dans le cyclone, décide d'avertir les secours. Après une pêche fructueuse, non sans avoir été marqué par une série d'incidents, Tyne décide de rentrer au port avec ses hommes. Mais ils doivent pour cela traverser la terrible tempête...
Le film est bien réalisé même si par moments les effets spéciaux grossiers sont démasqués. Si la partie initiale est intéressante puisqu'elle nous montre la vie des marins, la difficulté à gagner de l'argent pour vivre quand des personnages comme Bob Brown (Michael Ironside) se montre sans pitié avec ses employés, la tempête n'arrive qu'au bout de 1h30 de film. Par contre à partir de là c’est du non-stop.
Et pour une fois, il n'y a pas de happy end pour ces malheureux qui pour avoir voulu absolument ramener du poisson vont y laisser leur vie. Le scénario reste bon, les acteurs sont pas à 100% j'ai l'impression, on a aussi quelques seconds roles intéressants comme Sally(William Fichtner) ou Dale (John C. Reilly).
Basé sur des faits réells avec la tempete de l'Halloween en 1991, le film raconte l'histoire du capitaine Billy Tyne (George Clooney) qui convainc ses hommes de repartir une nouvelle fois en mer pour pêcher l'espadon. Le jeune Bobby (Mark Wahlberg) laisse sa compagne Christina (Diane Lane) au port et embarque avec l'équipage à bord de l'Andrea Gail. Ignorant les conseils de son amie Linda (Mary Elizabeth Mastrantonio ) qui l'avertit de l'arrivée imminente d'un ouragan dans la région, Tyne s'enfonce dans l'Atlantique Nord vers le Cap Flemish (Bonnet flamand), une zone où le poisson abonde. Au même moment, le voilier Mistral, pris dans le cyclone, décide d'avertir les secours. Après une pêche fructueuse, non sans avoir été marqué par une série d'incidents, Tyne décide de rentrer au port avec ses hommes. Mais ils doivent pour cela traverser la terrible tempête...
Le film est bien réalisé même si par moments les effets spéciaux grossiers sont démasqués. Si la partie initiale est intéressante puisqu'elle nous montre la vie des marins, la difficulté à gagner de l'argent pour vivre quand des personnages comme Bob Brown (Michael Ironside) se montre sans pitié avec ses employés, la tempête n'arrive qu'au bout de 1h30 de film. Par contre à partir de là c’est du non-stop.
Et pour une fois, il n'y a pas de happy end pour ces malheureux qui pour avoir voulu absolument ramener du poisson vont y laisser leur vie. Le scénario reste bon, les acteurs sont pas à 100% j'ai l'impression, on a aussi quelques seconds roles intéressants comme Sally(William Fichtner) ou Dale (John C. Reilly).
Wolfgang Petersen nous offre là un bon film, avec un grand casting, et une histoire or du commun; il arrive à nous interresser à une simple histoire de pecheurs qui s'eloignent pour faire une bonne peche, et ainsi avoir une bonne solde.
Georges clooney est tres bon, ainsi que les effets speciaux ! La fin est egalement tres surprenante, et dramatique, mais le film est tout de meme un peu longué au bout d'un moment.
Mais bon, c'est quand meme un film à voir.
Georges clooney est tres bon, ainsi que les effets speciaux ! La fin est egalement tres surprenante, et dramatique, mais le film est tout de meme un peu longué au bout d'un moment.
Mais bon, c'est quand meme un film à voir.
Bonne production de petersen qui retouve l'océan après son mémorable das boot.
Les effets spéciaux impressionent,notamment les vagues criantes de vérité mais la cactérisation des personnages est trop superficiel ce qui entraine la quasi inexistance de la tension dramatoique.On voit donc une succession de scènes de bravoure plutot réussies mais qui ne sont pas réellement poignantes fondée sur un scénario trop classique.Heureusement le casting est impeccable.
Ce film se laisse donc regarder pour ces effets spéciaux saisissants et son castng attrayant mais sans plus.
Ce film se laisse donc regarder pour ces effets spéciaux saisissants et son castng attrayant mais sans plus.
6 marins pêcheurs vraiment pas veinards vont affronter (subir) une tempête qu'ils auront bien cherché.
