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À partir d'un tableau authentique et fascinant, sorte de Joconde asiatique, un film qui joue la carte romanesque de la fiction sentimentale et de l'exotisme : raffiné et ingénieux.
Le film joue sur la distance et la proximité, l'écart entre deux visions du monde, les grands espaces du palais et l'intimité des séances de pose, le silence et les sonorités exotiques (parfois contemporaines), pour composer une alchimie cinématographique singulière.
Au fil de cette histoire qui donne à Charles de Meaux l'occasion de faire une magnifique peinture de la Cité interdite, irradié par la beauté de son actrice, enveloppé dans une musique exquise, le cinéma devient un geste de plasticien, et la peinture, qui se met en mouvement dès l'ouverture du film dans une splendide séquence animée, une forme d'expression éminemment cinématographique.
Ce récit de l’attirance entre un jésuite et une impératrice, prisonniers du carcan de leur conditions, mêle plaisamment faits historiques et tourments romanesques.
Coproduction franco-chinoise tournée en mandarin, ce long métrage signé Charles de Meaux est une réflexion subtile et envoûtante sur la puissance de la représentation.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le film reste un peu désaffecté, peinant à filmer cet indicible d’une relation qui existe et n’existe pas en même temps. La faute sans doute aussi à un flottement du point de vue qui empêche de saisir complètement les tourments intérieurs de chacun. Dommage.
La reconstitution méticuleuse du rituel opaque de la cour se mêle à des effets de distanciation, volontaires ou non (...) qui déroutent et finissent par décourager l’attention.
Malgré la beauté de l’ensemble qui finit cependant par se retourner contre lui et donner le sentiment que Charles de Meaux se regarde filmer avec un certain contentement plutôt que chercher, justement, à transcender son récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
CNews
[Un] drame historique romanesque et flamboyant.
L'Humanité
Cette œuvre pourrait devenir une référence en matière de reconstitution raffinée de la Chine ancestrale.
Le Dauphiné Libéré
À partir d'un tableau authentique et fascinant, sorte de Joconde asiatique, un film qui joue la carte romanesque de la fiction sentimentale et de l'exotisme : raffiné et ingénieux.
Le Figaro
Le film joue sur la distance et la proximité, l'écart entre deux visions du monde, les grands espaces du palais et l'intimité des séances de pose, le silence et les sonorités exotiques (parfois contemporaines), pour composer une alchimie cinématographique singulière.
Le Monde
Au fil de cette histoire qui donne à Charles de Meaux l'occasion de faire une magnifique peinture de la Cité interdite, irradié par la beauté de son actrice, enveloppé dans une musique exquise, le cinéma devient un geste de plasticien, et la peinture, qui se met en mouvement dès l'ouverture du film dans une splendide séquence animée, une forme d'expression éminemment cinématographique.
Les Fiches du Cinéma
Ce récit de l’attirance entre un jésuite et une impératrice, prisonniers du carcan de leur conditions, mêle plaisamment faits historiques et tourments romanesques.
Les Inrockuptibles
Ce traité d'art et de culture entremêle avec goût sensualité et impertinence.
Libération
Un brillant jeu de miroirs qui reflète le caractère intraduisible de la tradition chinoise par le regard occidental.
Télérama
Inspirée d'une histoire vraie, une fresque romanesque et somptueuse, sur les traces de la Joconde asiatique au temps de la Chine impériale.
La Croix
Coproduction franco-chinoise tournée en mandarin, ce long métrage signé Charles de Meaux est une réflexion subtile et envoûtante sur la puissance de la représentation.
Le Journal du Dimanche
Une production ambitieuse et singulière qui assume sa lenteur et l'art du détail.
Cahiers du Cinéma
Le film reste un peu désaffecté, peinant à filmer cet indicible d’une relation qui existe et n’existe pas en même temps. La faute sans doute aussi à un flottement du point de vue qui empêche de saisir complètement les tourments intérieurs de chacun. Dommage.
Critikat.com
"Le Portrait interdit" se couvre d'une épaisse couche de naphtaline académique qui ankylose toutes les bonnes idées qui auraient pu surgir.
La Voix du Nord
Sujet passionnant mis à plat par un réalisateur emphatique et maladroit incapable de freiner les ardeurs phraseuses et cabotines des acteurs français.
Ouest France
Malgré le charisme de Melvil Poupaud et Fan Bing Bing, cette histoire provoque l'ennui.
Positif
La reconstitution méticuleuse du rituel opaque de la cour se mêle à des effets de distanciation, volontaires ou non (...) qui déroutent et finissent par décourager l’attention.
Studio Ciné Live
Bien que très travaillé plastiquement, le film, abscons et à la limite de l'expérimental, nous plonge dans un ennui sidérant.
L'Obs
Dans le décor sublime de la Cité interdite, tout se déroule avec lenteur. Le film est mal maîtrisé : problèmes de production, manque de rythme…
Première
Malgré la beauté de l’ensemble qui finit cependant par se retourner contre lui et donner le sentiment que Charles de Meaux se regarde filmer avec un certain contentement plutôt que chercher, justement, à transcender son récit.