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    Silent Voice
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    4,3
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    168 critiques spectateurs

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    Cinememories
    Cinememories

    487 abonnés 1 466 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 mars 2022
    Plus qu’une adaptation du premier tome de Yoshitoki Oima, l’œuvre de Naoko Yamada est une poignante analyse de la psychologie humaine, à un âge où la fougue prend souvent le pas sur la raison. Il y a donc matière à discuter de la légitimité d’une âme et de son rachat. En mêlant le handicap et le harcèlement scolaire, le récit préfère se pencher sur une émotion grasse d’entrée de jeu. Mais avions-nous réellement besoin de cela pour nous convaincre des méfaits de l’enfance dans un environnement si hostile ? Il y a deux réponses possibles et la réalisatrice tutoie le bon parti afin de sensibiliser un mouvement, synonyme de réalité. A l’école, il y en a au moins un qui cherchera à captiver l’attention et on comprendra, malgré les personnages, le mélodrame qui en découle et qui sera subtilement exploité par la suite.

    Shoya Ishida constitue cet élève perturbateur qui se nourrit du divertissement à outrance afin de sympathiser avec des camarades tantôt ouverts, tantôt fermés. La recette du pouvoir, c’est avant tout un mélange d’influences et de d’indépendance. Ce dernier se place entre les deux et parvient à tirer de toute sa classe un réel engouement dans sa démarche violente et sans remords. À aucun moment, ce jeune garçon ne se remet en question, dans un premier acte qui signe rapidement son extinction au sein d’une société qu’il souhaitait conquérir plus que tout. C’est ainsi à l’arrivée de la jeune Shoko Nishimiya que leur vie va être balancée entre l’amitié et le pardon. Atteinte de surdité, elle tient les promesses d’une aveugle en laissant ses camarades la manipuler et à tort. Le jeune Ishida en profite ainsi pour la sacrifier sur l’autel du divertissement, jusqu’à ce qu’il finisse par culpabiliser de ses actions déplacées. Il n’y avait rien de bien nouveau dans cette exposition qui le place sans surprise sur un tremplin vers la rédemption.

    Indigne de toute amitié, il suggère toutefois le meilleur de lui-même lorsqu’il finit par s’isoler de ses camarades. À ce stade, il est possible de faire écho à une génération japonaise très fermée sur leurs émotions. C’est pourquoi la communication universelle est la clé de ce pamphlet qui prône la diversité dans une époque où les cultures doivent cohabiter pour exister. On compose ainsi magnifiquement les échanges avec une galerie de personnages secondaires qui apporteront des points de vue intéressants su les nuances qui peuvent aisément être oubliées. L’incertitude et la vue subjective sont d’ailleurs remises en cause, car l’environnement dans lequel évolue notre duo interagit avec leurs émotions les plus profondes, jusqu’à ce que la sincérité les libère de leur tourment. Logée dans la même enseigne, Nishimiya doit surmonter des obstacles qui lui sont propres afin de pouvoir s’intégrer dans une société qui ne demande qu’à l’écouter et à l’apprécier à sa juste valeur.

    Le jeu du bourreau et de sa victime aura eu de longues périodes de réflexion, là où il était nécessaire de revisiter l’âme de sa moitié et d’en justifier sa motivation. Et tout l’enjeu de ce long-métrage réside dans l’approche sensorielle, car ce sont nos émotions qui impacteront notre visionnage, vis-à-vis de personnages qui souffrent en permanence et en silence. « A Silent Voice » désigne ainsi toute la problématique d’un groupe de jeunes qui peinent à s’élever au-delà de leur condition, car chacun surfe sur une tendance qui lui est singulière. Yoshitoki Oima nous emmène alors loin du dénouement moral que l’on pourrait attendre et appelle encore à la majestuosité du romantisme afin d’unir la belle et la bête autour d’un havre de paix, où chacun parviendra à parler avec son cœur.
    floramon
    floramon

    86 abonnés 1 430 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 septembre 2018
    Cela faisait longtemps que je n'avais pas vu un manga aussi réussi, ce qui est très fort dans ce film, c'est tous les messages qu'il aborde , tel que le courage, le pardon et la tolérance, ce film m'a pris en plein cœur.
    Artriste
    Artriste

