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    Le Poulain
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    benoitG80
    benoitG80

    3 437 abonnés 1 464 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 septembre 2018
    « Le Poulain » semblait avoir tout pour séduire dans l’idée et le concept du premier film de Mathieu Sapin...
    Car sur le fond, en étant adaptée de sa propre BD, la trame est franchement très bonne quand on contemple de son fauteuil tous ces intérêts personnels que défendent ou protègent ces politiques, prêts à n’importe quelle bassesse pour mieux préparer leur réussite et leur avenir !
    La démonstration est édifiante et très claire...
    Et pourtant petit à petit, si l’on considère ce que représentent chacune et chacun dans cette histoire, aucun ne semble être à sa place, dans la mesure où ces acteurs ne semblent pas être plus crédibles que cela !
    À commencer par ce peut-être descendant de Jean Jaurès qui dans la peau de Finnegan Oldfield, ne brille pas vraiment à l’écran en tant que « Poulain » potentiel...
    Le jeune acteur a pourtant été bien meilleur mais ici rien ne montre en quoi son personnage est prédestiné à être ce qu’il est censé devenir !
    On se demande bien comment il va pouvoir creuser son chemin, avec cette stature qui n’est absolument pas taillée pour !
    Son personnage manque d’analyse psychologique et reste terne et obscur du début à la fin.
    Quant aux autres rôles, on reste aussi sur sa faim, même Alexandra Lamy malgré ses dents carnassières, et son mépris total, là aussi on se résoud à penser que ça ne fonctionne pas, même dans le duo avec cet assistant dont elle se moque complètement.
    Trop de situations invraisemblables, un manque de réalisme évident, une peinture approximative et très légère de tous ces individus, sont finalement dommageables en nous empêchant de croire à l’ascension de ce jeune « Poulain » qui reste finalement une énigme quand le générique arrive !
    Tout partait d’un bon pied en tant que satire du monde politique, mais une petite déception quand même alors qu’un boulevard était tracé pour en faire une comédie éloquente et puissante.
    selenie
    selenie

    6 408 abonnés 6 221 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 21 septembre 2018
    Premier long métrage de l'auteur-dessinateur de BD de "politique humoristique" avec "Campagne Présidentielle" et "Le Château". Le but est de signer une comédie politico-satirique, à la fois réaliste et drôle. Le vrai bémol réside dans le fait que Mathieu Sapin manque sans doute un peu d'audace. Il y a des moments légers et drôles mais qui auraient pu l'être plus franchement, il y a une satire qui fonctionne bien mais à laquelle il manque un peu plus de férocité voir de cynisme. Le film est à l'image de son "poulain" au début du film, un peu trop tendre, un peu trop sage. Néanmoins on passe un très bon moment, ça reste bien écrit et plein d'acuité.
    Site : Selenie
    Yves G.
    Yves G.

    1 518 abonnés 3 533 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 juillet 2019
    Rien ne prédisposait le jeune Antonin Jaurès (Finnegan Oldfield qui réussit à jouer sur le fil le candide ni trop benêt ni trop roué), sinon son illustre patronyme, à faire de la politique. Repéré par un sous-couteau (Philippe Katerine, décidément excellent dans les seconds rôles), il est recruté par Agnès Karadzic (Alexandra Lapin, une main de fer dans un gant de velours), la directrice de cabinet de Catherine Beressi (Valérie Karsenti), une candidate à la primaire "démocrate". Mais, lorsque Pascal Perenois (Gilles Cohen), le favori de la primaire, l'emporte, sonne l'heure des choix.

    J'avais raté, à sa sortie en septembre dernier, cette comédie française, dissuadé par une bande-annonce qui me faisait craindre sa médiocrité. Je me trompais.

    Bien que signé par Mathieu Sapin, fin observateur de la vie politique française (embedded dans l'équipe de campagne de François Hollande puis à l'Elysée, il en avait tiré deux romans graphiques : "Campagne présidentielle" et "Le Château"), "Le Poulain" n'est pas toujours crédible. La vie de cabinet est, hélas, autrement plus terne que celle que le cinéma fantasme et qu'il est bien obligé d'inventer pour retenir l'attention d'un auditoire qui, si la morne réalité des jours lui était racontée, aurait tôt fait de déserter les salles. C'est le travers de toutes les fictions qui s'y sont colletées, aussi réussies soient-elles, depuis "Quai d'Orsay" à "Baron noir" en passant par "L’État de Grâce" (la mini-série de 2006 avec Anne Consigny qui prophétisait la victoire de Ségolène Royal à la présidentielle de 2007), "L'Exercice de l’État" (le film avec Olivier Gourmet et Michel Blanc), "Les Hommes de l'ombre" (la série avec Nathalie Baye).

