Derniers Avis : Action ou vérité - Page 6

Petit film d épouvante sans prétention qui ne fait pas peur. La seule question n est pas comment vont ils s en sortir mais quand et comment vont ils mourir ? Pour le reste C est du connu vu et revu.
Le film passe le temps mais sans plus. La fin est complètement tirée par les cheveux et totalement ridicule.

Film relativement sympa mais comme dans tous les films américains malheureusement ils font l'apologie de l'alcool avec les jeunes, dans l'ensemble les acteurs sont bons et le scénario bien qui laisse présager une suite.

Après la difficile Kick-Ass 2 et le sympathique The True Memoirs Of An International Assassin, Jeff Wadlow en faiseur sans vergogne, se plante complètement avec cette production BlumHouse. Pour trouver l'originalité, les studios d'horreur embarquent tout le monde dans la galère, à commencer par le spectateur. Seuls quelques suicides bien sévères nous remus quelque peu.

ce film est plus un thriller que un film d'horreur. ,ses un bon petit film avec un scenario intérssant très plaisant a regardé

Dans la cuvée des productions horrifiques"BlumHouse" à petit budget,qui brasse des millions,la marque de fabrique de la boite,à l'instar des récents"Ger Out" ou encore"Happy Death Day" aux succès planétaire connus, il était donc évident de surfer sur une réussite lucrative, pour une société qui s'est fait un nom dans le genre horrifique,c'est au tour de "Truth or Dare"(Action ou vérité) le fameux jeu de se voir affublé d'une histoire moderne sur fond de nouvelles technologies, un jeu banal qui prend une tournure surnaturelle quand un groupe d'adolescents partis pour une relâche scolaire, se prête à la distraction et se retrouvent en proie d'une entité maléfique (le démon Calax) qui les oblige à se plier à ses propres règles,continuer le jeu quoi qu'il en devient, s'en suit alors une lutte contre la mort,qui se révèle être l'unique issue d'une malédiction qui s'abat sur les jeunes, une malédiction qu'il faudra pourtant rompre.Une histoire classique qui emprunte à un concept exploité auparavant avec beaucoup de succès dans la franchise "Destination Finale" dont le long métrage semble s'inspirer, recyclant toutes les ficelles archirebattues dans un genre qui n'a cependant plus grand chose à offrir ,incorporant une dimension fantastique qui ne va pas au bout de qu'elle propose,aux tenants sous exploités,en effet,"Truth or Dare" cumule les poncifs et les clichés inhérents au film d'horreur qui préfère se"cantonner" dans une zone de confort,qui impose une linéarité à une intrigue toute tracée, laissant tout effet de surprise de côté,hormis un dernier acte qui relève néanmoins en qualité de l'œuvre lors d'un Cliffhanger inattendu, plutôt bien trouvé en laissant penser à une éventuelle suite.Rien de transcendant dans un film qui ne prend à aucun moment des risques, par rapport au nombre "d'opportunités" qui lui ont été offertes, il y avait pourtant matière à faire avec une histoire assez intriguante à défaut d'être surprenante,"Truth or Dare" préfère se complaire dans son statut de"Teenage Movie"conventionnel, un énième produit purement commercial où toute originalité est bannie.Le film partait plutôt sur de bonnes bases avec une entrée en matière prenante, qui annonçait la couleur pour la suite des"festivités"laissant penser à un déroulement qui sort du lot, fort et de constater, que la marchandise est trompeuse, en effet, le film sombre rapidement dans la monotonie,une linéarité assommante s'installe au détriment d'une action qui se fait de plus en plus rare, laissant place à des échanges entre personnages, peu passionnants voire agaçants, où dialogues rédhibitoires, ne font qu'enfoncer "le clou" d'avantage,en effet le film se concentre sur les querelles d'un triangle amoureux, qui prennent trop de place au sein d'une histoire assez légère,ce, au lieu de se focaliser sur les origines du mal. Les personnages pour la plupart manquent cruellement de consistance,sous exploités,souvent accessoires dont le jeu peine à convaincre, on sait d'emblée l'ordre de "passage"de chacun entre"les mains" de l'entité démoniaque,seule l'héroïne "Lucy Hole" tire son épingle du jeu,assez crédible au côté de" Daryl Posey" c'est d'ailleurs le gros bémol de l'œuvre, des adolescents superficiels qui n'échappent pas aux clichés inhérents au genre, antipathiques,auxquels il est difficile d'adhérer, encore moins à s'identifier.L'histoire peine réellement à prende son envol,tant les thèmes abordés manquent de profondeur (pas étonnant avec un scénarioaussi mince) ,de justesse, la construction du récit est laborieuse, en manque d'inspiration, pour un ensemble peu transcendants qui ne repose que sur les rouages éculés du registre tournant souvent en rond ces dernières années.Néanmoins"Truth or Dare" propose son lot de "Jumpscares" qui font toujours leurs petit effet en matière de frisson et sursauts,qui s'altèrent avec des scènes de meurtres plutôt bien amenés à défaut d'être impressionnantes,mais l'ensemble s'avère trop"soft" pour marquer, dans une démarche de rendre le long métrage accessible,évitant toute enchère graphique
"Truth or Dare" est l'exemple typique d'une production commerciale, qui ne se démarque en aucun cas de ces prédécesseurs,un "Crossover" entre "Destination finale" et "Le cercle"qui aurait gagné à travailler son histoire trop simpliste, ainsi que ses personnages,dont la plupart sont fades ,inconsistants, l'ensemble s'avère au final prévisible, hormis un un Cliffhanger, plutôt bien pensé, assez surprenant...Cependant le spectacle proposé est correct, avec de bonnes idées bienvenues, qui relèvent le niveau, ce n'est pas bon,mais c'est loin d'être mauvais. Ma note: 2,5/5

