Derniers Avis : Un prince à New York 2 - Page 2

Quand l’idée de rebooter ou de transformer un film oublié ou anecdotique en franchise touche à ce point à l’absurde, fatalement, on a envie d’y jeter un coup d’oeil. Après tout, il s’agit là d’un calcul commercial comme un autre et c’est le même mouvement d’incrédulité irresponsable qui m’avait motivé pour une heure trente de bad trip devant ‘Un flic à la maternelle 2’. ‘Un prince à New York’, film largement oubliable, avait pourtant réalisé un incroyable hold-up sur le box-office en 1988. C’est qu’il anticipait de quelques années le déferlement des rom’com estampillées “Le Prince et la Pauvre”, pile au moment où Eddie Murphy était l’acteur le plus cool et bankable au monde ; enfin et surtout parce il avait contribué à normaliser l’idée d’un casting intégralement noir, dont les membres pouvaient dès lors jouer dans un registre hyper conventionnel qui ne soit pas de la BlaXploitation, ne parle pas de ghetto, de drogue ou de violence et offre la vision d’une sorte d’utopie africaine pré-Wakanda. Autant d’explications qui n’ont plus cours aujourd’hui et suppriment instantanément le peu de chances de succès que possédait ce projet mort-né. Entre ses numéros musicaux intempestifs et les grimages grimaçants de Murphy et Arsenio Hall qui rappellent les heures terribles de la série ‘Big mama’; le film tente de surfer sur la tendance post#Metoo dans son projet narratif, tout en accumulant les gags en-dessous de la ceinture - si ce n’est pas une blague de pet, c’est un blague de bite - mais il le fait si maladroitement que les rares moment réussis se retrouvent complètement noyées dans les scènes malaisantes. Après, même en essayant de passer outre l’échec du film en tant que comédie, j’aurais encore pu concéder que tout en n’étant personnellement pas très intéressé par la question, la facture sentimentale du film aurait pu mériter d’intéresser les amateurs de cinéma sucré...mais d’un bout à l’autre, ‘Un prince à New York 2’ est si approximatif et désordonné, si poussif et, disons-le clairement, ringard (malgré deux ou trois tentatives d’humour un tout petit peu subversif) qu’à part tuer dans l’oeuf le bref retour en grâce de Eddie Murphy depuis ‘My name is Dolemite’, je ne vois pas quelle impact ce ratage presque total pourrait avoir sur l’ordre des choses.

Un Prince à New York 2 ne parvient malheureusement pas à recapturer le charme et l'humour de son prédécesseur. Les ingrédients sont là mais la sauce à beaucoup de mal prendre.

Déjà que je n'avais pas trouvé le premier extraordinaire (comédie OK, romance nulle et Eddie Murphy trop mou), j'ai encore plus été déçu par cette suite. Je m'en doutais, mais c'était même pire que je ne l'imaginais, juste suffisant quelques minutes pour revoir les mêmes acteurs 30 ans après. L'intrigue est alambiquée et sans intérêt, et Eddie Murphy encore plus effacé que dans le premier épisode. Bref, un beau gâchis.

je ne mettrai aucu nenote car j'ai coupé le film au bout de 10 minute et ça ma suffit car si ça c'est la suite et ben alors il se sont tromper de film , deja sa femme a perdu completement son humanité du 1 et on la voit la comme une bourgeosie qui ne ressemble meme plus a une femme ordinnaire qui se battait pour vivre et aider les pauvre et quand je l'ai vue elle ma degoutté et je ne parle meme pas des personnage on se croirait a des discution de teletubi , et j'etais tres enervé et meme completement enragé de voir un film aussi pourrie de chez pourrie

film au top... j'ai vraiment aimé les tenus Africcaine, je me suis plongé dans le royaume de zamunda je ne comprend pas les mauvaise critique sur ce film!! des gens surement payé pour!! en tout cas moi j'ai kiffé!!