    La politique y est décrite par le petit bout de la lorgnette avec un cynisme qui ne la grandit pas. Le fond importe peu - d'ailleurs on n'identifie pas l'orientation des candidats du parti "démocrate" qui se disputent la primaire. Rien n'est dit de la France, des Français et de leurs maux - le film sortirait alors que la jacquerie des Gilets jaunes était sur le point d'exploser. Le jeu politique est réduit à une farce jouée par des pantins libidineux, ivres de pouvoir.

    Mais une fois acceptée cette "reductio ad pathologicum", il n'en reste pas moins que "Le Poulain" fonctionne parfaitement. On s'attache à son personnage principal, ce jeune stagiaire qui découvre, à son corps défendant (c'est le cas de le dire !), les dessous de la politique. On s'attache même à sa patronne, qui devient presqu'humaine dans le dernier tiers du film. Après avoir vu "Le Poulain", on ne dira plus jamais avec la même légèreté : "je te rappelle sans faute".
    Estonius
    Estonius

    3 552 abonnés 5 457 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2022
    S'il y a une chose qui frappe dans ce film, c'est la présence magique d'Alexandra Lamy qui illumine le film de son charme et de son talent et qui endosse son rôle avec une maestria déconcertante. Le jeune Finnegan Oldfield s'en sort admirablement incarnant un personnage sans envergure mais dont la fréquentation des jeux de pouvoirs et de l'arrivisme ambiant va lui révéler ses ambitions. On appréciera également la performance de Philippe Katerine tout en contrepoint. Pour le reste,, il est vrai que la mise en scène est hésitante, mais le scénario est malin pourfendant la politique spectacle (les visites d'un tas de trucs dont ils n'ont que faire), la langue de bois, les arrangements sordides, les hypocrisies et autres mesquineries, bien loin des préoccupations des gens.
    ffred
    ffred

    1 745 abonnés 4 028 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    Premier film pour Mathieu Sapin. Pour un essai, on a vu pire. L'ensemble est fait de façon assez classique mais le tout est écrit et mis en scène solidement. On ne s'ennuie pas. Souvent drôle, assez cruel, on aurait aimé cependant un plus de mordant, de férocité et de cynisme. Quant à la crédibilité politique, je ne saurais me prononcer mais cela semble parfois tiré par les cheveux. Même si la réalité doit malheureusement être bien pire. Pour son premier rôle "sérieux", j'ai trouvé Alexandra Lamy plutôt convaincante. Finnegan Oldfield l'est, pour sa part, bien plus que dans le raté Marvin. Sans oublier, Philippe Katerine et Gilles Cohen vraiment très biens. Le poulain ne laissera pas une trace indélébile dans les mémoires mais se laisse regarder avec un certain plaisir. C'est mieux que rien...
    Jorik V
    Jorik V

    1 285 abonnés 1 952 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 septembre 2018
    Le premier film de Mathieu Sapin est sympathique. Voire même plus car on y passe un bon moment sans s’ennuyer une seule seconde. Et lorsque l’on sait que l’homme a évolué dans les coulisses du monde politique durant plusieurs années, on se doute bien que ce que l’on voit à l’écran est fortement inspiré de la réalité et empreint d’une véracité qui favorise la réussite du film. C’est donc bien documenté, même si parfois peut-être un tantinet exagéré pour les besoins de la fiction. Et il y a fort à parier que certainement un ou plusieurs personnages s’inspirent fortement de personnes publiques, politiques ou pas, existant réellement, ce qui rend « Le Poulain » encore plus savoureux. Les arcanes de ce monde de requins où coups bas, manipulations et petits arrangements sont la panacée sont donc plutôt bien rendus sans jamais tomber dans l’aspect documentaire. On est même pris par les déboires de ce jeune stagiaire dont on nous convie à suivre le point de vue.

