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On dirait un de ces polars des années 1960, dont on avait oublié la recette. Olivier Gourmet, merveilleux comédien, est impressionnant dans le rôle d'un pistolero désespéré.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Sous influence (Olivier Marchal, Heat de Michael Mann), ce polar mêle habilement action et suspense autour des fameux tueurs du Brabant, qui ont ensanglanté la Belgique dans les années 1980.
Aucun folklore (argot, putes, coke…) dans ce polar ultra réaliste, sec et sans temps mort. Mais un certain romantisme du gangstérisme à l’ancienne, d’honnêteté dans la malhonnêteté. Le tout servi par une distribution impeccable, Olivier Gourmet en tête, plus affûté que jamais.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le mélange entre scènes d'action scotchantes et enquête labyrinthique bien compliquée ne fonctionne qu'imparfaitement mais l'ambition du projet est à saluer. Et Gourmet en McCauley wallon -droit, minéral, brut- est dément. Un vrai tueur, lui.
La critique complète est disponible sur le site Première
A priori hardie, la conjonction de ces deux genres - action + thriller politique - s'avère à la longue surtout destinée à donner le change des faiblesses de proposition du film - et de surcroît, le change n'y est pas.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
(...) ce court thriller belge vaut pour quelques scènes de braquage enlevées et la forme affûtée d’Olivier Gourmet. Mais le complot politique ne sert qu’à baliser un face-à-face caricatural, comme les dialogues, entre le gentil braqueur et des policiers véreux.
Le duo Olivier Gourmet/Bouli Lanners ne sauve pas ce polar qui se voudrait crépusculaire. La balourdise de l’intrigue et de la réalisation n’aboutit qu’à un film anecdotique.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
20 Minutes
François Troukens signe un premier film réussi avec "Tueurs".
L'Obs
On dirait un de ces polars des années 1960, dont on avait oublié la recette. Olivier Gourmet, merveilleux comédien, est impressionnant dans le rôle d'un pistolero désespéré.
Télé Loisirs
Sous influence (Olivier Marchal, Heat de Michael Mann), ce polar mêle habilement action et suspense autour des fameux tueurs du Brabant, qui ont ensanglanté la Belgique dans les années 1980.
Télérama
Aucun folklore (argot, putes, coke…) dans ce polar ultra réaliste, sec et sans temps mort. Mais un certain romantisme du gangstérisme à l’ancienne, d’honnêteté dans la malhonnêteté. Le tout servi par une distribution impeccable, Olivier Gourmet en tête, plus affûté que jamais.
Le Parisien
Malgré quelques maladresses, le polar se révèle prenant. La scène de braquage inaugurale, très longue et réaliste, est particulièrement réussie.
Positif
"Tueurs" s’impose comme un film de genre honorable, mais, en ne misant que sur l’action, ne traite jamais vraiment son passionnant sujet.
Première
Le mélange entre scènes d'action scotchantes et enquête labyrinthique bien compliquée ne fonctionne qu'imparfaitement mais l'ambition du projet est à saluer. Et Gourmet en McCauley wallon -droit, minéral, brut- est dément. Un vrai tueur, lui.
Voici
Un bon polar sur les manipulations politiques et policières.
Critikat.com
A priori hardie, la conjonction de ces deux genres - action + thriller politique - s'avère à la longue surtout destinée à donner le change des faiblesses de proposition du film - et de surcroît, le change n'y est pas.
Le Journal du Dimanche
(...) ce court thriller belge vaut pour quelques scènes de braquage enlevées et la forme affûtée d’Olivier Gourmet. Mais le complot politique ne sert qu’à baliser un face-à-face caricatural, comme les dialogues, entre le gentil braqueur et des policiers véreux.
Studio Ciné Live
Ce polar musclé, qui débute fort, déçoit au fur et à mesure que le puzzle s'assemble. La faute à un scénario trop cliché.
aVoir-aLire.com
Le duo Olivier Gourmet/Bouli Lanners ne sauve pas ce polar qui se voudrait crépusculaire. La balourdise de l’intrigue et de la réalisation n’aboutit qu’à un film anecdotique.