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Un visiteur
5,0
Publiée le 12 avril 2007
Un film très fort. D'autant plus qu'il sert d'hommage à Pauline Lafont, à sa beauté toujours intacte dans nos esprits. Et Villeret aussi... Ha on se laisse prendre au sentimentalisme primaire avec de tels êtres humains !
Acteurs magnifiques, filmés de façon grandiose et une très belle histoire d'amour. Une grande réussite du cinéma français. De plus, Pauline Lafont est superbe.
Sans savoir trop pourquoi, j'ai une tendresse particulière pour ce film. L'histoire est simple et touchante, la mise en scène implacable et les acteurs magnifiques (Jean-Pierre Bacri et Pauline Lafont en tête).
Je dois être le seul à avoir détesté ce film, vu les notes dithyrambiques des spectateurs... J'ai du mal à trouvé une qualité à ce film : scénario qui pourrait se résumer à "Haine, sexe et violence en rase campagne", dialogues affligeants, mal joué (Bacri fait du Bacri, Marchand fait du Marchand, Villeret fait du Villeret... et cette regrettée Lafont fait ce qu'elle peut). Enfin bref, mauvais du début à la fin. Krawczyk, quoiqu'il fasse, reste mauvais...
Un scénario nul avec une Pauline Lafont très mal exploitée malgré tout son potentiel et son talent. Elle joue une bimbo en chaleur au milieu de crasseux dégueulasse. Son plus grand rôle? Un Niagara à la franchouillarde? Un nanar de dégueulasse à la sauce super Dupont!
Un petit film intimiste, lumineux, plein de charme et sans prétention. Il s'agit d'une histoire simple, d'une grande tendresse, sur fond d'ambiance moite et sensuelle. Le casting est super, très pertinent, et la musique belle et prenante.
Les grandes qualités de "l'Eté en pente douce" résident dans son excellent scénario, ses très bons dialogues, et surtout dans le jeu de ses acteurs. On revoit avec une certaine émotion Pauline Lafont qui a marqué durablement l'histoire du cinéma français par l'interprétation de cette jeune fille naïve et provocante. Devenu un incontournable, "l'Eté en pente douce" n'accuse pas le poids des ans, c'est bien le signe d'un grand film.
Il est inconcevable d’imaginer que la filmographie de Gérard Krawczyk (« Taxi 2-3-4 » notamment) puisse comporter un tel film. Autant on peut lui dédier le plus souvent la Palme d’or du Nanard, autant avec « L'été en pente douce », sorti en 1987, il réalise un long-métrage drôle et émouvant. Il est aidé en cela par un trio d’acteurs remarquable : Jean-Pierre Bacri, Jacques Villeret et Pauline Lafont (dans l’une de ses dernières apparitions au cinéma avant son tragique accident). Les seconds rôles (Guy Marchand et Jean Bouise particulièrement) sont parfaits. Bref, cette histoire glauque où érotisme, chaleur du sud-ouest de la France profonde et cruauté des petites gens emportent tout sur leur passage, reste un mélodrame méconnu qui mérite pourtant une meilleure reconnaissance.
Excellent film ! Fane retrouve son frère Mo dans le village de leur mère qui vient de décéder. Il est accompagné de Lilas, une gentille et très jolie fille, dont la beauté et le sex-appeal vont immédiatement susciter l'hostilité, la jalousie et la convoitise de tout un village, en particulier d'un garagiste voisin. Brillante interprétation de Jean-Pierre Bacri, Jacques Villeret, Pauline Lafont, dans le rôle de ces trois "paumés", de Guy Marchand dans celui du sale type et tous les autres en villageois peu sympathiques. Ce film laisse néanmoins une sensation de malaise et de tristesse, peut-être liée au destin tragique de Pauline Lafont qui, quelque part, rejoint ce film, y est inscrit comme en filigrane.
C'est un film qui a bien vieilli avec de bons acteurs. Le scénario est intéressant sur les rivalités dans un village et une femme qui ne sait pas gérer sa beauté.
Une superbe réalisation, logiquement suivie par des acteurs magnifiques, ce film bénéficie d'une orginalité débordante, ainsi que de dialogues trés pertinents ! Un petit régal ! 2 ou 3 petites invraissemblances sans importance...
Presque 25 ans après sa sortie, ce film de Gérard Krawczyk n'a pas pris une ride. Cette comédie de moeurs sous un soleil de plomb est magnifié par la présence d'excellents acteurs, en particuliers les regrettés Jacques Villeret et Pauline Lafont. Sur un scénario simple mais bien écrit, le réalisateur nous sert un long métrage teinté d'humour et traversé par des personnages attachants.