    123 abonnés 2 019 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 26 avril 2019
    Film d'animation japonais, Silent Voice est un joli petit film. L'histoire traite d'un sujet peu vu dans ce genre d'oeuvre à savoir la surdité au travers de la relation entre deux adolescents. J'ai trouvé le début du film un peu trop vite expédié que ce soit au niveau de la raison qui pousse spoiler: Ishida à s'en prendre à Shoko et le temps très réduit entre leurs retrouvailles une fois plus âgés
    . D'ailleurs le film commence vraiment à partir de ce moment la, au fil du temps plus spoiler: il retrouve ses anciens camarades
    et plus c'est plaisant à suivre. Les différents personnages sont attachants, ils échangent des répliques franche et arrache parfois un rire. J'ai beaucoup aimé l'idée spoiler: des croix sur le visage des gens
    . L'ambiance général se veut très douce avec un vrai message sur l'amitié et cette recherche d'amitié qui est au final le cœur du sujet bien plus encore que le handicap. On se retrouve avec des moments pleins de poésie notamment grâce à un dessin de toute beauté. Que c'est beau visuellement, c'est coloré et le design global est une franche réussite. Pour magnifié cela, la b.o. de qualité colle parfaitement à ce qu'on voit à l'écran. En plus de cela le montage est vraiment intéressant. Malheureusement le plus gros défaut vient de la durée de ce long-métrage qui tire un peu en longueur et qui aurait gagné en qualité à faire vingt minutes de moins. La fin quant à elle est plutôt plaisante. Au final Silent Voice mérite d'être regarder car il possède de belles qualités et plaira aux plus jeunes comme aux plus grands.
    Dora M.
    Dora M.

    67 abonnés 501 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 novembre 2020
    A l’école primaire, Ishida harcèle Nishimiya qui est sourde. Celle-ci finit par quitter l’école mais Ishida est vu comme le responsable du mal être de sa camarade et se fait à son tour mettre de côté.
    Quelques années plus tard, cette histoire le hante toujours, il retrouve Nishimiya et tente de se racheter une conduite.
    Les thèmes du harcèlement scolaire, du pardon, de la rédemption sont intéressants, sombres pour un dessin animé mais utiles, les questions du suicide et du mal être sont aussi abordées. L’histoire est globalement touchante.
    En revanche, je ne suis pas fan de manga, du côté exagéré des rires et des pleurs, c’est peut-être un peu cucul au final.
    Pierre C.
    Pierre C.

    15 abonnés 140 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 janvier 2021
    Il se passe peu de chose, c'est répétitif, ça essaye d'être triste avec des litres de larmes par minutes, un seul personnage amusant en deux herues. Mais c'est beau, il y a la petite histoire d'amour, et l'ambiance japonaise est bien sympa.
    QuelquesFilms.fr
    QuelquesFilms.fr

    272 abonnés 1 645 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 9 février 2019
    Une école japonaise, une élève sourde, un cas de harcèlement. Et quelques années plus tard, des retrouvailles compliquées. Il y a de belles choses touchantes, émouvantes, dans ce film d'animation. Dommage que l'on n'ait pas élagué le scénario pour éviter des répétitions, des lourdeurs et des longueurs. La barque est très chargée au niveau mélodramatique, notamment dans l'expression de la culpabilité. Il doit y avoir là un record du monde : celui du film où l'on prononce le plus grand nombre de fois le mot "pardon" !
    Diabloxrt
    Diabloxrt

    38 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 11 novembre 2024
    "Silent Voice" est un long-métrage d’animation qui pourra facilement en surprendre plus d'un, même surtout pour ceux étant fans de ce type de projet. C’est bien connu, les films d’animation japonais ont vraiment un grain et une identité très particulière, et ce film le démontre totalement. Grâce à la qualité de son histoire et de ses personnages, ce long-métrage fonctionne vraiment à merveille. Le concept va être de nous proposer deux personnages principaux bien singuliers, pour amener à aborder des thématiques bien précises. Celles-ci vont tourner autour de la différence, de l'acceptation, mais surtout autour de la remise en question. Tous ses sujets, assez vastes et larges, seront surtout mis en lumière par le personnage de Nishimiya, celle-ci étant sourde depuis sa naissance. Pourtant, c'est bien Ishida, notre second personnage principal, qui va amener tout cela. La particularité du film va être de nous présenter ce héros comme un personnage détestable et bourrer de défauts, pour ensuite pouvoir voir son développement tout au long de l'œuvre, à mesure qu'il apprend à devenir tolérant. Et clairement, cette est très classique dans son concept, je dois l'avouer. Mais en vérité, je trouve que c'est en cela que le film fonctionne bien. Au lieu de nous présenter une histoire d'amour un peu basique, on prend des personnages bien particuliers, et on vient y intégrer tout un tas de sujets très intéressants à traiter, les histoires de différence et de changement étant clairement mes histoires d'amour préféré. Et finalement, ce film réussit donc parfaitement son travail, car en plus d'être un long-métrage visuellement très agréable à regarder (par l'intermédiaire d'une belle animation), il risque facilement de vous émouvoir par la tournure de son histoire. C’est donc une très belle petite découverte que j'ai faite, et je vous recommande donc fortement de la visionner. Pour conclure, un très bon film d'animation japonais, et une très bonne romance.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 1 février 2019
    L’animation la plus ennuyeusement longue, l’interminable récit se termine au bout du sans suspense, un début au sujet intéressant, le harcèlement scolaire des adolescents sourds, beaucoup de larmoyant et pas de fond de la question qui se pose. Le mea culpa du harceleur à la personnalité insipide, en une scène coupée, il m’a fait trop retenir de la séance.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 23 septembre 2018
    Un animé romantique,qui fait pleurer presque tout le monde,ce film montre tout ce qu'on ressent dans notre coeur.Une histoire romantique passionnante. Naoki Yamada a eu une tel idée de faire ce film.Ce film montre tout,le drame,l'amour.
    Guillaume C.
    Guillaume C.

