Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
25 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Malgré son sujet, cette œuvre sensuelle gorgée de soleil a quelque chose de galvanisant.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Critikat.com
par Juliette Goffart
Dans le paradis désenchanté et brûlant de l'adolescence, Ava est une formidable héroïne, à la fois courageuse et sensuelle, fonçant vers l'être aimé comme une comète noire à travers l'adversité du monde.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
"Ava" révèle une actrice et confirme une réalisatrice. À travers cette quête de liberté romanesque et cette histoire d'amour qui ré-enchante le monde, elles nous envoûtent par cet univers inventif, sensuel et magnétique.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Plutôt que de nous précipiter dans les ténèbres qui menacent son héroïne, la réalisatrice nous offre un ultime puit de lumière, salvateur comme un rêve de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Femme Actuelle
par Sabrina Nadjar
Un film étrange, d'une beauté crue et solaire, qui révèle Noée Abita, une jeune comédienne à suivre de près.
L'Humanité
par Maxime Lerolles
Un premier long métrage fascinant et riche de promesses.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
L'Obs
par Nicolas Schaller
Il y a, dans ce film encore vert (la seconde moitié, en mode "Bonnie et Clyde" buissonnier, tire à la ligne) mais diablement sensuel, mieux qu’un ton, un regard. Audacieux, transgressif même, et plus que prometteur.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
La Septième Obsession
par Sandrine Marques
Son récit d’apprentissage, progressivement contaminé par les ombres, embrasse aussi la peur de l’autre, dépassant ainsi le champ habituel du genre, à quoi s’allie la fulgurance de ses dialogues.
Le Figaro
par La Rédaction
Un premier long-métrage parfaitement maîtrisé.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Dans ce récit d’apprentissage à l’atmosphère envoûtante, parfois à la lisière du fantastique, une ado découvre la sexualité au moment où elle devient aveugle. Sa façon de combattre la fatalité et de développer ses autres sens. Noée Abita, pure révélation, évoque Adèle Exarchopoulos par sa nature indomptable. Réalisme, onirisme, délicatesse et sensualité: notre coup de cœur.
Les Fiches du Cinéma
par Cyrille Latour
Avec audace et originalité, Léa Mysius filme ce conte initiatique comme une ode crépusculaire. Un premier fim intense et une réalisatrice à suivre.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Tout en maîtrise dans sa représentation d’une sexualité qui s’éveille, le film s’autorise des moments plus relâchés de pure beauté plastique et sensuelle, notamment dans ces scènes où Ava se retrouve démunie face aux vagues de l’océan.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Luc Chessel
Fort d’un usage sensible de la musique, le premier film entêtant de Léa Mysius retrace l’été d’une adolescente qui devient aveugle.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Paris Match
par Karelle Fitoussi
La cinéaste évite ces écueils en passant du naturalisme le plus convenu au conte fantastique inquiétant, le tout littéralement éclairé par la grâce de sa jeune révélation, Noée Abita. A suivre.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une complète réussite.
Télérama
par Jacques Morice
C'est un festival des sens, que la mise en scène décuple, en déployant musique (de la contrebasse percutante à l'envol d'une mélopée électro hispanisante, la BO est un régal !), couleurs saturées, élans et effets de ruptures.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Bande à part
par Olivier Bombarda
Si le film souffre par endroits de quelques baisses de tension, le spectateur reste toujours captif de la beauté du cadre et de la lumière, signe d'une grande exigence de Léa Mysius et de son directeur de la photographie, Paul Guilhaume, à exalter le grain de la pellicule 35mm qui sied à leur sens esthétique.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
L'Express
par Christophe Carrière
Ce n'est pas drôle, non. Mais ce n'est pas déprimant non plus.
La critique complète est disponible sur le site L'Express
Le Monde
par Isabelle Regnier
La manière dont la cinéaste articule la question de la sexualité et du désir – d’autant plus intense que la maladie menace de plonger son héroïne dans une interminable nuit – avec celle de l’acculturation générale, d’une forme de misère sociale et morale, et du FN qui prospère sur ce terreau, est riche de promesses.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Là où "Grave" réussissait à sidérer par son propos franchement transgressif sur les plaisirs de la chair, "Ava" ne parvient pas à rendre complètement tranchant son discours sur la liberté –des esprits et des corps.
Voici
par Lola Sciamma
D'abord naturaliste, le film se transforme en conte balnéaire pour finir en une fantastique cavale romantique. A la fois solaire et crépusculaire, beau comme une éclipse.
Cahiers du Cinéma
par Joachim Lepastier
Le film a beau afficher son penchant pour l’étrangeté, il désamorce lui-même ce qui pourrait, à chaque fois, le guider vers un ailleurs. Rien de nouveau sous le soleil.
La Croix
par Arnaud Schwartz
La perte du sens visuel par la jeune fille intervient en contrepoint d’autres explorations sensuelles, mais le film, parfois drôle et inventif, ne parvient pas vraiment à tenir cette exigence jusqu’au bout, et lui substitue d’autres développements. Au final, il est un peu à l’image de son personnage, intriguant, téméraire, en devenir, mais pas tout à fait sorti de sa gangue.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Léa Mysius construit de façon assez originale son récit d’adolescence et de formation et elle trouve souvent des moments de grâce, mais elle a du mal à éviter les clichés qui guettent.