Fin super bâclée,ce genre de film n'est pas obligé de sortir!Acteur cucu et scénario basique alors qu'il y avait une bonne base!

Ah les fameux films d’horreur à concept séduisant… « Action ou vérité » est un film à la croisée d’un « Happy Birthdead » et « Le Cercle », une sorte de méli-mélo entre teen movie, surnaturel et malédiction. Appréciable ? Bof. C’est toujours la même rengaine avec des personnages stupides au plus haut point et une idée de départ originale mais mal utilisée. Film d’horreur ? Non. Pas d’angoisse et peu de tensions. Autant dire que Blumhouse reste dans du classique à petit budget et à petits frissons. Nouveau concept ? Plus ou moins ! L’histoire s’inspire de plusieurs références déjà citées plus haut. Destination finale y ressemble étrangement si l’on compare cette menace inconnue qui suit les personnages jusqu’à ce qu’ils meurent. On remarquera que pour une fois la police s’implique dans cette suite de suicides et qu’on ne s’ennuie pas. Il y a une certaine cadence à n’en pas douter, mais ce film ne restera pas dans les annales pour autant.

Bon film dans l'esprit Destination Finale..j'adore la tronche style Snapchat qu'ils font quand ils sont possédés.

Bon, avouons-le d'emblée, ce type de films est de base un petit plaisir coupable, de ceux dont on est prêt à passer outre les défauts techniques du moment que le scénario réserve son lot de trouvailles. Roi des années 1990 (Scream, Souviens-toi l'été dernier, The Faculty, Urban Legend), le genre s'était fait plus discret depuis. Pour ce long-métrage proprement dit, la comparaison est plutôt à chercher du côté de la saga Destination Finale, car on ne cherche pas à identifier ici un tueur masqué, on affronte une nature aux causes imperceptibles. De quoi nous délivrer un potentiel produit fun, parodique, surréaliste. Cet Action ou Vérité n'est hélas rien de tout cela, optant pour une tonalité sérieuse et explicative jusqu'à l'indigestion. Comme si tenter de rendre « rationnel » ce conte horrifique pouvait déclencher la moindre empathie chez le spectateur… Cela commençait pourtant plutôt bien, sur fond de secrets bien gardés au sein d'un groupe d'étudiants pseudo-amis. Or l'intrigue évente bien trop vite tous les non-dits et traumatismes enfouis, mal servie qui plus est par des acteurs au jeu outrancier. Au fil des multiples tentatives, façon pieds nickelés, pour briser le sort entourant ce jeu infernal, nous passons de désintérêt à honte contenue tant seule la stupidité triomphe en bout de course. Ce carnage suffira-t-il à convaincre les studios de ne pas pondre une séquelle ?