Les deux paramètres qui changent littéralement la physionomie résident en deux points : la place de la femme, et l'importance de la musique. Le film a un goût de Black Lives Matter et/ou Black Panther qui n'était pas là en 88, le film donc est en filigrane plus politiquement correct sans pour autant en faire son cheval de bataille (tant mieux !). Rien de méchant donc, c'est plutôt divertissant en remplissant bien le cahier des charges sans audace pour ne pas risquer de froisser qui que ce soit. On passera sur les rôles multiples du duo Murphy-Hall, qui apporte encore moins que dans le premier. Par contre on n'est pas insensible à l'autodérision de Wesley Snipes, au charisme intact de James Earl Jones ou au panache de la princesse Kiki Layne. Une suite générationnelle qui a permis par exemple au fiston de voir le premier avant ce qui n'est pas une si mauvaise chose. Une comédie familiale qui fait le job, de façon bien inoffensive.
Site : Selenie

Je met quand même en mémoire du 1re,
Qui était incontournable génial
Là je suis pas encore allé jusqu'au bout trop téléphoné

Un prince à New York 2 (Coming 2 America), comédie américaine réalisée par Craig Brewer sortie en 2021. Suite du film "Un prince à New York" de John Landis de 1988. Presque trente après nous retrouvons les personnages du premier film.
Avec Eddie Murphy, Arsenio Hall, Jermaine Fowler et Wesley Snipes
Une suite qui a le mérite de maintenir l'esprit initial. Une bonne réalisation, techniquement bien fait, ce n'est plus le film culte des années 80, mais cette suite n'est pas si mal.

Eddie Murphy a annoncé avoir arrêté le ciné à cause de "ses films de merdes". Une suite d'un de ses classiques changera-t-il la donne ?

Pas sûr, parce que le temps des comiques-rois capables de tenir seules un métrage est révolu, et le fiasco Borat 2 en a été une amère confirmation. D'autant que l'aura de Murphy s'est évaporée, et qu'il en semble lui-même convaincu, au point de s'entourer de beaucoup de seconds rôles, certains horripilants, pour noyer le poisson. Ça a beau être un véhicule à sa gloire , le coeur n'y est pas.

Ecriture typique pour une suite, renversement de la structure, évolution des personnages, rien de nouveau, que du vieux et surtout peu d'idées, et cette séquence de fête finale en validation du manque d'imagination de la production : on attendait une suite, on a droit à un remake paresseux.

Franchement, le revival eighties a ses limites, on le voit ici avec une comédie pas drôle qui croit défendre une pensée qui a des années de retard.

Mention cependant à Wesley Snipes (où t'étais, mec ???), seul sourire du film.

Même si le film prend les devants dans ses dialogues en expliquant qu’aux USA, les suites ne sont pas du niveau du premier épisode, on a quand même droit à une suite décevante. La faute à un scénario au rabais – tout est tellement prévisible -, à des dialogues vulgaires et à une interprétation minimaliste. A trop vouloir cabotiner, les acteurs et actrices perdent toute crédibilité et font sortir le spectateur de l’histoire : un comble si on compare avec le premier volet qui était tellement frais. Heureusement, il y a eu des moyens et cela se voit à l’image dans les costumes, les décors et la figuration en nombre. Ce demi-échec me donne quand même follement envie de revoir le premier volet et c’est déjà un bon point.

Le premier film datant des années 80 m'a beaucoup marqué, Eddie Murphy était au début de son apogée.
j'ai regardé ce film avec un brin de nostalgie d'une certaine époque.
la cuvée 2020 est surprenante, c'est place à la nouvelle génération, le film s'attaque à toute les discriminations, et il a même un coté féministe, il est plaisant à regarder, un peu simpliste et il comble aucun manque par rapport au premier film qui aurait put rester unique
j'ai aimé
- le casting, de nombreux invités
- plaisir de retrouver le fastfood macdowell( macdonald est un imposteur,
- bande originale tonique.

j'ai pas aimé
- histoire linéaire, et prévisible ;
- wesley snipes, un jeu d'acteur mauvais
- j'aurais aimé plus rire

C'est moyen mais on a le plaisir de revoir Eddie Murphy qui vieillit bien dans un de ses rôles fétiche.

Une catastrophe... Passé les 20 premières minutes, cad le plaisir de retrouver les personnages, on se rend rapidement compte que ce deuxième film est un fiasco : scénario prévisible, aucune finesse de jeu, chansons toutes les 20mn. Pire, des mimiques sexuelles, des sous-entendus, voire carrément des scènes sexuelles ... pareil pour les danses qui relèvent largement de l'obscénité et de la vulgarité la plus totale. Grosse déception. Contenu pas adapté aux plus jeunes.
Je mets une étoile pour les décors et les costumes qui sont soignés et manifestement très coûteux.

belle surprise de revoir les acteurs du premier volet
cela nous ramène des années en arrière
petit moment sympa

Une suite que l'on attendait pas (plus) ! 33 ans tout de même sépare la découverte de l'Amérique par un africain de cette suite ou un citadin de la grande pomme découvre l'Afrique. Si le film se veut moins provocant afin d'éviter les heurts avec les minorités revandicatives, il se permet quand même de rire du feminisme, de la jeunesse, du cinéma et de tous les codes à respecter aujourd'hui pour plaire. Le film garde quand même l'ambiance et l'esprit de l'épisode originel, l'ensemble du casting y fait son retour et certaines blagues d'il y a 33 ans trouvent leurs conclusions dans cet épilogue.