Ouest France
par Edouard Sonderborg
Le discours sur la liberté est un peu trop simpliste et les fulgurances graphiques un peu trop sages pour convaincre totalement.
20 Minutes
Malgré son sujet, cette œuvre sensuelle gorgée de soleil a quelque chose de galvanisant.
Critikat.com
Dans le paradis désenchanté et brûlant de l'adolescence, Ava est une formidable héroïne, à la fois courageuse et sensuelle, fonçant vers l'être aimé comme une comète noire à travers l'adversité du monde.
Culturopoing.com
"Ava" révèle une actrice et confirme une réalisatrice. À travers cette quête de liberté romanesque et cette histoire d'amour qui ré-enchante le monde, elles nous envoûtent par cet univers inventif, sensuel et magnétique.
Ecran Large
Plutôt que de nous précipiter dans les ténèbres qui menacent son héroïne, la réalisatrice nous offre un ultime puit de lumière, salvateur comme un rêve de cinéma.
Femme Actuelle
Un film étrange, d'une beauté crue et solaire, qui révèle Noée Abita, une jeune comédienne à suivre de près.
L'Humanité
Un premier long métrage fascinant et riche de promesses.
L'Obs
Il y a, dans ce film encore vert (la seconde moitié, en mode "Bonnie et Clyde" buissonnier, tire à la ligne) mais diablement sensuel, mieux qu’un ton, un regard. Audacieux, transgressif même, et plus que prometteur.
La Septième Obsession
Son récit d’apprentissage, progressivement contaminé par les ombres, embrasse aussi la peur de l’autre, dépassant ainsi le champ habituel du genre, à quoi s’allie la fulgurance de ses dialogues.
Le Figaro
Un premier long-métrage parfaitement maîtrisé.
Le Journal du Dimanche
Dans ce récit d’apprentissage à l’atmosphère envoûtante, parfois à la lisière du fantastique, une ado découvre la sexualité au moment où elle devient aveugle. Sa façon de combattre la fatalité et de développer ses autres sens. Noée Abita, pure révélation, évoque Adèle Exarchopoulos par sa nature indomptable. Réalisme, onirisme, délicatesse et sensualité: notre coup de cœur.
Les Fiches du Cinéma
Avec audace et originalité, Léa Mysius filme ce conte initiatique comme une ode crépusculaire. Un premier fim intense et une réalisatrice à suivre.
Les Inrockuptibles
Tout en maîtrise dans sa représentation d’une sexualité qui s’éveille, le film s’autorise des moments plus relâchés de pure beauté plastique et sensuelle, notamment dans ces scènes où Ava se retrouve démunie face aux vagues de l’océan.
Libération
Fort d’un usage sensible de la musique, le premier film entêtant de Léa Mysius retrace l’été d’une adolescente qui devient aveugle.
Paris Match
La cinéaste évite ces écueils en passant du naturalisme le plus convenu au conte fantastique inquiétant, le tout littéralement éclairé par la grâce de sa jeune révélation, Noée Abita. A suivre.
Studio Ciné Live
Une complète réussite.
Télérama
C'est un festival des sens, que la mise en scène décuple, en déployant musique (de la contrebasse percutante à l'envol d'une mélopée électro hispanisante, la BO est un régal !), couleurs saturées, élans et effets de ruptures.
Bande à part
Si le film souffre par endroits de quelques baisses de tension, le spectateur reste toujours captif de la beauté du cadre et de la lumière, signe d'une grande exigence de Léa Mysius et de son directeur de la photographie, Paul Guilhaume, à exalter le grain de la pellicule 35mm qui sied à leur sens esthétique.
L'Express
Ce n'est pas drôle, non. Mais ce n'est pas déprimant non plus.
Le Monde
La manière dont la cinéaste articule la question de la sexualité et du désir – d’autant plus intense que la maladie menace de plonger son héroïne dans une interminable nuit – avec celle de l’acculturation générale, d’une forme de misère sociale et morale, et du FN qui prospère sur ce terreau, est riche de promesses.
Première
Là où "Grave" réussissait à sidérer par son propos franchement transgressif sur les plaisirs de la chair, "Ava" ne parvient pas à rendre complètement tranchant son discours sur la liberté –des esprits et des corps.
Voici
D'abord naturaliste, le film se transforme en conte balnéaire pour finir en une fantastique cavale romantique. A la fois solaire et crépusculaire, beau comme une éclipse.
Cahiers du Cinéma
Le film a beau afficher son penchant pour l’étrangeté, il désamorce lui-même ce qui pourrait, à chaque fois, le guider vers un ailleurs. Rien de nouveau sous le soleil.
La Croix
La perte du sens visuel par la jeune fille intervient en contrepoint d’autres explorations sensuelles, mais le film, parfois drôle et inventif, ne parvient pas vraiment à tenir cette exigence jusqu’au bout, et lui substitue d’autres développements. Au final, il est un peu à l’image de son personnage, intriguant, téméraire, en devenir, mais pas tout à fait sorti de sa gangue.
Le Dauphiné Libéré
Léa Mysius construit de façon assez originale son récit d’adolescence et de formation et elle trouve souvent des moments de grâce, mais elle a du mal à éviter les clichés qui guettent.
Ouest France
Le discours sur la liberté est un peu trop simpliste et les fulgurances graphiques un peu trop sages pour convaincre totalement.