Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
11 critiques presse
Les Fiches du Cinéma
par Delphine Cazus
Ce magnifique documentaire parvient à s’immerger dans la vie d’adultes atteints de trisomie 21, captant la complexité et la sensibilité de ces personnes extraordinaires.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
L'Humanité
par Dominique Widemann
Seuls importent les échanges avec les personnes trisomiques, leurs effets qui jamais ne disparaissent sous l’effet de groupe. Avec eux on rit, on pleure, on doute au gré d’une dramaturgie issue des situations elles-mêmes, de la théâtralité de l’existence. Que faire ?
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Guillaume Loison
Un documentaire sur la vie dans un centre spécialisé pour trisomiques adultes : on a l'impression de l'avoir déjà vu. Pourtant, la cinéaste chilienne livre un film poignant, cruel, plein de colère et de finesse.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le film parvient à modifier en profondeur le regard sur la trisomie en remplaçant l’impression initiale de leur ressemblance par la conscience vive de la singularité de chacun. Sa conclusion déchirante lui donne des accents de tragédie grecque dont ses héros se seraient bien passés.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Positif
par Bernard Génin
Rien n’a été écrit à l’avance, tout ce que l’on voit est le fruit de plus d’un an de tournage patient et respectueux dans les scènes les plus intimes qui, reconnaissons-le, surprendront un public non concerné par le sujet.
Première
par Thierry Cheze
Maite Alberdi décrit leurs rêves et la manière dont ils se fracassent plus ou moins violemment contre cette fameuse réalité façon plafond de verre avec une empathie jamais misérabiliste. Et rend grâce avec superbe à ceux qu’elle filme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Le regard d'une cinéaste empathique mais jamais misérabiliste qui rend grâce à ceux qu'elle filme.
aVoir-aLire.com
par Jérémy Gallet
Les humanistes ont, paraît-il, un mot pour désigner cette posture : la bienveillance. Maite Alberdi les démasque implacablement.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
[Un] documentaire chilien mais à portée universelle, drôle et touchant par moments.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Télérama
par Nicolas Didier
La réalisatrice dépeint finement une triste réalité.
Le Monde
par Jean-François Rauger
En choisissant de ne montrer que les personnages trisomiques, Maité Alberdi semble se livrer à une sorte d’expérimentation, très contrôlée, tentant de ramener aux catégories convenues d’une histoire d’amour empêchée de singulières et enfantines silhouettes humaines.
Les Fiches du Cinéma
Ce magnifique documentaire parvient à s’immerger dans la vie d’adultes atteints de trisomie 21, captant la complexité et la sensibilité de ces personnes extraordinaires.
L'Humanité
Seuls importent les échanges avec les personnes trisomiques, leurs effets qui jamais ne disparaissent sous l’effet de groupe. Avec eux on rit, on pleure, on doute au gré d’une dramaturgie issue des situations elles-mêmes, de la théâtralité de l’existence. Que faire ?
L'Obs
Un documentaire sur la vie dans un centre spécialisé pour trisomiques adultes : on a l'impression de l'avoir déjà vu. Pourtant, la cinéaste chilienne livre un film poignant, cruel, plein de colère et de finesse.
La Croix
Le film parvient à modifier en profondeur le regard sur la trisomie en remplaçant l’impression initiale de leur ressemblance par la conscience vive de la singularité de chacun. Sa conclusion déchirante lui donne des accents de tragédie grecque dont ses héros se seraient bien passés.
Positif
Rien n’a été écrit à l’avance, tout ce que l’on voit est le fruit de plus d’un an de tournage patient et respectueux dans les scènes les plus intimes qui, reconnaissons-le, surprendront un public non concerné par le sujet.
Première
Maite Alberdi décrit leurs rêves et la manière dont ils se fracassent plus ou moins violemment contre cette fameuse réalité façon plafond de verre avec une empathie jamais misérabiliste. Et rend grâce avec superbe à ceux qu’elle filme.
Studio Ciné Live
Le regard d'une cinéaste empathique mais jamais misérabiliste qui rend grâce à ceux qu'elle filme.
aVoir-aLire.com
Les humanistes ont, paraît-il, un mot pour désigner cette posture : la bienveillance. Maite Alberdi les démasque implacablement.
Le Journal du Dimanche
[Un] documentaire chilien mais à portée universelle, drôle et touchant par moments.
Télérama
La réalisatrice dépeint finement une triste réalité.
Le Monde
En choisissant de ne montrer que les personnages trisomiques, Maité Alberdi semble se livrer à une sorte d’expérimentation, très contrôlée, tentant de ramener aux catégories convenues d’une histoire d’amour empêchée de singulières et enfantines silhouettes humaines.