    88 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2018
    Sous ses airs colorés, léger, joyeux si l’on s’en tient au visuel (particulièrement réussi au niveau de l’esthétique, des détails et de l’animation), Silent Voice et pourtant grave et lourd de sens. Abordant des sujets tels que le handicap, le harcèlement, le suicide, la rédemption, l’amitié, le pardon… Mais c’est surtout une belle et forte leçon de vie. Silent Voice, à travers ces personnages attachants, nous pousse à la réflexion, à l’introspection et le fait bien. Sans jamais verser dans le sentimentalisme, le niais, ne se voulant jamais moralisateur, Naoko Yamada aborde ces sujets avec beaucoup de sérieux, mais surtout beaucoup de finesse. Et tour à tour on se prend tantôt à être critique, tantôt à avoir de l’empathie pour des personnages attachants, auxquels on peut facilement s’identifier et dont on essaiera constamment de comprendre ce qui les poussent à agir de telle ou telle façon.

    Car ces personnages sont à l’image de l’histoire, tout en finesse, bien développés, avec beaucoup de sous-entendus et de non-dits, laissant libre court à l’interprétation du spectateur. Des personnages on ne peut plus ordinaire et c’est ce qui fait leur sympathie et la force de Silent Voice. C’est ce récit de la vie quotidienne, d’apparence calme, douce et assez banale et pourtant très violente et brutale pour la plupart des protagonistes. Chacun d’entre eux mesure les conséquences de ces actes à mesure que l’histoire avance et tous essaient de recoller les morceaux, de rester dans cette barque de l’amitié parfois soumise à de vraies tempêtes. Tous avec leurs différent moyens, leurs différentes personnalités. De sorte que l’ensemble des personnages, même secondaires, est digne d’intérêt pour le spectateur, d’autant plus que, comme je le disais plus haut, Yamada prend le temps de bien les développer.

    Elle prend même parfois un peu trop son temps, et le film n’est pas exempt de quelques belles longueurs ou redondances. Du coup on perd parfois en intensité et en émotions, c’est l’unique véritable défaut de ce film, qui pourrait être raccourci d’une bonne vingtaine de minutes.

    Dommage quand on voit la charge émotionnelle que peut avoir ce film, surtout dans le dernier tiers. Il n’en reste pas moins que Silent Voice est un très beau film, qui plaira par son esthétique aux fans d’animés mais qui saura aussi séduire les autres par sa belle histoire d’amitié et sa belle leçon de vie, distillée avec finesse par Naoko Yamada qui nous fait réfléchir sur nous-mêmes et sur les liens que nous entretenons avec notre entourage.
    ATHMOS.ONER
    ATHMOS.ONER

