Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
23 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Cédric Anger évoque l’époque pré-sida avec nostalgie et signe un film épris de liberté autour de Guillaume Canet et Gilles Lellouche.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Un poil trash mais jamais vulgaire, cette comédie à l’esthétique à la fois pop et rétro relève davantage d’un feel good movie jubilatoire et plein d’insouciance, que d’une simple enquête sur le milieu du X.
Closer
par La Rédaction
Une comédie réussie et une mention spéciale pour le décor et la bande-son.
Dernières Nouvelles d'Alsace
par La Rédaction
Cédric Anger ravive le porno des années 80.
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
On n'est pas dans le polar mais dans la comédie, avec Michel Pau, en producteur tordu et mystique et Xavier Beauvois en réalisateur mythomane qui rêve de tourner son plus "grand film de cul". D'où quelques scènes drôles, jamais grivoises, sous l'œil de nos Starsky et Hutch d'occasion embarqués dans cette folle histoire qui part dans tous les sens.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Inattendu et déconcertant dans sa narration, le nouveau Cédric Anger réussit à imposer peu à peu un rythme et une tonalité qui lui sont propres. Un film curieux et attachant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Positif
par Philippe Rouyer
Loin des habituelles représentations du porno franchouillard, confites dans le vaudeville ou le pastiche, la réussite de "L'amour est une fête" tient à son art de retrouver dans sa forme la liberté de ton à laquelle elle rend hommage.
Première
par La Rédaction
Producteurs amoureux, cinéastes frustrés, figurants émotifs... Le porno vient de trouver sa "Nuit américaine".
Télé Loisirs
par Gwénola Trouillard
Cédric Anger signe une fable joyeusement amorale sur fond de liberté sexuelle.
Voici
par Lola Sciamma
Une immersion joyeuse et hédoniste dans l'âge d'or du hard.
L'Express
par Eric Libiot
[...] une succession de scènes souvent réussies qui ne font pas un film. Un machin hétéroclite agaçant qui avait tout pour être séduisant.
L'Obs
par Nicolas Schaller
orté par des images et une bande-son léchées, mais lesté par une écriture incertaine, "L'amour est une fête" réjouit surtout dans les scènes avec Michel Fau, savoureux en parrain libertin, et Xavier Beauvois, en réalisateur X exalté (inspiré de feu Henri Pachard et Michel Ricaud).
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
Avec une nostalgie festive et colorée, Cédric Anger raconte la fin d’un cinéma artisanal, où le sexe était filmé par des réalisateurs de talent [...] avec de vraies histoires. La sienne part un peu dans tous les sens mais reste toujours joyeusement débridée.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
Saisie au crépuscule d’un artisanat du porno où le plaisir et la liberté d’en jouir avaient, si l’on en croit l’auteur, encore leur place, L’amour est une fête est un film impertinent, qui ne se fera pas que des amis dans sa propre époque.
Sud Ouest
par Sophie Avon
Sans être magistrale, loin s’en faut, cette fable presque documentaire gagne la sympathie par son tâtonnement même. Et Michel Fau en figure excentrique d’un milieu aujourd’hui défunt, ajoute à la curieuse poésie de ce chant d’amour libertin.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Télérama
par Louis Guichard
L’Amour est une fête joue sur la nostalgie d’une société à la fois plus libertaire et plus innocente que la nôtre, dans son rapport à la sexualité comme aux images… Mais Cédric Anger, né en 1975, assume la part de fantasme et d’utopie attachée à un tableau aussi idyllique. Son coucher de soleil final est un peu trop beau pour être vrai… Les seuls paradis sont les paradis perdus.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
Célébration déculottée des grandes années de la pornographie française, avec stars bankables à l’appui, cette partie de doigts en l’air à l’égard de la pruderie contemporaine, séduit par son humour cocasse et son véritable amour pour son sujet qu’il traite sans jamais s’adonner à la leçon moralisatrice.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Ecran Large
par Simon Riaux
A force de lourdeurs et de maladresses, ce qui se voulait l'évocation élégiaque d'une partouzerie innocente se mue en vieux fantasme rance, doublé d'un mauvais polar.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Cédric Anger se replonge avec mélancolie mais sans recul dans le cinéma porno des années 70/80. Hasardeux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
(…) Force est de constater que si de fêtes il est bien question dans le film, l’amour n’y advient jamais. Il reste dans sa coquille, bien trop intimidé par l’humour poissard incarné par le trio Canet/Lellouche/Fau.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Ouest France
par La Rédaction
Dommage que cette histoire de policiers en sous-marins ne soit pas crédible.
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Le film, écrasé par ses enjeux de reconstitution, réduit à une suite de sketchs et de calembours foireux, rend saillant l’horizon de médiocre pasticheur du cinéaste.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Pas besoin d'être une chienne de garde ou une femme à barbe pour être gêné par la vision de la femme véhiculée par cette ode au porno de papa.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
20 Minutes
Cédric Anger évoque l’époque pré-sida avec nostalgie et signe un film épris de liberté autour de Guillaume Canet et Gilles Lellouche.
