AlloCiné
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Votre avis sur Eli ?
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Une fin terriblement décevante !
J'ai vraiment beaucoup accroché sur le scénario et son ambiance. C'est flippant, on sursaute...
J'ai pas trouvé le petit garçon hyper efficace dans son rôle puis j'aurais plus vu un personnage féminin interpréter le rôle de l'enfant malade.
L'enorme point négatif est le dénouement qui est tout simplement déprimant, mais à la fois c'est bien fait car on n'a cet effet de surprise
J'ai vraiment beaucoup accroché sur le scénario et son ambiance. C'est flippant, on sursaute...
J'ai pas trouvé le petit garçon hyper efficace dans son rôle puis j'aurais plus vu un personnage féminin interpréter le rôle de l'enfant malade.
L'enorme point négatif est le dénouement qui est tout simplement déprimant, mais à la fois c'est bien fait car on n'a cet effet de surprise
tres bon film ! avec un histoire intéressante , des enfants sont "allérgiques a la terre" dont eli il va aller dans un endroit pour le soigner , et la tout devient intéressant ! les effect spécaux sont bien évidamment superbe , et l'acteur qui joue elie joue tres bien pour un enfant et les fantomes sont tres intrigant même si certain screemer sont prévisible le film reste tres bon !
spoiler:
sans parler de la fin qui est juste incroyable et étonnante !
un film a voir
un film a voir
Très bon film, beaucoup de surprises, très accrocheur. On ne s'attend pas à cette fin là, je serais ravie si le 2 venait à sortir.
Super film ! J'ai vraiment adoré ! La fin est à couper le souffle tellement c'est bien fait. Tous les éléments se regroupent et promettent une fin haletante.
En bref, un magnifique film d'horreur à partager entre amis.
Non je déconne, c'était la pire merde de l'histoire du film. Merci Netflix !
En bref, un magnifique film d'horreur à partager entre amis.
Non je déconne, c'était la pire merde de l'histoire du film. Merci Netflix !
L'histoire du début était pas mal, le manoir, les expériences puis après c'est partit en c***... Dommage
Ti Nou
Plutôt efficace dans sa première partie, où un préadolescent doit subir une série de traitement pour guérir d’une maladie qui l’isole du monde, "Eli" sombre, dans son dernier acte, dans un ésotérisme guignolesque qui prête plus au rire qu’à la frayeur.
De quoi s'ennuyer, c'est lent, c'est trop classique, ça n'a aucun intérêt. Je cherche encore à comprendre pourquoi Netflix à augmenté ses tarifs...
Jorik V
Encore une production fantastique comme Netflix semble en produire à la pelle pour satisfaire ses abonnées visiblement avides du genre en se souciant davantage de la satisfaction immédiate de son audimat plutôt que de la qualité intrinsèque de ses productions. Il y a parfois de petites pépites (« Le Rituel » ou « Birdbox » même si ce dernier était plutôt un blockbuster pour la plate-forme), beaucoup d’horreurs dans le mauvais sens du terme mais surtout un tas de films interchangeables et peu ambitieux qui ne marqueront pas les mémoires. « Eli » fait clairement partie de cette catégorie en n’étant ni désagréable et ennuyant mais loin, très loin, d’insuffler un vent de fraîcheur dans la catégorie balisée de la série B à petit budget et bas de gamme. Surtout quand au cinéma apparaissent de nouveaux noms tels que Ari Aster ou Robert Eggers, soucieux d’apporter du talent, du neuf et de la qualité au cinéma fantastique. Mais, dans un certain sens, cet « Eli » vaut mieux que pas mal de productions Blumhouse ou de films tels que « Annabelle » ou « La Nonne » dont on se demande comment il est possible qu’ils fonctionnent autant en salles !!!
La première heure de ce long-métrage de Ciaran Foy, qui avait déçu avec la suite moyennement réussie du chef-d’œuvre horrifique « Sinister » (l’un des seuls provenant de Blumhouse justement), n’est pas bien palpitante. On nous ressort des éléments provenant d’un peu tout le cinéma horrifique low-cost de ces dix dernières années de la maison hantée en passant par les enfants fantômes ou encore une maladie ne permettant pas de vivre à l’air naturel. On tente de nous faire croire que mélanger tout cela dans un même script donnera une impression voire un semblant de nouveauté. C’est peine perdue et on suit les déambulations du jeune héros dans une torpeur que peu de choses viennent interrompre. La réalisation est impersonnelle mais plutôt appliquée et les acteurs sont un tantinet investis, notamment Kelly Reilly et le jeune garçon. Pendant ce temps Lily Taylor nous ressert le même type de rôle que dans la série avortée « Chambers » de Netflix également. Le mystère ambiant n’ambiance pas grandement mais, lors de la dernière partie, « Eli » prend une direction inattendue dans le fantastique tout à fait délectable. Il nous réserve alors un final plus carré et satisfaisant par son côté négatif assumé et un épilogue plutôt bon et qui tient la route. Tout en rendant l’ensemble plus original qu’il n’y paraît. Alors ça ne fait pas peur pour autant, ni même sursauter, mais c’est prenant et étonnant durant une bonne trentaine de minutes et ça permet au film de sortir un peu du lot. On a bien dit un peu…
Plus de critiques cinéma sur ma page Facebook Ciné Ma Passion.