    154 abonnés 259 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 août 2018
    N’étant ni un expert, ni un fana des films d’animation Japonais, je n’avais pas spécialement envie d’aller voir « Silent voice ». Heureusement, quelques très bonnes critiques m’ont motivé à aller le voir en salle obscure et c’est un festival de couleurs vives et chatoyantes qui s’est offert à ma vue.
    Ce cocktail visuel contraste particulièrement avec le thème noir du film : le harcèlement !
    Entre harcèlement à l’école, non-respect du handicap, bannissement de l’harceleur, harceleur qui devient victime, mise en ligne de vidéos humiliantes, brimades et repenti, le film dispose d’une matière conséquente qui se retrouve dans la psychologie des personnages, dans leurs rapports à l’amitié, à la famille, à la honte (thème toujours très fort dans la société Japonaise).
    Et puis il y a les conséquences du comportement qui font que le harceleur devient harcelé, et en point d’orgue, l’envie de se suicider.
    Mais pas de panique, si les thématiques sont lourdes, le film n’est pas glauque et dispense même des notes d’humours bienvenues.
    Si l’on retrouve des excès d’expressions et des situations comiques propres aux films d’animation Japonais, la façon très sérieuse d’aborder des problèmes de sociétés dénote avec bien des productions du genre.
    Le seul défaut du film est sa répétitivité, qui devient un peu longuette, mais peut-être est-ce un choix délibéré pour mieux nous faire ressentir la lourdeur d’être agressé ou celle du repentir pour avoir été un harceleur actif ou passif ?
    Les mécaniques sont explorées en profondeur (pour ce type de film), en prime, on savoure les passages qui nous font ressentir les sons, comme si nous étions sourds (c’est particulièrement bien rendu et montre le fossé pour aller vers les autres lorsque l’on ne peut pas communiquer aisément avec eux). Enfin, les génialissimes scènes avec des croix sur les têtes des personnages vaut presque, à elle seule, le détour, je n’en dit pas plus, vous allez comprendre et savourer en voyant le film !
    Le tout est animé avec une excellente mise en scène, entre plans traditionnels et quelques belles trouvailles avec des angles et des points de vues surprenants, la liberté qu’offre le dessin animé est très bien exploitée et sort du cadre rigide et noir des problématiques de l’adolescence et de l’enfance qui sont traitées tout au long des 2h du film.
    Un message de rédemption fort et touchant dans un bel écrin visuel et même sonore à ne pas bouder, que vous aimiez l’animation ou non.
    Housecoat
    Housecoat

    124 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 octobre 2018
    Longtemps attendu après une sortie Européenne extrêmement tardive, Silent Voice se révèle bien au-dessus des attentes. Le film est adapté d'un manga à succès mais Naoko Yamada exploite toute les spécificités cinématographiques à sa disposition. Nous enfermant dans le même enfermement des personnages, sonore et sociale. Il ne se passe pas une seule scène sans qu'un effet de style ne vienne illustrer un peu plus la psychologie complexe de ses personnages, leur relation compliquée et ses propos difficiles à observer et traiter. Nous passons de séquences aux émotions fortes à des soulagements apaisants, des montagnes russes émotionnelles parfois avancées, parfois stoppées par les erreurs du passé, questionnant tant le pourquoi que ses lourdes conséquences qui ont découlé. Mais Silent Voice, par sa virtuosité expressionniste et ses multiples sous-textes sur l'adolescence, nous rappelle que le plus important est de vivre avec le regard des autres, que l'amitié transcende les différences et les obstacles sensoriels, de vivre, d'avancer. Un grand moment émotionnel et pictural.
    Chaîne 42
    Chaîne 42

    147 abonnés 3 095 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 17 février 2021
    Bien que le film soit assez long et semble ne pas beaucoup évoluer il reste sensible et utile tout le long. Aussi c'est très réussit non pas tant dans le fait du handicap car c'est une circonstance qui n'est pas non plus aussi rare que dans la difficulté de changer, de s'accepter soi même et d'être lucide sur soi et les autres.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    365 abonnés 1 814 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2020
    Ce film est vraiment un petit bijou. Plus le temps passe, plus j’aime regarder les films d’animation japonais. Certes je suis encore très loin d’être un spécialiste mais je découvre au fur et à mesure les merveilles qu’ils regorgent. Alors qu’il vient à peine d’être lancé en France, ce film est sorti au Japon depuis 2016 où, il était d’ailleurs placé 2ème du box-office. Il remporta même le prix du meilleur film d’animation de l’année par l’académie du Japon. Le thème de ce film est assez sérieux avec le harcèlement à l’école. Ça provoquera des moments durs par leur violence psychologique. Il y aura beaucoup d'intensité émotionnelle même si quelques passages seront un peu trop mélodramatiques. Point original, on aura un récit du point de vue du « bourreau ». On verra sa bêtise sans nom due aussi à sa jeunesse. Les méchancetés immorales puis ensuite le long chemin qu’il devra faire pour la rédemption. La beauté de ce film d’animation réside aussi par le message d’espoir qu’il envoie. Il n’est jamais trop tard pour changer. Donc oui on aura des passages durs mais d'autres magnifiques. Je ne sais pas si j’ai besoin de le préciser mais les dessins sont vraiment sublimes. SILENT VOICE nous montre encore une fois que l’art de l’animation nipponne peut nous faire beaucoup vibrer.
    Sebastien Mac Fly
    Sebastien Mac Fly

    15 abonnés 182 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 février 2019
    La première partie est vraiment survolée, sans avoir lu le manga, je serais passé à côté de pas mal de choses. C'est vraiment dommage, car on ne voit pas assez les brimades, l'approbation silencieuse des élèves et du prof, le revirement suite aux accusations et donc la réaction de shoko et de shoya par la suite.
    Après ça, le film est bon et plein d'émotion.
    Mais je ne saurai que conseiller la version papier.
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