« Un prince à New York 2 » suite de « Un prince à New York » .

Une trentaine d’année ont passer depuis que le prince Akeem ( Eddie Murphy ) est partit à New York pour tenter de trouver la femme de sa vie . Depuis ce temps il mène une vie heureuse avec Lisa sa femme avec qui il a eu plusieurs filles . Mais tout va basculer quand son père meurt et qu’il se retrouve roi à sa place , qu’un royaume voisin est à deux doigt de lui déclarer la guerre et de l’assassiner et qu’il apprend qu’il a eu un fils quand il était à New York . Akeem qui a peur de se faire tuer décide alors de retourné à New York pour retrouver son fils et d’en faire un prince pour qu’il puisse lui succéder au cas où il viendrais à mourir ...


En 1988 sortait sur les écrans le film « Un prince à New York » une sympathique comédie porter par Eddie Murphy qui sera un gros succès commercial . Une trentaine d’année plus tard des producteurs ont eu l’envie de donner une suite à ce film sûrement en panne d’idée pour produire de la nouveauté même si le premier film se suffit largement à lui même et n’avait pas besoin de suite . C’est le réalisateur Greg Brewer qui est choisi pour succéder à John Landis à la réalisation du film lui qui ne tourne quasiment plus depuis une dizaine d’année .
A la base le film devait sortir au cinéma en 2020 mais vu la situation critique avec la pandémie de covid-19 qui frappe le monde et qui a obliger les salles de cinéma à fermer leur porte le film a finalement été racheter par Amazon Prime Vidéo qui a donc décider de le diffuser sur sa plateforme en 2021 . Le film est donc disponible actuellement sur Amazon Prime Vidéo .
Bon alors que vaut cette suite de « Un prince à New York »plus d’une trentaine d’années après le film originale ? Et ben c’est une vrai déception . Je dirais même que le film est une véritable catastrophe sans nom . Un ratage totale .
Le premier problème vient du scénario qui doit donc justifier une suite au premier film . Je rappelle que le premier film avait une conclusion qui n’appelait pas de suite . Le prince Akeem qui était partit à New York pour trouver la femme de sa vie avait trouver sa femme , il c’était marier avec elle et l’histoire se concluait donc la dessus . Bref tout était bien qui finissait bien . Le prince Akeem allait couler des jours heureux dans son palais avec sa belle et il n’y avait plus aucune raison qu’il retourne à New York . Il n’y avait donc plus rien à raconter . Eddie Murphy lui même a dit en interview lors de la promo de cette suite qu’il n’avait jamais envisager de suite pendant des années car l’histoire avait une vrai fin qui n’appelait pas de suite même si il a fini par se laisser convaincre de reprendre son rôle dans cette suite ( un gros chèque sûrement et un moyen de relancer sa carrière un peu au point mort depuis plusieurs années avec l’un de ses rôles phares ) . Donc quand tu veut faire absolument une suite à un film qui a une conclusion déjà sa part mal . Ils ont donc dû trouver une astuce pour relancer l’histoire et faire repartir le prince Akeem à New York . Et la autant dire que la justification pour le faire repartir à New York est vraiment bancale . Ils essayent donc de nous faire croire que quand le prince Akeem était à New York il a coucher avec une femme et qu’elle serait tomber enceinte de lui après sa . Sauf que dans le premier film on a vu que Akeem recherchait la femme de sa vie et sûrement pas un coup d’un soir . La scène dans la boîte de nuit dans le premier film nous montrait bien que plein de femmes le chauffait et qu’il n’était intéressé par aucune d’elle . Donc à partir de la les scénaristes se sont retrouver bloquer . Donc ils ont été obliger d’inventer une histoire à dormir debout comme quoi le prince Akeem c’est fait droguer et violer par une femme qui avait envie de lui lors de son passage en boîte de nuit dans le premier film et qu’il ne se souvenait plus de ça . Et tout le film doit donc tenir sur ce postulat pas du tout crédible . Donc le prince Akeem va donc repartir à New York rechercher son fils et la vient le second problème . Le premier film a déjà raconter le choc des cultures avec un prince qui se retrouvait dans un milieu qui n’était pas le sien à savoir les quartiers pauvre de New York . Et donc forcément il n’y a plus rien de nouveau à raconter la dessus . On recycle donc les gags du premier film et ce coup ci sa fonctionne plus du tout car sa fait vraiment réchauffer ( comme dans le premier film on voit le prince Akeem débarquée avec son look de prince puis ensuite adopter le look New Yorkais mais tout ceci ne nous fait plus rire ce coup ci ) . Les scénaristes se sont rendu compte qu’ils étaient devant un véritable problème et qu’ils ne pourraient pas tenir tout le film la dessus sans tomber dans le vulgaire remake réchauffer du premier film et ils ont donc décider d’abréger très vite le voyage du prince Akeem qui rentre donc très vite avec son fils au Zamunda . Donc on se retrouve devant un prince à New York qui reste à New York ... 