La première heure de ce long-métrage de Ciaran Foy, qui avait déçu avec la suite moyennement réussie du chef-d’œuvre horrifique « Sinister » (l’un des seuls provenant de Blumhouse justement), n’est pas bien palpitante. On nous ressort des éléments provenant d’un peu tout le cinéma horrifique low-cost de ces dix dernières années de la maison hantée en passant par les enfants fantômes ou encore une maladie ne permettant pas de vivre à l’air naturel. On tente de nous faire croire que mélanger tout cela dans un même script donnera une impression voire un semblant de nouveauté. C’est peine perdue et on suit les déambulations du jeune héros dans une torpeur que peu de choses viennent interrompre. La réalisation est impersonnelle mais plutôt appliquée et les acteurs sont un tantinet investis, notamment Kelly Reilly et le jeune garçon. Pendant ce temps Lily Taylor nous ressert le même type de rôle que dans la série avortée « Chambers » de Netflix également. Le mystère ambiant n’ambiance pas grandement mais, lors de la dernière partie, « Eli » prend une direction inattendue dans le fantastique tout à fait délectable. Il nous réserve alors un final plus carré et satisfaisant par son côté négatif assumé et un épilogue plutôt bon et qui tient la route. Tout en rendant l’ensemble plus original qu’il n’y paraît. Alors ça ne fait pas peur pour autant, ni même sursauter, mais c’est prenant et étonnant durant une bonne trentaine de minutes et ça permet au film de sortir un peu du lot. On a bien dit un peu…
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L'AlsacienParisien
En lisant d'autres critiques sur ce film, je me dis que le confinement me tape sur le système et que je me contente de peu. C'est peut-être vrai, mais en attendant, "Eli" m'a fait passer un bon moment. Déjà, il joue sur les genres (comme toute production Netflix qui se respecte j'ai envie de dire !) ; de la science-fiction à l'épouvante en passant par le mystère familial. Bien que ça a tendance à m'agacer en règle générale, j'ai trouvé que, pour cette fois, ça contribuait à l'imprévisibilité des situations tout en restant cohérent. Pour être honnête, je ne m'attendais pas du tout à cette fin. Ce n'est qu'après que j'ai réalisé que toute la partie "maison hantée", pleine de jumpscares déjà vus et autres effets low-cost, ne sert que de trompe l'oeil pour détourner notre attention ailleurs, et surtout, pour nous rallier à la cause du jeune Eli. Ce dernier, personnage principal de cette histoire, est sujet à bien des malheurs. Porteur d'une maladie orpheline l'empêchant de s'exposer en plein air au risque de s'étouffer et de brûler vif, il est contraint de suivre une thérapie très spéciale dans un manoir reclus du monde civilisé. Entre des parents désemparés et au fond du gouffre, il fait face à un corps médical distant, mené par la superbe Lili Taylor qui apporte une couche de mystère supplémentaire. A noter quand même l'investissement émotionnel du jeune Charlie Shotwell et de Kelly Reilly, dans le rôle de sa mère. Les tiraillements des personnages sont palpables et on apprécie l'intrigue deux en un : la maison hanté et le comportement plus qu'étrange des médecins. La mise en scène est raisonnable, l'ambiance est efficace mais on évite pas quelques incohérences par-ci par-là. Les cinéphiles penseront facilement à des films similaires. Mais l'histoire est plutôt chouette et bien tournée, surprenant le critique cinéphile dans ses convictions "Netflix c'est nul !". Pas sûr que ça procure le même effet à tous, mais il se distingue un peu des productions de la plateforme.
Benito G
Une bonne surprise dans l'ensemble ou le twist final, même si certains points me titiller. Se montre respectueux vis à vis du cahier des charges même si j'avoue ne pas avoir lu le roman dont il est tiré. LE film avance tranquillement, pour que peu à peu ; le secret soit découvert. Laissant d'ailleurs une place à une possible suite par rapport à la fin. L'idée, est intéressante mais aurait pu être plus poussé, idem pour certaines scènes… Après le film reste -13, donc on se doute que on sera pas dans une violence totalement gratuite ou autre. enveloppé par une histoire en faite pas si compliqué..lol. Enfin une fois qu'on l'a visionné une fois^^. Et on se rends que malgré cela, le réalisateur arrive à nous poser des questions (inconsciemment) dés le début ou on apprend peu de la famille. Mais cela le rend plus accessible, avec certaines scènes faisant penser à un film d'horreur… (pour ne pas le citer). Bref, ni trop long ; ni trop court. Sa se regarde facilement et ne tombe pas dans quelques choses de très psychologique comme c'est parfois le cas. Le twist final n'est pas exceptionnel mais totalement cohérent avec le reste du film. Je ne peux néanmoins le comparer au roman. Sinon, pour Netflix ; bonne surprise (assez rare pour la plate forme).