Aaaah, les production Jason Blum...C'est toujours pile ou face avec ce monsieur car il est capable de nous proposer de bonnes choses ("The Mirror", "Insidious", "Sinister", "The Bay", "The Lords of Salem", "Split", "The Green Inferno", "American Nightmare, "Get Out") tout comme d'affreuses péloches ("The Visit"," Sinister 2", "Ouija", "Lazarus Effect", "Gallows", "Projet 666", "The Veil", "Jem et les Hologrammes", "Amityville : The Awakening" ou encore l'affligeante saga "Paranormal Activity"). Et là, j'aurais dû réfléchir un minimum : vu que sa dernière production en date était sympathique (le fun "Happy "Birthdead"), il était presque imparable que son nouveau méfait risquait de ne pas être à la hauteur...et bien c'est malheureusement le cas : et oui, la règle se confirme encore Mister Blum ! Faire de l'enfantin jeu « Action ou Vérité » une impitoyable lutte infernale contre la mort pouvait mener à un récit jouissif enchaînant des séquences d'une tension extrême aboutissant à des morts violentes et gores (oui, un peu comme "Destination Finale", vous aurez compris la référence). D'autant plus que le long-métrage était confié à Jeff Wadlow qui nous avait déjà montré de quoi il était capable avec "Kick-Ass 2". Malheureusement, pour nous, il n'en est rien du tout et, même si certaines scènes sont tout de même plutôt bien amenées niveau tension ( spoiler: l'intro avec l'immolation, frappe ma main avec le marteau si tu veux vivre, je me promène bourrée au clair de lune sur le bord d'un toit
), on finira toujours par avoir la frustration de se coltiner des morts hors-champs sans aucun excès graphique (bin ouais : faudrait surtout pas que le film soit autre que PG-13 : on est là pour faire du fric, pas de l'art !) Le récit préfèrera se concentrer sur les petits secrets hautement originaux des divers protagonistes, notamment de « savoureuses » histoires de sexe ultra téléphonées qui ne surprendront que les 3-4 personnes de la salle qui viennent pour la première de leur vie au cinéma ! Rajoutons à cela des références sans fin aux nouveaux « moyens de communication » (hashtags, lap tops Apple, Instagram, iPhones, iPads, filtres Snapchat...même l'héroïne est une YouTubeuse, c'est étonnant !) et vous aurez vite compris la seule et unique cible recherchée par "Action ou Vérité ?" : les ados. Alors pas étonnant qu'on doive se coltiner le cahier des charges habituelles de ce genre de produit formaté : jump scares en carton assortis d'effet sonore explosant les tympans twists faussement impressionnants. Seul le final du film le sauve du naufrage absolu : d'un nihilisme total et d'une cruauté jubilatoire, on aura rarement vu à l'écran une fin du monde provoquée juste par l'égoïsme exacerbé d'une seule personne ! je vais passer très vite sur les acteurs qui, faute d'une direction digne de ce nom, sont en total roue libre et se demandent ce qu'ils font là ! On retiendra juste que, pour une fois, l'héroïne n'est pas une super bonnasse à gros seins dont la pureté virginale la protège de tout malheur ; et aussi à la prestation plutôt honnête de Violett Beane en meilleure amie trahie et traumatisée. "Action ou Vérité ?" est un film qui s'adresse aux jeunes en parlant leur langage mais qui demeure au final qu'une énième péloche bouclée à la va-vite alignant tous les clichés du parfait produit fini pour gamins nourris aux jump scares. Heureusement qu'il y a la fin pour relever niveau ! Certes moins ennuyeux que "I Wish, Faites un Voeux" mais carrément moins fun que "Nerve", ce film sera très certainement un énorme boulet à traîner dans la carrière de Jeff Wadlow : navrant...

un scénario un banale mais très bien réalisé avec du suspense , du stress ........ les acteurs son bien et les lieux nous enferment dans les mêmes endroit que les personnages par exemple : lorsqu'ils sont spoiler: dans une église abandonnée et qu'il au jeu action ou vérité .

le film n'est pas un chef-d'oeuvre mais il mérite 5 étoiles

A un moment j'ai j'ai que c'était ''la destination finale'' c'est un bon film révélant beaucoup de choses. Car tu affronter tes peurs les plus profondes et dire la vérité malgré la circonstance( enfin si on ne tient pas compte du dernier partie du film) je crois que ça ferait un bon film éducatif si on obligeait les a dire la vérité et à défier sous contrainte de mourir la vue serait plus que parfaite.

Concept intéressant et divertissent bien que quelques morts et un certaines facilités scénaristique quelque peu présente.

Une très bonne idée de base, mais vraiment mal exploitée.
Ce film ne prend aucun risques avec son scénario vraiment linéaire et sans saveur, hormis la déformation des visages qui est sympa. Des acteurs peu convaincant à mon goût et une fin des plus risible tant c'est totalement absurde.
spoiler: Avec une règle de 2 vérité pour une action, ont se retrouvent avec 2 actions consécutive sur le final, alors qu'ils sont à même pas 2 minutes de régler le problème.... Et je parle même pas des 10 dernières secondes... Mais on sait bien que c'est toujours mieux de laisser la portes ouverte au cas où....

Bref un film mauvais dans l'ensemble.

On ressent, à chaque plan, l’essoufflement de la part d’une maison de production qui ne sait plus quel jeu de société détourner pour alimenter ses adaptations horrifiques. Ici c’est un jeu pour adolescents souvent alcoolisés qui occupe le devant de la scène : pas de chance pour nous, ce jeu donne lieu au slasher le plus mauvais du genre où tout respire la bêtise et l’inanité scénaristiques. La règle initiale se complexifie inutilement, s’enlise dans les clichés nauséabonds – la possession, la transgression religieuse initiale – entrecoupés de révélations sur qui couche avec qui, hey en fait j’ai tué ton père etc. L’homme ici est tantôt un abruti fini tantôt un prédateur sexuel (un père au chômage qui abuse les filles, un prêtre pédophile) ; la femme a l’unique rôle d’être la demeurée de service, mais dotée d’un cœur ! Action ou vérité confirme le statut de Jeff Wadlow comme roi des tâcherons. Après le massacre de Kick-Ass, la mise à mort d’un jeu normalement destiné à amuser la jeunesse. Car la véritable malédiction dépeinte par le film, c’est lui.