« J‘ai choisi Orly Sud pour ses grandes baies vitrées ouvertes sur l'extérieur, sur la vie. Hélène (Dominique Blanc) se trouve un peu comme dans un aquarium avec la notion du monde toujours présente. Orly Sud a aussi un côté plus chaleureux, intime, cosy, malgré ses halls gigantesques, dans lequel Hélène pouvait se sentir bien. »
Débutant sa carrière avec Jeanne Labrune (De sable et de sang en 1987), José Pinheiro (Ne réveillez pas un flic qui dort en 1988) et Yannick Bellon (Les enfants du désordre en 1990, L'affût en 1992), Patrick Catalifo est notamment apparu dans Diên Biên Phu (Pierre Schoendoerffer, 1990), La joie de vivre (Roger Guillot, 1993) et A cause d'elle (Alain Corneau, id.).
Il a également joué dans J'ai horreur de l'amour (Laurence Ferreira Barbosa, 1997), J'aimerais pas crevé un dimanche (Didier Le Pêcheur, 1998) et Le derrière (Valérie Lemercier, 1999).
En 2000, Patrick Catalifo est à l'affiche du Cœur à l'ouvrage, aux côtés de Mathilde Seigner et Marc Citti.
« C'est étrange, cette jeune femme m'est totalement étrangère et à la fois, tellement proche… Je la perçois intimement. On a tous éprouvé plus ou moins ce sentiment d'abandon, de solitude. Se sentir abandonné est terrible, c'est la première souffrance que l'on éprouve, probablement la première blessure. La douleur d'une trahison amoureuse, je la connais aussi. »
Stand by est le premier long métrage de Roch Stéphanik. Auparavant, il avait réalisé un court métrage, Bisbille (1988), avec Valéria Bruni-Tedeschi.
Souvent filmés, les aéroports n'ont pourtant que rarement servi de décor à un film. Deux exceptions notables cependant : La jetée de Chris Marker (1962) et Tombés du ciel de Philippe Lioret (1993), tourné entièrement à Roissy.
Après un début de carrière prometteur - Le thé au Harem d'Archimède (Mehdi Charef, 1985), Conseil de famille (Costa-Gavras, 1986), Désordre (Olivier Assayas, id.), Miss Mona (Mehdi Charef, 1987), Camomille (id., 1988) Sans peur et sans reproche (Gérard Jugnot, id.) -, Rémi Martin n'est plus apparu sur les écrans pendant près de huit ans, jusqu'à Merci mon chien de Philippe Galland (1998).
En 2000, il retrouve Olivier Assayas pour Les destinées sentimentales.