Eli vaut le coup d'oeil pour sa fin assez innatendue malgré les nombreux indices initiaux. Sans révéler le final, Eli raconte l'histoire d'un enfant malade qui doit se faire soigner dans un hôpital assez inquiétant. Quelques scènes d'épouvantes très classiques avec des apparitions et des jeux de miroir font rentrer le film dans la catégorie d'épouvante tout en restant relativement soft. Les effets spéciaux sont plutôt bons mais le casting est lui mauvais voir très mauvais pour le père. Seule la fin reste en mémoire et invite à une suite que l'on serait curieux de découvrir.
Un film d'horreur assez classique dans sa construction. Jump scare prévisibles, scènes fantomatiques dans un manoir isolé. La fin est osée et ne vous laissera pas indifférents (pas forcément dans le bon sens). Une lecture originale mais trop classique et convenue pour en faire un grand film d'épouvante.
Un film moyen, tout n'est pas raté, mais tout n'est pas réussi non plus. La mise en place est intéressante, touchante, avec des dialogues assez instructifs et plus on avance dans l'histoire, plus on se pose des questions sur l'integrité morale de chaque personnage. Le superflu est assez bien mis en avant, seulement, en ajoutant beaucoup de superflu, sans appuyer vraiment une seule idée dans le film, on en vient à voir une chose sur laquelle on doit se poser des questions sur tout ce qui est montré, ce qui fait penser que le film est assez impersonnel, qu'il n'a pas vraiment d'identité et qu'il peut être (dans une certaine limite) entièrement interprétatif ; cela est intéressant au niveau des personnages, mais au bout d'un moment cela devient creux. Le twist final est intéressant, mais mal inscrit dans le récit je pense ; il n'y a pas assez d'indices scénaristiques nous permettant d'intégrer cette idée finale dans les débuts du film (ou alors pas au 3eme visionnage, et dans ce cas, pardonnez-moi). La magie du cinéma lorsque l'on nous donne un twist final c'est de pouvoir découvrir un tout autre film en le visionnant une deuxième fois pour raccorder le twist final aux indices rencontrés tout au long du film, et je peux vous l'assurer, cela devient assez déplaisant au deuxième visionnage.
Avis final : un film qui n'est pas à jeter car des thèmes interessants sont abordés tels que la maladie, ses conséquences sur nous-mêmes, les conséquences de l'incompréhension, le test des liens familiaux, la recherche de liens de confiance, le point de vue du mal confronté à celui du bien, mais cela reste, de mon avis, moyennement bien exploité.
Avis final : un film qui n'est pas à jeter car des thèmes interessants sont abordés tels que la maladie, ses conséquences sur nous-mêmes, les conséquences de l'incompréhension, le test des liens familiaux, la recherche de liens de confiance, le point de vue du mal confronté à celui du bien, mais cela reste, de mon avis, moyennement bien exploité.
Cinememories
Si « Citadel » l’avait fait remarquer, ce dernier essai tombe dans l’embarras, à l’image d’un « Sinister 2 » anecdotique. Ciarán Foy a pourtant de bons ingrédients à sa portée pour mener à bien son expérience, mais c’est comme pour toute manipulation empirique, il faut valider les phases de test. Et c’est donc avec regrets que le film passe à côté de son potentiel démoniaque. Pas de laissez-passer pour les autoroutes des enfers, nous n’aurons droit qu’au prélude d’une fable qui à aucun moment ne sait s’il faut mordre ou rugir.
Nous découvrons alors tout l’enjeu de l’œuvre, à savoir Eli (Charlie Shotwell), jeune garçon malade. Mais de quoi exactement ? Dès l’introduction, la mise en scène pistonne le spectateur jusqu’à le questionner sur les fondements de cette douleur incurable. Hélas, le jeu prend une tout autre forme une fois arrivé dans un manoir, ironiquement stérilisé, pour le bien de cet enfant. Si l’ombre de « L’Orphelinat » plane très loin devant ce dérapage, il existe un véritable gâchis dans cette approche. Le fait de limiter les interactions d’Eli avec le monde extérieur ne servirait qu’à justifier son isolement et les événements à venir. Mais comment serait-il possible d’apprécier son cas, avec aussi peu d’informations ? Chaque révélation, dont le spectateur aura vite fait le tour et le désamorçage, nous parvienne avec une paresse qui rime avec répétition. Plus on avance et plus l’intérêt décroit.