Passé ce constat, on appréciera vraiment une chose, dans ce film, (outre la tempête elle-même, très bien filmé): les héros qui ne le sont pas une seconde, marins ordinaires, avec leur courage ordinaire, juste un peu plus désespéré que d'habitude. Clooney est l'archétype de ces anti-héros: jamais il ne sera dans la peau d'un héros de cinéma ici, mais tout le film il sera un vrai capitaine, sans effets de gros bras ni répliques sonnant trop justes pour être vrais, même dans les crises.
Ce parti-pris de Wolfgang Petersen, ce refus de l'acteur invinciblement parfait, est très intéressant, et on le retrouve dans "The Boat", un chef-d'œuvre.
Hélas, ici, alors que "The Boat" ne vous lâchait pas une seconde, on évite pas les longueurs et les inutileries. Témoins les autres bateaux en perditions, inutiles, d'autant plus qu'alors que la présentation des 6 marins-pêcheurs traine en longueur, les autres naviguants surgissent et disparaissent du film sans aucun sous-titre autre que leur position. Il n'était pas question de faire un film de 5 heures, mais plutôt de rester concentré sur les 6, qui ont les seules scènes valables, mais aussi de façons beaucoup plus intéressantes sur Mr Météo et les femmes à terres. Et point final. Parce qu'on s'ennuie ferme hors du bateau de pêche, et, à l'arrivée, ça fait beaucoup de temps très morts. Dommage, avec une telle matière de départ et un sujet pas si souvent traité, la pêche en haute-mer.
Passé ce constat, on appréciera vraiment une chose, dans ce film, (outre la tempête elle-même, très bien filmé): les héros qui ne le sont pas une seconde, marins ordinaires, avec leur courage ordinaire, juste un peu plus désespéré que d'habitude. Clooney est l'archétype de ces anti-héros: jamais il ne sera dans la peau d'un héros de cinéma ici, mais tout le film il sera un vrai capitaine, sans effets de gros bras ni répliques sonnant trop justes pour être vrais, même dans les crises.
Ce parti-pris de Wolfgang Petersen, ce refus de l'acteur invinciblement parfait, est très intéressant, et on le retrouve dans "The Boat", un chef-d'œuvre.
Hélas, ici, alors que "The Boat" ne vous lâchait pas une seconde, on évite pas les longueurs et les inutileries. Témoins les autres bateaux en perditions, inutiles, d'autant plus qu'alors que la présentation des 6 marins-pêcheurs traine en longueur, les autres naviguants surgissent et disparaissent du film sans aucun sous-titre autre que leur position. Il n'était pas question de faire un film de 5 heures, mais plutôt de rester concentré sur les 6, qui ont les seules scènes valables, mais aussi de façons beaucoup plus intéressantes sur Mr Météo et les femmes à terres. Et point final. Parce qu'on s'ennuie ferme hors du bateau de pêche, et, à l'arrivée, ça fait beaucoup de temps très morts. Dommage, avec une telle matière de départ et un sujet pas si souvent traité, la pêche en haute-mer.
En pleine tempête est un excellent film catastrophe dans lequel on se laisse porter sur les vagues avec les héros. Il y a eu très peu de films sur la mer et l'océan et donc il y a peu de point de comparaison. Cependant les effets spéciaux sont vraiment bons pour l'époque.
à l'époque de sa sortie, j'avais l'habitude d'aller une fois par semaine à bercy avec deux amis. on se voyait ainsi deux à trois films dans la journée.
ce qui a motivé notre choix d'aller voir en pleine tempête reposait sur trois choses. george clooney pour ma copine, la bande annonce pour mon pote car il se demandait que va-t-il advenir du bateau que l'on voit presque à la verticale, et le casting et le réalisateur pour moi, car j'avais apprécié les précédents films que petersen avait fait et que j'avais vu (l'histoire sans fin, dans la ligne de mire) et que j'ai beaucoup de sympathie pour diane lane, mary elisabeth mastrantonio, karen allen et michael ironside.
le sentiment dominant à la sortie du film était la déception. mes deux amis ne s'attendait pas à ça... ils avaient espéré un blockbuster, un feel good movie, de l'action, du spectaculaire à tout bout de champs. ils ont eu droit à un film d'ambiance, humaniste, quasi documentaire pour la majeure partie, ce qui n'était pas pour me deplaire, car j'aime les films où l'on pose les personnages, où on les voit vivre, ressentir une certaine réalité. alors forcément, ça ne respire pas la bonne humeur et ça ne donne pas envie de danser la gigue. ça a plutôt tendance à barber voire à rebuter les spectateurs qui ne veulent pas être en empathie avec les personnages.
