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Acidus
715 abonnés
3 703 critiques
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4,5
Publiée le 2 août 2019
Dire que le japonais sont les meilleurs dans le cinéma d'animation est un lieu commun... Mais c'est si vrai ! Ils nous le prouve une nouvelle fois avec "Silent Voice", film qui traite à la fois de l'amitié, de la différence que du harcèlement scolaire ou du mal-être. Ces sujets, graves et importants, sont abordés d'une manière extrêment poétique et touchante. Comment retenir ses larmes devant "Silent Voice" ? C'est beau sans tomber dans le pathos. Aucune fausse note pour cette pépite de l'animation japonaise. Je le conseille à tout le monde.
Un film émouvant, réaliste, d’une beauté sans nom.. Ce film est tout simplement un chef d’oeuvre. Il nous montre qu’il existe des personnes fragiles dans le monde où de simples mots peuvent briser leur vie. Mais ce n’est pas tout, même celui qui commet des erreurs peut mériter le pardon. Ce film offre une morale pour petits et grands ! À voir absolument
C’était’ le premier et sûrement le dernier manga que je regardais.. Pour faire plaisir à mon ami j’ai accepter de le regarder avec lui, autant vous dire que c’était les heures les plus longues de ma vie, je n’ai jamais autant regarder l’heure, c’est beaucoup trop long on ne se rappelle même plus ce qui c’est passer au début, le début et la fin ne sont pas du tout en rapport, on croirait que 4 histoire ont été rajouter dans le film, horriblement long et ennuyeux..
Très joli film, émouvant et qui m'a à nouveau tiré la larmichette, comme décidemment cela m'arrive souvent avec les films japonais (ou coréens) - je cite "Nobody knows", "Failan", "Dolls"...
Ce joli film nous présente la rédemption d'un jeune garçon, qui au début de l'histoire n'est qu'un petit crétin qui harcèle une jeune enfant sourde mais qui, rongé par les remords, va devenir peu à peu un jeune homme attachant et profondément humain. Il n'empêche qu'il a fait beaucoup de mal à l'héroïne et son entourage : il mérite quelques claques.
La bande son est superbe et le graphisme l'est tout autant. Seul reproche à ce film, il y a au bout des 2 tiers des redites. C'est dommage car le film aurait eu tout à gagner à ne durer qu'une heure 30, voir une heure 40. C'est pourquoi je ne lui attribue que 4 étoiles.
Film d'animation japonais, Silent Voice est un joli petit film. L'histoire traite d'un sujet peu vu dans ce genre d'oeuvre à savoir la surdité au travers de la relation entre deux adolescents. J'ai trouvé le début du film un peu trop vite expédié que ce soit au niveau de la raison qui pousse spoiler: Ishida à s'en prendre à Shoko et le temps très réduit entre leurs retrouvailles une fois plus âgés . D'ailleurs le film commence vraiment à partir de ce moment la, au fil du temps plusspoiler: il retrouve ses anciens camarades et plus c'est plaisant à suivre. Les différents personnages sont attachants, ils échangent des répliques franche et arrache parfois un rire. J'ai beaucoup aimé l'idée spoiler: des croix sur le visage des gens . L'ambiance général se veut très douce avec un vrai message sur l'amitié et cette recherche d'amitié qui est au final le cœur du sujet bien plus encore que le handicap. On se retrouve avec des moments pleins de poésie notamment grâce à un dessin de toute beauté. Que c'est beau visuellement, c'est coloré et le design global est une franche réussite. Pour magnifié cela, la b.o. de qualité colle parfaitement à ce qu'on voit à l'écran. En plus de cela le montage est vraiment intéressant. Malheureusement le plus gros défaut vient de la durée de ce long-métrage qui tire un peu en longueur et qui aurait gagné en qualité à faire vingt minutes de moins. La fin quant à elle est plutôt plaisante. Au final Silent Voice mérite d'être regarder car il possède de belles qualités et plaira aux plus jeunes comme aux plus grands.
Plus qu’une adaptation du premier tome de Yoshitoki Oima, l’œuvre de Naoko Yamada est une poignante analyse de la psychologie humaine, à un âge où la fougue prend souvent le pas sur la raison. Il y a donc matière à discuter de la légitimité d’une âme et de son rachat. En mêlant le handicap et le harcèlement scolaire, le récit préfère se pencher sur une émotion grasse d’entrée de jeu. Mais avions-nous réellement besoin de cela pour nous convaincre des méfaits de l’enfance dans un environnement si hostile ? Il y a deux réponses possibles et la réalisatrice tutoie le bon parti afin de sensibiliser un mouvement, synonyme de réalité. A l’école, il y en a au moins un qui cherchera à captiver l’attention et on comprendra, malgré les personnages, le mélodrame qui en découle et qui sera subtilement exploité par la suite.