    Quant à Alexandra Lamy, elle nous prouve encore une fois de plus qu’elle est une actrice tous terrains. Il est désormais certain qu’elle ne sera plus cantonnée dans les comédies romantiques, bien qu’elle excelle dans ce registre. Drame, thriller et maintenant chronique politique, c’est une grande actrice française qui s’adapte avec facilité à quasiment tous les genres. En communicante opportuniste, cynique et froide, elle est dans son élément et joue beaucoup dans la relative réussite de « Le Poulain ». Relative car il manque un petit quelque chose à ce film pour qu’il soit une franche réussite. Dans le genre, on a déjà vu mieux à l’international avec l’impeccable « Les Marches du pouvoir » de et avec George Clooney ou chez nous avec le magistral « L’Enquête », où Denis Podalydès se grimait en un Sarkozy facilement identifiable pour nous plonger dans les coulisses d’une campagne politique. Ce qui pêche peut-être ici c’est que le film ne sait pas trop dans quel genre il doit se ranger ni s’il doit être sérieux ou drôle. Même s’il reste cohérent et homogène, le fait d’hésiter entre comédie, chronique politique, romance et même un peu de suspense ne joue pas forcément en sa faveur. Le personnage de Philippe Katerine, beaucoup trop dans la comédie décalée, en est l’exemple parfait en dénotant du reste.

    Néanmoins, on comprend bien les rouages d’une campagne politique et le côté désabusé et un peu moqueur choisi par « Le Poulain » montre bien l’aspect parfois ridicule et vide de la politique contemporaine. L’humeur n’est (malheureusement) pas à l’irrévérence mais le portrait dressé du monde politique français d’aujourd’hui, de ceux qui la font comme de ceux qui l’incarnent, n’est pas très glorieux. On aurait cependant aimé le film encore plus incisif et piquant. Tout cela rentre toujours dans le rang et le côté corrosif des très bons dialogues semble réservé aux rapports entre l’attachée de presse et son jeune stagiaire, qui font tout le sel comique du long-métrage, avec brio d’ailleurs. C’est donc un premier film plutôt sympathique mais qui ne restera pas dans les annales. C’est juste, c’est frais, c’est bien joué et ça passe vite mais ça manque de profondeur et d’un axe bien défini en ce qui concerne la tonalité à adopter.

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    dominique P.
    dominique P.

    849 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 septembre 2018
    C'est une comédie qui parle des coulisses de la politique française, notamment lors d'une campagne présidentielle.
    On suit un jeune gars qui va se retrouver l'assistant de la directrice de communication.
    J'ai trouvé ce film alerte, bien troussé, rythmé et sympathique à visionner.
    Un bon divertissement agréable.
    spoiler: Je trouve les mauvaises critiques bien trop sévères et injustes.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 405 abonnés 4 251 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 janvier 2019
    « Le Poulain » est une comédie française qui traite d’un sujet encore rare au cinéma, la politique. Le comédien de 28 ans, Finnegan Oldfield, intègre l’équipe de campagne d’un candidat à l’élection présidentielle. Il devient alors l’assistant de la directrice de la communication jouée par Alexandra Lamy. Il va alors découvrir les rouages et coups bas dans cette quête du pouvoir. Non sans clichés, le film nous transporte dans les coulisses de la politique et délivre des situations drôles et bien construites sans forcément chercher à faire réfléchir le spectateur. On aurait en effet apprécié un peu plus de contenu et d’ambition dans l’écriture, mais « Le Poulain » reste un bon divertissement.
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    tixou0
    tixou0

