Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
Culturopoing.com
par Olivier Rossignot
"Monos" envisage le primitif sans jamais perdre de vue son humanité, sa compassion. Observant ses âmes perdues comme un Joseph Conrad, il plonge dans leurs ténèbres intimes.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Express
par Antoine Le Fur
Avec la partition planante de Mica Levi (déjà à l'origine de la bande originale de Jackie de Pablo Larrain) en guise de trame sonore, ce long-métrage bouleverse. Âmes sensibles, s'abstenir.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Libération
par Luc Chessel
En filmant au plus près les corps et les émotions d’une bande d’adolescents guérilleros chargés de garder une otage dans la forêt colombienne, Alejandro Landes plonge le spectateur dans un tourbillon magistral de tendresse et de violence.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Même avec des défauts, ce film hors normes, radical, parfois énigmatique, continue à captiver et laisse la gorge serrée longtemps.
Télérama
par Jérémie Couston
Un film-trip, au sens narcotique du terme, dont on ressort chamboulé, essoré, persuadé d’avoir assisté à la naissance d’un grand cinéaste, Alejandro Landes [...].
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par Vincent Cocquebert
D'une impressionnante puissance visuelle et sensitive, un survival à hauteur d'enfants parfaitement incarné dont on ressort secoué.
aVoir-aLire.com
par Laurent Cambon
Entre drame de guerre et thriller horrifique, Monos réinvente le genre du film d’adolescents, au milieu de la jungle suante et lourde de la Colombie. Un chef-d’œuvre cinématographique, aussi fascinant que dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
par Caroline Vié
[...] une première fiction atypique, mais non dénuée d’influences clairement revendiquées.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Bande à part
par Benoit Basirico
Le film d'Alejandro Landes est un objet étrange et malaisant mais qui nous emporte par la force poétique de son abstraction, et la puissance de son évocation guerrière.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
CinemaTeaser
par Emmanuelle Spadacenta
Cette fresque épique autour du monstre guerre n’apporte aucune réponse mais soulève, intensément, fiévreusement, les bonnes questions.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La rédaction
D’une inconvenante sauvagerie, violent et érotique, "Monos" hypnotise par sa splendeur visuelle.
Ecran Large
par Simon Riaux
Référentielle et explosive, l'épopée de "Monos" nous renvoie à "Aguirre" et "Sa Majesté des Mouches", que le film parvient à ré-interpréter, au prix de quelques baisses de rythme
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une expérience tranchante, avec laquelle Landes renouvelle d’un geste le film de teenager et le thriller d’aventures.
L'Obs
par Xavier Leherpeur
[...] un western nihiliste, dantesque et sensoriel, à découvrir absolument.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par David Ezan
Plus qu’un film d’hallucinations, "Monos" est un film d’illusions – ou de désillusions – qui oscille constamment entre libération des corps et aliéna- tion des esprits.
Première
par Thomas Baurez
On citera "Sa Majesté des mouches" de Brook voire "Aguirre, la colère de Dieu" d’Herzog, pour flatter l’ego, mais ce film n’appartient qu’à lui-même. Là où il sonne juste et fort c’est quand il reste dans sa bulle, où l’espace et le temps semblent hors de portée.
La critique complète est disponible sur le site Première
Sud Ouest
par Sophie Avon
Ne voulant rien prouver, juste faire ressentir, la mise en scène s’avère d’une prodigieuse inventivité, tout comme les sons et la musique organique que signe Mica Levi [...].
Transfuge
par Serge Kaganski
[...] un film dont le propos demeure assez flou, mais l’essentiel est sans doute ailleurs, dans une mise en forme impressionnante.
Le Figaro
par E.S.
[Monos] assume ses influences ("Aguirre", "Apocalypse Now", "Sa majesté des mouches"), mais se repose un peu trop sur la mise en scène au détriment d’un scénario vraiment consistant.
Le Monde
par Jean-François Rauger
Certes, ces références peuvent apparaître par trop écrasantes pour le film d’Alejandro Landes, qui affirme pourtant une vraie singularité. Le réalisme magique dont il est nourri entretient aussi le sentiment concret d’un rapport précis à l’histoire contemporaine de la Colombie et à une expérience bien réelle.
Les Fiches du Cinéma
par Gaël Reyre
Très bien filmé, "Monos" reste cependant un peu trop abstrait pour convaincre totalement.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Rolling Stone
par Xavier Bonnet
Son réalisateur Alejandro Landes ne s’en cache pas, il y a tour à tour dans Monos des références à "Sa Majesté des Mouches", "Apocalypse Now" ou "Aguirre, la colère de Dieu", ce qui ne l’empêche pas d’ajouter à un récit aussi cru que haletant une identité visuelle qui est tout sauf un moyen d’y cautériser les plaies.
La critique complète est disponible sur le site Rolling Stone
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Si le caractère aventureux de l’entreprise reste saisissant, la fable et ses motifs tirent à la ligne.