spoiler: le traitement de l'histoire ne laisse aucune place au cabotinage. les acteurs jouent donc sobrement, les émotions passant généralement par les regards, les silences ou les sous-entendus. pas de happy end ce qui fait qu'à la fin, l'ensemble est déprimant, mais cela semble être le propos de petersen, montrer la rudesse, la dangerosité, les quelques joies et parfois la morbidité du métier de pêcheur.
sur la dernière partie du film, la tension monte, on arrive à ce que la bande laissait entrevoir et on se demande alors comment les marins vont faire pour sauver leur peau...
spoiler: et là le film se termine très très vite.
je comprends la frustration de mes deux potes. il y a eu tromperie sur la marchandise, le film n'est pas ce qu'il paraissait être à la vue de la bande annonce... pour moi qui ai essayé de ne pas me faire d'idée, c'est mieux passé. je ne suis pas un grand "technicien" mais j'ai trouvé les fx discrets, et la manière de filmer de petersen ne m'a pas choqué, ni en bien, ni en mal.
pour finir, je conseillerais ce film, à ceux qui aiment les films basé sur l'humain. je le déconseille à ceux qui s'attendent à de l'action à tout va et aussi aux détracteurs d'une certaine pêche en mer.
ce qui a motivé notre choix d'aller voir en pleine tempête reposait sur trois choses. george clooney pour ma copine, la bande annonce pour mon pote car il se demandait que va-t-il advenir du bateau que l'on voit presque à la verticale, et le casting et le réalisateur pour moi, car j'avais apprécié les précédents films que petersen avait fait et que j'avais vu (l'histoire sans fin, dans la ligne de mire) et que j'ai beaucoup de sympathie pour diane lane, mary elisabeth mastrantonio, karen allen et michael ironside.
le sentiment dominant à la sortie du film était la déception. mes deux amis ne s'attendait pas à ça... ils avaient espéré un blockbuster, un feel good movie, de l'action, du spectaculaire à tout bout de champs. ils ont eu droit à un film d'ambiance, humaniste, quasi documentaire pour la majeure partie, ce qui n'était pas pour me deplaire, car j'aime les films où l'on pose les personnages, où on les voit vivre, ressentir une certaine réalité. alors forcément, ça ne respire pas la bonne humeur et ça ne donne pas envie de danser la gigue. ça a plutôt tendance à barber voire à rebuter les spectateurs qui ne veulent pas être en empathie avec les personnages.
spoiler: le traitement de l'histoire ne laisse aucune place au cabotinage. les acteurs jouent donc sobrement, les émotions passant généralement par les regards, les silences ou les sous-entendus. pas de happy end ce qui fait qu'à la fin, l'ensemble est déprimant, mais cela semble être le propos de petersen, montrer la rudesse, la dangerosité, les quelques joies et parfois la morbidité du métier de pêcheur.
sur la dernière partie du film, la tension monte, on arrive à ce que la bande laissait entrevoir et on se demande alors comment les marins vont faire pour sauver leur peau...
spoiler: et là le film se termine très très vite.
je comprends la frustration de mes deux potes. il y a eu tromperie sur la marchandise, le film n'est pas ce qu'il paraissait être à la vue de la bande annonce... pour moi qui ai essayé de ne pas me faire d'idée, c'est mieux passé. je ne suis pas un grand "technicien" mais j'ai trouvé les fx discrets, et la manière de filmer de petersen ne m'a pas choqué, ni en bien, ni en mal.
pour finir, je conseillerais ce film, à ceux qui aiment les films basé sur l'humain. je le déconseille à ceux qui s'attendent à de l'action à tout va et aussi aux détracteurs d'une certaine pêche en mer.
Notre cher Clooney endosse la tenue d’un marin pêcheur, il est plutôt crédible. Le scénario s’avère très mince, une tempête arrive et l’on a le droit d’assister au film catastrophe avec effets spéciaux à gogo. Certes ils sont bien filmé mais rende le film non crédible (notamment cette vague monstrueuse). Du grand spectacle mais rien de plus profond.
Un trés bon film spéctaculaire et qui rend hommage aux marins pêcheurs sans grande éfusion de pathos. Munis d'effets spéciaux trés réussis ce film garde une simplicité émouvante grace à ses personnages trés bien interprétés.16/20
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