Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Positif
par Bernard Génin
Un exemple unique de cinéma vérité, plein de chaleur humaine, de sauvegarde d'une mémoire, témoin de l'occidentalisation à outrance d'une Chine en ébullition.
L'Humanité
par Vincent Ostria
Les personnages attachants et candides, filmés par une caméra complice, font toute la saveur de ce documentaire.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Avec empathie, curiosité et un sens fort de l'image symbolique, Hendrick Dusollier filme les survivants d'une Chine qui disparaît.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Murielle Joudet
Dans la ville chinoise de Chongqing se trouve le quartier pauvre de Shibati, qui va être détruit. Hendrick Dusollier s’y glisse, caméra en main. Il se laisse guider par les habitants qui, loin de se plaindre de vivre dans de telles conditions, regrettent de devoir aller dans des appartements modernes.
Les Fiches du Cinéma
par Nathalie Zimra
Dans l’immense ville chinoise de Chongqing (34 millions d’habitants sur 82 000 km²), Shibati, le dernier des vieux quartiers, est sur le point d’être détruit et ses habitants relogés. D’une caméra sensible et tendre, Hendrick Dusollier en porte témoignage.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
En Chine, la sublime rencontre entre un réalisateur, sa caméra et un quartier pauvre en destruction.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Entre dédale de ruelles et galerie de portraits, Hendrick Dusollier filme avec sensibilité la fin du quartier historique de Chongqing, en Chine.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par François Ekchajzer
Si "Derniers Jours à Shibati" nous amuse avant de nous atteindre, il le doit pour beaucoup à la légèreté des relations tissées avec les uns et les autres par un « homme à la caméra » délesté des oripeaux du reporter et fragilisé par son statut d’étranger.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Julien Dugois
Une oeuvre historique dans le virage tumultueux de la Chine contemporaine.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Cahiers du Cinéma
par Florence Maillard
Tout va très vite, mais les personnes au cœur de cette transformation opposent leurs personnalités poétiques, passionnantes, que la caméra absorbe comme sans effort.
Positif
Un exemple unique de cinéma vérité, plein de chaleur humaine, de sauvegarde d'une mémoire, témoin de l'occidentalisation à outrance d'une Chine en ébullition.
L'Humanité
Les personnages attachants et candides, filmés par une caméra complice, font toute la saveur de ce documentaire.
L'Obs
Avec empathie, curiosité et un sens fort de l'image symbolique, Hendrick Dusollier filme les survivants d'une Chine qui disparaît.
Le Monde
Dans la ville chinoise de Chongqing se trouve le quartier pauvre de Shibati, qui va être détruit. Hendrick Dusollier s’y glisse, caméra en main. Il se laisse guider par les habitants qui, loin de se plaindre de vivre dans de telles conditions, regrettent de devoir aller dans des appartements modernes.
Les Fiches du Cinéma
Dans l’immense ville chinoise de Chongqing (34 millions d’habitants sur 82 000 km²), Shibati, le dernier des vieux quartiers, est sur le point d’être détruit et ses habitants relogés. D’une caméra sensible et tendre, Hendrick Dusollier en porte témoignage.
Les Inrockuptibles
En Chine, la sublime rencontre entre un réalisateur, sa caméra et un quartier pauvre en destruction.
Libération
Entre dédale de ruelles et galerie de portraits, Hendrick Dusollier filme avec sensibilité la fin du quartier historique de Chongqing, en Chine.
Télérama
Si "Derniers Jours à Shibati" nous amuse avant de nous atteindre, il le doit pour beaucoup à la légèreté des relations tissées avec les uns et les autres par un « homme à la caméra » délesté des oripeaux du reporter et fragilisé par son statut d’étranger.
aVoir-aLire.com
Une oeuvre historique dans le virage tumultueux de la Chine contemporaine.
Cahiers du Cinéma
Tout va très vite, mais les personnes au cœur de cette transformation opposent leurs personnalités poétiques, passionnantes, que la caméra absorbe comme sans effort.