10 minutes . Après ça pour renouveler un peu le film ils vont donc décider d’inverser le postulat du premier film en mettant ce coup ci le fils du prince Akeem qui est donc un jeune garçon modeste de New York au milieu de la royauté dans un palais luxueux et de voir comment il évolue dans ce milieu qu’il ne connaît pas . Dans le premier film c’était le riche qui débarquait chez les pauvres et la ce coup ci c’est le pauvre qui débarque chez les riches . Sa aurait pu donner un truc sympa . Ouais sauf que sa non plus sa ne fonctionne pas du tout . Tout les gags qui découlent de cette situation tombent à plat les uns après les autres . A croire que les scénaristes et le nouveau réalisateur n’étaient vraiment pas inspirer ou alors qu’ils n’a tout simplement pas le talent de John Landis pour mettre en scène une comédie .
Le prince Akeem va vouloir faire de son fils un prince et pour cela il va essayer de lui enseigner les bonnes manières digne d’un prince et le soumettre à des épreuves pour voir si il ferait un bon prince . Et une fois de plus toute cette intrigue pour faire du fils de Akeem un prince ne fonctionne pas . Sa aurait pu donner un truc amusant de voir un d’jeuns de New York essayer de devenir prince mais encore une fois sa marche pas . C’est pas drôle , sa tombe à plat et sa nous ennuie plus qu’autre chose .
Au niveau du casting on retrouve pratiquement tout les acteurs du premier film et c’est cool de les retrouver tous même si ils ont pris un petit coup de vieux avec le temps . On est donc content de les retrouver sauf qu’il y a très vite un nouveau problème qui se pose c’est qu’ils se retrouvent tous reléguer au second plan limite à faire de la figuration derrière la nouvelle génération d’acteurs et les nouveaux personnages du film . Des nouveaux personnages qui ne sont pas drôle et qui nous agacent plus qu’autre chose en plus de ça à commencer par le fils de Akeem et de sa mère vraiment agaçant . Et le pire de tous c’est que Eddie Murphy lui même qui portait le premier film à bout de bras se retrouve lui même reléguer au second plan derrière l’acteur qui joue donc son fils et sur lequel le film est totalement focaliser . Y’avait plus grand chose à raconter avec le personnage du prince Akeem ( tout a été dit dans le premier film ) alors forcément on est obligé de se focalisé ce coup ci sur son fils et de raconter une nouvelle histoire avec lui . Eddie Murphy se contente donc de faire le minimum syndicale . Il fait bien le job dans son rôle de Akeem qui est roi désormais mais sa s’arrête là . Il n’est pas du tout désopilant comme dans le premier opus . En même temps le scénario ne lui permet pas de se lâcher comme dans le premier film . Concernant Eddie Murphy j’ai vraiment du mal avec sa nouvelle voix française . L’acteur qui a doubler Eddie Murphy dans la plupart de ses film est malheureusement décédé en 2019 et ils ont donc du lui trouver un remplaçant . Et cette nouvelle voix n’est vraiment pas à la hauteur de l’ancienne qui était mythique et qui collait parfaitement à la personnalité de Eddie Murphy . Elle n’a pas la puissance comique de l’ancienne qui collait parfaitement à l’acteur .
Bref vous l’avez compris absolument rien ne fonctionne dans cette suite qui accumule les ratés .
Je met une étoile quand même pour les décors du film notamment la reconstitution du palais qui est bien foutu et pour le plaisir de retrouver le casting quasi au complet du premier film . Mais voilà c’est vraiment pas suffisant pour éviter le naufrage de cette suite . Un conseil rester en au premier film qui est une comédie très sympathique et qui se suffit largement à elle même et laisser tomber cette suite raté tout à fait dispensable .


Pour résumer « Un prince à New York 2 »est une suite très décevante et complètement raté de « Un prince à New York » pas drôle et ennuyante . Film à oublier très vite .