    712 abonnés 2 004 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 25 septembre 2018
    On se dit que cette orientation professionnelle improbable (il s'apprêtait à aller s'occuper des Inuits au Canada avec sa copine) pour l'étudiant prolongé (presque 26 ans) Arnaud Jaurès (pas de parenté, même lointaine, avec l'homme de gauche), démarrant en Candide dans l'entourage de l'ambitieuse Alice Karadzic (pensant enfin percer dans la sphère politicienne), et évoluant en Rastignac, pourrait (sur le papier) faire un film au moins honnête. Las, cet essai en scénariste-réalisateur de l'auteur-dessinateur de BD Mathieu Sapin ("Le Poulain" - alias AJ) est consternant. Le récit est très mal bâti (on suit une campagne présidentielle), les personnages fantoches, ou bien transparents, ou creux, la mise en scène façon fiction télé (et des plus médiocres du genre). L'étude de moeurs est mollassonne (bien que se voulant, probablement, impitoyable), macérant dans les clichés les plus éculés. Pas de "morale" (sauf basique : la politique n'est que grenouillages, compromissions et petitesses), pas d'humour. Quant aux décors, et logistique générale, ils sont cruellement "cheap" - ce qui n'arrange rien.
    Sur la distribution... Personne n'est à sauver - et spécialement pas les deux protagonistes principaux, Alexandra Lamy (Alice) et Finnegan Oldfield (Arnaud), ultra décevants l'un et l'autre. Si... Philippe Katerine, dans un rôle trop court, en député foutraque.
    L'AlsacienParisien
    L'AlsacienParisien

    640 abonnés 1 403 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 26 septembre 2018
    Mathieu Sapin, initialement auteur de bandes dessinées, se livre ici à sa première réalisation au cinéma. "Le Poulain", en plus d'être un premier film, est un défi conséquent car il aborde les méandres humains au coeur d'une campagne présidentielle fictive. De par ses personnages déterminés et ambitieux, ce récit initiatique regorge de valeurs universelles et aurait très bien pu s'appliquer dans le monde des affaires, du show-business, du sport ou des médias. Mais le cadre politique français se fait discret au cinéma et le réalisateur tente ici de pointer les enjeux dramatiques et les ressorts comiques de ce milieu.
    L'histoire se concentre sur un jeune qui fait ses premières armes dans la vie active, et qui, par un concours de circonstances, se voit propulsé dans la sphère politique. Il rejoint alors l'équipe d'un candidat en lice pour les prochaines élections présidentielles. Assimilé à un rôle moindre d'assistant, il va observer les rouages complexes et contradictoires via une directrice de communication à la fois tendre et cruelle, expérimentée et imprévisible.
    En soit, "Le Poulain" est un film agréable face auquel on ne s'ennuie pas et où on se plait à voir les doubles facettes des politiciens. Inspiré adroitement de la réalité et empreint d'une certaine véracité, "Le Poulain" offre un envers-du-décor savoureux digne d'une partie de Loup Garou où chacun joue pour sa peau, sans vraiment s'attacher aux autres. Ainsi, les coups bas, les compromis et les manipulations de ce monde de requins se font la malle sans jamais sombrer dans un aspect documentaire. Ce film rend bien compte de l'ambiguïté, du ridicule, des gamineries, voire même du vide de la politique actuelle. Le portrait dressé est en effet pas très glorieux. Les dialogues et la relation entre la directrice de communication et son stagiaire sont bien dessinés, rudement bien menés et constituent le fil rouge le plus lisible du long-métrage.
    Ce qu'il faut savoir, c'est que "Le Poulain" est avant tout une comédie, mais une comédie que j'appellerai décousue. D'ailleurs, on a l'impression qu'elle sait pas trop dans quel genre elle doit se ranger, ni si elle doit être drôle ou sérieuse. Jonglant principalement entre chronique politique, comédie et romance, on ne peut pas dire que ce mélange joue en la faveur du film. Comme le ton est léger et les blagues efficaces, on en perd parfois la férocité du propos et le côté corrompu du monde politique. Alexandra Lamy, qui interprète son premier rôle de "méchante" si j'ose dire, reste très solaire et inspire la confiance. Certes, elle démontre encore qu'elle est une actrice tout terrain ; après les comédies romantiques, les drames et les thrillers, ce rôle politique lui sied très bien. Mais on a du mal à voir en elle les reflets de la manipulation, de l'égoïsme et de l'ambition à tout prix. Certes, les situations parlent d'elles-même mais l'actrice porte en elle une sympathie contagieuse qui ne sert malheureusement pas le propos du "Poulain". Difficile de crédibiliser la réplique qui la surnomme "le frigidaire" tellement elle déborde de chaleur et de répartie... De plus, les nombreux graphiques explicatifs et ludiques montrant la progression des intentions de vote du candidat aux présidentielles font perdre en fluidité et en piquant ! Selon moi, une pointe de tension supplémentaire et des retournements de situation plus incisifs auraient permis à ce "Poulain" de se singulariser, de marquer les esprits tout en ouvrant les yeux.
    Par son manque de profondeur et son ton trop décalé, "Le Poulain" se renferme dans son genre comique sans se risquer à prendre parti politiquement parlant. C'est surement ça son principal défaut.
    PLR
    PLR