Critikat.com
par Marin Gérard
Si les adolescents de "Monos" semblent jouer à la guerre plutôt que la faire, il en va de même pour Alejandro Landes, qui joue aux films de guerre et de jungle sans parvenir à se forger une identité propre.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Positif
par Jean-Dominique Nuttens
Théorique et brutal, "Monos" traite ses personnages comme des stéréotypes auxquels il est impossible de s’intéresser plutôt que comme des individus ayant une histoire et une personnalité
Culturopoing.com
"Monos" envisage le primitif sans jamais perdre de vue son humanité, sa compassion. Observant ses âmes perdues comme un Joseph Conrad, il plonge dans leurs ténèbres intimes.
L'Express
Avec la partition planante de Mica Levi (déjà à l'origine de la bande originale de Jackie de Pablo Larrain) en guise de trame sonore, ce long-métrage bouleverse. Âmes sensibles, s'abstenir.
Libération
En filmant au plus près les corps et les émotions d’une bande d’adolescents guérilleros chargés de garder une otage dans la forêt colombienne, Alejandro Landes plonge le spectateur dans un tourbillon magistral de tendresse et de violence.
Ouest France
Même avec des défauts, ce film hors normes, radical, parfois énigmatique, continue à captiver et laisse la gorge serrée longtemps.
Télérama
Un film-trip, au sens narcotique du terme, dont on ressort chamboulé, essoré, persuadé d’avoir assisté à la naissance d’un grand cinéaste, Alejandro Landes [...].
Voici
D'une impressionnante puissance visuelle et sensitive, un survival à hauteur d'enfants parfaitement incarné dont on ressort secoué.
aVoir-aLire.com
Entre drame de guerre et thriller horrifique, Monos réinvente le genre du film d’adolescents, au milieu de la jungle suante et lourde de la Colombie. Un chef-d’œuvre cinématographique, aussi fascinant que dérangeant.
20 Minutes
[...] une première fiction atypique, mais non dénuée d’influences clairement revendiquées.
Bande à part
Le film d'Alejandro Landes est un objet étrange et malaisant mais qui nous emporte par la force poétique de son abstraction, et la puissance de son évocation guerrière.
CinemaTeaser
Cette fresque épique autour du monstre guerre n’apporte aucune réponse mais soulève, intensément, fiévreusement, les bonnes questions.
Dernières Nouvelles d'Alsace
D’une inconvenante sauvagerie, violent et érotique, "Monos" hypnotise par sa splendeur visuelle.
Ecran Large
Référentielle et explosive, l'épopée de "Monos" nous renvoie à "Aguirre" et "Sa Majesté des Mouches", que le film parvient à ré-interpréter, au prix de quelques baisses de rythme
L'Humanité
Une expérience tranchante, avec laquelle Landes renouvelle d’un geste le film de teenager et le thriller d’aventures.
L'Obs
[...] un western nihiliste, dantesque et sensoriel, à découvrir absolument.
La Septième Obsession
Plus qu’un film d’hallucinations, "Monos" est un film d’illusions – ou de désillusions – qui oscille constamment entre libération des corps et aliéna- tion des esprits.
Première
On citera "Sa Majesté des mouches" de Brook voire "Aguirre, la colère de Dieu" d’Herzog, pour flatter l’ego, mais ce film n’appartient qu’à lui-même. Là où il sonne juste et fort c’est quand il reste dans sa bulle, où l’espace et le temps semblent hors de portée.
Sud Ouest
Ne voulant rien prouver, juste faire ressentir, la mise en scène s’avère d’une prodigieuse inventivité, tout comme les sons et la musique organique que signe Mica Levi [...].
Transfuge
[...] un film dont le propos demeure assez flou, mais l’essentiel est sans doute ailleurs, dans une mise en forme impressionnante.
Le Figaro
[Monos] assume ses influences ("Aguirre", "Apocalypse Now", "Sa majesté des mouches"), mais se repose un peu trop sur la mise en scène au détriment d’un scénario vraiment consistant.
Le Monde
Certes, ces références peuvent apparaître par trop écrasantes pour le film d’Alejandro Landes, qui affirme pourtant une vraie singularité. Le réalisme magique dont il est nourri entretient aussi le sentiment concret d’un rapport précis à l’histoire contemporaine de la Colombie et à une expérience bien réelle.
Les Fiches du Cinéma
Très bien filmé, "Monos" reste cependant un peu trop abstrait pour convaincre totalement.
Rolling Stone
Son réalisateur Alejandro Landes ne s’en cache pas, il y a tour à tour dans Monos des références à "Sa Majesté des Mouches", "Apocalypse Now" ou "Aguirre, la colère de Dieu", ce qui ne l’empêche pas d’ajouter à un récit aussi cru que haletant une identité visuelle qui est tout sauf un moyen d’y cautériser les plaies.
Cahiers du Cinéma
Si le caractère aventureux de l’entreprise reste saisissant, la fable et ses motifs tirent à la ligne.
Critikat.com
Si les adolescents de "Monos" semblent jouer à la guerre plutôt que la faire, il en va de même pour Alejandro Landes, qui joue aux films de guerre et de jungle sans parvenir à se forger une identité propre.
Positif
Théorique et brutal, "Monos" traite ses personnages comme des stéréotypes auxquels il est impossible de s’intéresser plutôt que comme des individus ayant une histoire et une personnalité