Y aurait-il donc si peu d’apparitions fantomatiques pour nous convaincre du côté malsain des lieux ? Que ce soient les morts ou les vivants, ni l’un ni l’autre ne prend le dessus dans cet environnement et rien que la modalité du frisson n’est pas validée. S’il fallait s’en tenir à l’exploration de cette structure qui possède ses démons et ses secrets, il y avait sans doute mieux à faire sur le développement et la caractérisation de cette maladie que porte le protagoniste. Les parents, campés par Kelly Reilly et Max Martini, n’aident pas non plus à rendre cette excursion très distrayante et leur présence ne fait qu’accentuer un suspense qui tombe à pic lors du dénouement, si l’ennui ne nous a pas encore capturé, sinon à plat. De même, la petite fille Haley (Sadie Sink) s’incruste en vain dans cette opération qui a atteint ses limites beaucoup trop tôt dans l’intrigue. Quant au docteur Horn (Lili Taylor), pas moyen d’y trouver un moment pour l’approfondir…
Ce qui aura tout de même inspiré le réalisateur irlandais, c’est dans le tourment du patient, jusqu’à dérouter le spectateur qui ne sait plus où donner entre réalité et imaginaire. Bien en tendu, cela ne fonctionne qu’un temps, juste avant que les enjeux se renouvellent dans un ultime acte festif, mais qui intervient trop tard pour que ce soit libérateur. « Eli » souffre, c’est indéniable. Il souffre d’un mal qui aurait dû davantage questionner ce qu’il y a de repoussant dans le quotidien et l’univers dans lequel baigne un spectateur que l’on perd à mi-parcours, au croisement d’un couloir ou d’un rendez-vous épuisant au bord de la fenêtre.
Nous découvrons alors tout l’enjeu de l’œuvre, à savoir Eli (Charlie Shotwell), jeune garçon malade. Mais de quoi exactement ? Dès l’introduction, la mise en scène pistonne le spectateur jusqu’à le questionner sur les fondements de cette douleur incurable. Hélas, le jeu prend une tout autre forme une fois arrivé dans un manoir, ironiquement stérilisé, pour le bien de cet enfant. Si l’ombre de « L’Orphelinat » plane très loin devant ce dérapage, il existe un véritable gâchis dans cette approche. Le fait de limiter les interactions d’Eli avec le monde extérieur ne servirait qu’à justifier son isolement et les événements à venir. Mais comment serait-il possible d’apprécier son cas, avec aussi peu d’informations ? Chaque révélation, dont le spectateur aura vite fait le tour et le désamorçage, nous parvienne avec une paresse qui rime avec répétition. Plus on avance et plus l’intérêt décroit.
Y aurait-il donc si peu d’apparitions fantomatiques pour nous convaincre du côté malsain des lieux ? Que ce soient les morts ou les vivants, ni l’un ni l’autre ne prend le dessus dans cet environnement et rien que la modalité du frisson n’est pas validée. S’il fallait s’en tenir à l’exploration de cette structure qui possède ses démons et ses secrets, il y avait sans doute mieux à faire sur le développement et la caractérisation de cette maladie que porte le protagoniste. Les parents, campés par Kelly Reilly et Max Martini, n’aident pas non plus à rendre cette excursion très distrayante et leur présence ne fait qu’accentuer un suspense qui tombe à pic lors du dénouement, si l’ennui ne nous a pas encore capturé, sinon à plat. De même, la petite fille Haley (Sadie Sink) s’incruste en vain dans cette opération qui a atteint ses limites beaucoup trop tôt dans l’intrigue. Quant au docteur Horn (Lili Taylor), pas moyen d’y trouver un moment pour l’approfondir…
Ce qui aura tout de même inspiré le réalisateur irlandais, c’est dans le tourment du patient, jusqu’à dérouter le spectateur qui ne sait plus où donner entre réalité et imaginaire. Bien en tendu, cela ne fonctionne qu’un temps, juste avant que les enjeux se renouvellent dans un ultime acte festif, mais qui intervient trop tard pour que ce soit libérateur. « Eli » souffre, c’est indéniable. Il souffre d’un mal qui aurait dû davantage questionner ce qu’il y a de repoussant dans le quotidien et l’univers dans lequel baigne un spectateur que l’on perd à mi-parcours, au croisement d’un couloir ou d’un rendez-vous épuisant au bord de la fenêtre.
Première partie de film intéressante qui tient le spectateur en haleine, avant de partir en vrille dans le dernier acte. Doublage catastrophique, effets spéciaux basiques et moyens.
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