    474 abonnés 1 576 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 20 septembre 2018
    Pas assez incisif pour une comédie (bien que ce film se revendique de ce registre). Pas assez documenté ni illustré pour relever du domaine de l’investigation et de la vulgarisation. Les ingrédients de la vie politique, des intrigues, des alliances, des retournements, des objectifs personnels souvent plus que collectifs, y sont toutefois présentés mais seulement de manière assez édulcorée. Avec aréopage de conseillers en mentors des candidats en compétition qui sans nul doute font au final les bons ou mauvais candidats mais sans que leur rôle soit vraiment détaillé. Le sujet n’est donc somme toute qu’effleuré à tel point que l’essentiel risque bien d’échapper au spectateur lambda pas spécialement attentif aux méandres de la vie politique ni impliqué. On est loin d’un film comme « La conquête » (2011). Un manque de pertinence et d’intérêt sans doute dû au fait que le tableau se limite ici à présenter vaguement quelques postures, quelques méthodes, sans s’identifier nullement à tel ou tel candidat passé ou à venir même si on pourra y discerner quelques profils types ici ou là.
    Cinemadourg
    Cinemadourg

    784 abonnés 1 542 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 septembre 2018
    Un jeune homme va se retrouver malgré lui embarqué dans une équipe de campagne pour les primaires d'un parti tout d'abord, et pour les élections présidentielles dans la foulée.
    Le thème principal est ici de nous montrer, sous forme de comédie, l'intérieur d'une équipe travaillant pour faire élire un candidat : mesquineries et petites trahisons, tous les coups sont permis pour faire son trou.
    Mis à part la prestation d'Alexandra Lamy, excellente de cynisme dans ce rôle, le reste n'est pas vraiment emballant : accroche de départ et scénario assez faibles, intérêt général du film médiocre et jeu des comédiens quelconque.
    J'ai souri deux ou trois fois mais je me suis plutôt ennuyé, ce qui est assez embêtant pour un film censé divertir !
    Passable.
    --> Site CINEMADOURG <--
    Benito G
    Benito G

    684 abonnés 3 162 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 septembre 2018
    Vu par hasard, on sent d'embler quelques fautes au niveau du scénario, ou l(on peut oublier l'humour et qui est un peu redondent..). L'intérêt joue de la part des acteurs ayant chacun le personnalité (Philippe K...……). Lancer un film plus u touchant à la politique même de façon "comédie "est un pari difficile, et cela se fait quand même sentir. Au cœur d’une mise en scène pragmatique à défaut d’être inventive, . Si Alexandra Lamy réunit certes bien des atouts pour éduquer et séduire ce débutant providentiel, malgrè son coté féminime..et son ton le cynique qui ne nous la montre comme une femme lambda mais pas "jouant" avec la politique., d(autant que l'on a du mal à lui effacer sa carrière (depuis c 'es début) C’est du côté des seconds rôles que surgissent les surprises. Plutôt décu qu'autre chose… Un dés échecs de la semaine..
    .
    Alain D.
    Alain D.

    605 abonnés 3 304 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 août 2019
    Avec une mise en scène sans surprise et une photographie très conventionnelle, cette prétendue "Comédie" de Mathieu Sapin évoque les coulisses d'un parti politique en campagne pour les élections présidentielles. Il nous montre les magouilles, le jeu des alliances, les luttes internes, les coups bas et l'importance des "nègres" écrivant les discours. Le tout est parfaitement réaliste mais tout aussi désolant que inintéressant.
    A l'affiche, une bonne prestation de la pétillante Alexandra Lamy, une composition honorable de Finnegan Oldfield (le poulain) et la présence rafraîchissante de Philippe Katerine.
    titicaca120
    titicaca120

    392 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 septembre 2018
    une comédie dans le monde politique en pleine primaire puis en
    campagne pour la présidentielle.
    c'est assez drôle bien dans l'air du temps avec tous les coups bas
    tous les changements toutes les tergiversations les revirements etc.....
    un bon casting et vive la république.
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