Shoya Ishida constitue cet élève perturbateur qui se nourrit du divertissement à outrance afin de sympathiser avec des camarades tantôt ouverts, tantôt fermés. La recette du pouvoir, c’est avant tout un mélange d’influences et de d’indépendance. Ce dernier se place entre les deux et parvient à tirer de toute sa classe un réel engouement dans sa démarche violente et sans remords. À aucun moment, ce jeune garçon ne se remet en question, dans un premier acte qui signe rapidement son extinction au sein d’une société qu’il souhaitait conquérir plus que tout. C’est ainsi à l’arrivée de la jeune Shoko Nishimiya que leur vie va être balancée entre l’amitié et le pardon. Atteinte de surdité, elle tient les promesses d’une aveugle en laissant ses camarades la manipuler et à tort. Le jeune Ishida en profite ainsi pour la sacrifier sur l’autel du divertissement, jusqu’à ce qu’il finisse par culpabiliser de ses actions déplacées. Il n’y avait rien de bien nouveau dans cette exposition qui le place sans surprise sur un tremplin vers la rédemption.
Indigne de toute amitié, il suggère toutefois le meilleur de lui-même lorsqu’il finit par s’isoler de ses camarades. À ce stade, il est possible de faire écho à une génération japonaise très fermée sur leurs émotions. C’est pourquoi la communication universelle est la clé de ce pamphlet qui prône la diversité dans une époque où les cultures doivent cohabiter pour exister. On compose ainsi magnifiquement les échanges avec une galerie de personnages secondaires qui apporteront des points de vue intéressants su les nuances qui peuvent aisément être oubliées. L’incertitude et la vue subjective sont d’ailleurs remises en cause, car l’environnement dans lequel évolue notre duo interagit avec leurs émotions les plus profondes, jusqu’à ce que la sincérité les libère de leur tourment. Logée dans la même enseigne, Nishimiya doit surmonter des obstacles qui lui sont propres afin de pouvoir s’intégrer dans une société qui ne demande qu’à l’écouter et à l’apprécier à sa juste valeur.
Le jeu du bourreau et de sa victime aura eu de longues périodes de réflexion, là où il était nécessaire de revisiter l’âme de sa moitié et d’en justifier sa motivation. Et tout l’enjeu de ce long-métrage réside dans l’approche sensorielle, car ce sont nos émotions qui impacteront notre visionnage, vis-à-vis de personnages qui souffrent en permanence et en silence. « A Silent Voice » désigne ainsi toute la problématique d’un groupe de jeunes qui peinent à s’élever au-delà de leur condition, car chacun surfe sur une tendance qui lui est singulière. Yoshitoki Oima nous emmène alors loin du dénouement moral que l’on pourrait attendre et appelle encore à la majestuosité du romantisme afin d’unir la belle et la bête autour d’un havre de paix, où chacun parviendra à parler avec son cœur.
L'histoire de deux gamins, l'une sourde, l'autre qui la harcèle. Ils grandissent et se retrouvent. C'est parfois nian nian et peu compréhensible que les prof n'interviennent pas ou si tard. Le montage n'est pas toujours au top, on ne se rend pas bien compte que le temps a passé ni vers quelle époque on est et à quel niveau d'études sont les gamins. Mais nos personnages principaux et quelques secondaires sont attachants et la morale est... Je sais pas si elle est là, en fait. Le final est m'a laissé sur un... Euh.. C'est tout ?
Les graphismes sont beau, les ost sont belle, l’histoire est belle... ce film est magnifique.
Les personnages détestables et dépressif rendent l’histoire tout particulièrement réaliste. La remise en question chez le personnage principal nous remet Nous même en question sur est-ce que ce que nous avons fais dans le passé est mal ou non.
Shoko, d’une douceur magique chaque fois que je la vois je veux la serrer dans ma bras. Pas un brin rancunière, complètement serviable, elle a toujours voulu aider mais n’a jamais été accepté. Grâce à elle, on se rend compte à quel point le fait d’être sourd peut être dur, pas que au niveau des sons que l’on entend pas mais au niveau du sociable aussi.
Un fin qui m’a ému au possible, je le recommande chaudement!
À Silent The Voice et un très bon film les musiques sont très bien choisis et ça te fait réfléchir et l'histoire est vraiment incroyable je vous conseille ce film
un trés bon film qui touche un sujet tres sensible le harcélement avec une fi dramatique une des mielleur nimations est surtout tres prenant et émouvant !!
La première partie est vraiment survolée, sans avoir lu le manga, je serais passé à côté de pas mal de choses. C'est vraiment dommage, car on ne voit pas assez les brimades, l'approbation silencieuse des élèves et du prof, le revirement suite aux accusations et donc la réaction de shoko et de shoya par la suite. Après ça, le film est bon et plein d'émotion. Mais je ne saurai que conseiller la version papier.
Personnellement, j'ai adoré le film; j'ai déjà lu le manga et je ne savais pas du tout qu'un film sortirait. Je serai très heureuse s'il y avait une suite à ce film dans laquelle nous saurons: ce qui va se passer entre Shoya et Shoko. J'espère de tout coeur que les réalisateurs envisagent une suite!!
Je trouve ce film incroyable il est à la fois horrible parce qu'elle ce fait harceler alors qu'elle n'a rien fait elle est juste sourde il y a 1h40 de film extraordinaire triste et mélancoliques mais avec une fin magnifique spoiler: vraiment je vous le conseille.