CNews
Un poil trash mais jamais vulgaire, cette comédie à l’esthétique à la fois pop et rétro relève davantage d’un feel good movie jubilatoire et plein d’insouciance, que d’une simple enquête sur le milieu du X.
Closer
Une comédie réussie et une mention spéciale pour le décor et la bande-son.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Cédric Anger ravive le porno des années 80.
Le Point
On n'est pas dans le polar mais dans la comédie, avec Michel Pau, en producteur tordu et mystique et Xavier Beauvois en réalisateur mythomane qui rêve de tourner son plus "grand film de cul". D'où quelques scènes drôles, jamais grivoises, sous l'œil de nos Starsky et Hutch d'occasion embarqués dans cette folle histoire qui part dans tous les sens.
Les Fiches du Cinéma
Inattendu et déconcertant dans sa narration, le nouveau Cédric Anger réussit à imposer peu à peu un rythme et une tonalité qui lui sont propres. Un film curieux et attachant.
Positif
Loin des habituelles représentations du porno franchouillard, confites dans le vaudeville ou le pastiche, la réussite de "L'amour est une fête" tient à son art de retrouver dans sa forme la liberté de ton à laquelle elle rend hommage.
Première
Producteurs amoureux, cinéastes frustrés, figurants émotifs... Le porno vient de trouver sa "Nuit américaine".
Télé Loisirs
Cédric Anger signe une fable joyeusement amorale sur fond de liberté sexuelle.
Voici
Une immersion joyeuse et hédoniste dans l'âge d'or du hard.
L'Express
[...] une succession de scènes souvent réussies qui ne font pas un film. Un machin hétéroclite agaçant qui avait tout pour être séduisant.
L'Obs
orté par des images et une bande-son léchées, mais lesté par une écriture incertaine, "L'amour est une fête" réjouit surtout dans les scènes avec Michel Fau, savoureux en parrain libertin, et Xavier Beauvois, en réalisateur X exalté (inspiré de feu Henri Pachard et Michel Ricaud).
Le Journal du Dimanche
Avec une nostalgie festive et colorée, Cédric Anger raconte la fin d’un cinéma artisanal, où le sexe était filmé par des réalisateurs de talent [...] avec de vraies histoires. La sienne part un peu dans tous les sens mais reste toujours joyeusement débridée.
Le Monde
Saisie au crépuscule d’un artisanat du porno où le plaisir et la liberté d’en jouir avaient, si l’on en croit l’auteur, encore leur place, L’amour est une fête est un film impertinent, qui ne se fera pas que des amis dans sa propre époque.
Sud Ouest
Sans être magistrale, loin s’en faut, cette fable presque documentaire gagne la sympathie par son tâtonnement même. Et Michel Fau en figure excentrique d’un milieu aujourd’hui défunt, ajoute à la curieuse poésie de ce chant d’amour libertin.
Télérama
L’Amour est une fête joue sur la nostalgie d’une société à la fois plus libertaire et plus innocente que la nôtre, dans son rapport à la sexualité comme aux images… Mais Cédric Anger, né en 1975, assume la part de fantasme et d’utopie attachée à un tableau aussi idyllique. Son coucher de soleil final est un peu trop beau pour être vrai… Les seuls paradis sont les paradis perdus.
aVoir-aLire.com
Célébration déculottée des grandes années de la pornographie française, avec stars bankables à l’appui, cette partie de doigts en l’air à l’égard de la pruderie contemporaine, séduit par son humour cocasse et son véritable amour pour son sujet qu’il traite sans jamais s’adonner à la leçon moralisatrice.
Ecran Large
A force de lourdeurs et de maladresses, ce qui se voulait l'évocation élégiaque d'une partouzerie innocente se mue en vieux fantasme rance, doublé d'un mauvais polar.
La Voix du Nord
Cédric Anger se replonge avec mélancolie mais sans recul dans le cinéma porno des années 70/80. Hasardeux.
Les Inrockuptibles
(…) Force est de constater que si de fêtes il est bien question dans le film, l’amour n’y advient jamais. Il reste dans sa coquille, bien trop intimidé par l’humour poissard incarné par le trio Canet/Lellouche/Fau.
Ouest France
Dommage que cette histoire de policiers en sous-marins ne soit pas crédible.
Cahiers du Cinéma
Le film, écrasé par ses enjeux de reconstitution, réduit à une suite de sketchs et de calembours foireux, rend saillant l’horizon de médiocre pasticheur du cinéaste.
Le Figaro
Pas besoin d'être une chienne de garde ou une femme à barbe pour être gêné par la vision de la femme véhiculée par cette ode au porno de papa.