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Le film nous tient comme en apnée tout au long d'une histoire anxiogène, qui n'évite pas quelques clichés et certaines facilités, mais le jeu des acteurs est là, la tension est palpable... Une ambiance de malaise où le silence est indispensable à la survie...
Ciné2909
Pour une première incursion dans le domaine de l’horreur, le réalisateur et acteur John Krasinski signe un film de grande qualité. Une menace plane et elle se précise lors d’une scène d’introduction d’une efficacité redoutable ; le moindre bruit est désormais un danger ! Sans un bruit pousse ainsi sa logique à l’extrême avec une quasi absence de dialogues donnant ainsi l’occasion au spectateur une immersion totale dans l’histoire. La communication s’établit ainsi à travers la langue des signes et on salue également les passages totalement silencieux qui nous permettent d’épouser le point de vue du personnage de Regan. Un film dont on n’a pas fini d’entendre parler mais doucement … les créatures pourraient vous entendre !
3/5 Pas mal. L’ambiance est réussie c’est clair, une salle de cinéma aura rarement été aussi silencieuse devant un film non muet... En revanche on ne comprend pas d’où vient la menace et quelques rares incohérences gâchent un peu le tableau. Certains clichés évidents y passent. Pas mal.
Un bon film d’épouvante où le bruit est proscrit !
Les bestioles qui traînent aux USA sont sensibles et voraces. Les sursauts sont assez fréquents ! Et même si le scénario est assez original quelques incohérences sont à signaler.
Les acteurs sont excellents et crédibles.
Les bestioles qui traînent aux USA sont sensibles et voraces. Les sursauts sont assez fréquents ! Et même si le scénario est assez original quelques incohérences sont à signaler.
Les acteurs sont excellents et crédibles.
Il y a des films où les incohérences ne passent pas et des films pour lesquelles je suis indulgent ! En vérité, c’est une démarche très subjective. C’est de l’ordre de la mauvaise foi aussi. Tout dépend. Tout dépend de quoi au juste ? « Sans un bruit » a l’immense avantage de nous plonger directement dans l’ambiance. Pas de round d’observation. On nous annonce que l’on est au « 89ème jour » d’une situation terrorisante. En effet, des monstres sembleraient avoir investi une ville, une région, voire la Terre. On ne sait rien d’eux sauf qu’ils sont très susceptibles, très sensibles au bruit. Le récit suit une famille qui doit vivre en quasi-silence. Un postulat que j’ai accepté de suite. Et comme je me suis laissé oppresser rapidement, les incohérences ne m’ont pas trop parasité mon attention. Je m’interroge tout le long du film mais je prends le parti de laisser glisser et reconnais volontiers après générique de lourdes incohérences. Cependant, j’invite à voir ce film pour son thème sans trop faire la fine bouche… et en V.O évidemment même si ça chuchote.
De John Krasinski (2018).
On pardonnera (peut-être ?) le début du film un peu lent. Pour autant, on rentre vite dans l'histoire comme happé par un scénario inventif et halletant ! La force du film réside dans les comédiens, les mises de situation et la façon de filmer au plus près voire intimiste . De grand moments de cinoche comme on les aime . Des moments aussi de bravoure et de sacrifce entre le père et ses enfants . On a beau se dire qu'il ne saurait y avoir d'issue à cette histoire, la force de la narration est de nous donner constamment de quoi espérer ! Même si on ne voit les bébètes qu'à la fin , la sugestion marche à fond . L'autre grande force du film est la force des sentiments qui unissent la famille et la grande empathie pour tout ce beau monde qui inonde le film.
Avec Emily Blunt, John Krasinski, Millicent Simmonds.
les jeunes comédiens(e) Noah Jupe,Cade Woodward sont excellents !
On pardonnera (peut-être ?) le début du film un peu lent. Pour autant, on rentre vite dans l'histoire comme happé par un scénario inventif et halletant ! La force du film réside dans les comédiens, les mises de situation et la façon de filmer au plus près voire intimiste . De grand moments de cinoche comme on les aime . Des moments aussi de bravoure et de sacrifce entre le père et ses enfants . On a beau se dire qu'il ne saurait y avoir d'issue à cette histoire, la force de la narration est de nous donner constamment de quoi espérer ! Même si on ne voit les bébètes qu'à la fin , la sugestion marche à fond . L'autre grande force du film est la force des sentiments qui unissent la famille et la grande empathie pour tout ce beau monde qui inonde le film.
Avec Emily Blunt, John Krasinski, Millicent Simmonds.
les jeunes comédiens(e) Noah Jupe,Cade Woodward sont excellents !
La première partie, tendue et ingénieuse, laissait augurer de bonnes choses. Malheureusement John Krasinski n'a pas tenu la distance et son film se transforme ensuite en un énième thriller comme les séries-films "netflix" en propose à la pelle. Cela reste tout de même un divertissement efficace mais les innombrables incohérences plombent clairement le film.
Un film plutôt efficace et bien réalisé, même si je ne peux m’empêcher de constater que pas mal de moments forts du film repose sur des facilité d'écriture ( si on pousse le concept jusqu'au bout et sachant que faire du bruit est synonyme de mort,
spoiler:
choisir une maison en bois ( donc super grinçante) et faire un enfant me paraissent des idées assez mauvaises, surtout que les protagonistes paraissent très calé sur le sujet
). Mais le tout marche bien.
). Mais le tout marche bien.
Ambiance sonore oppressante et suffoquante. Un jeu d'acteur très inspiré. Une réalisation bien menée. Des créatures effrayantes et bien mise en vie par de bons FX. Beaucoup de qualité pour un film qui manque malgré tout de développement et qui n'a pas pris son temps. La fin est d'ailleurs trop vite expédiée comme s'il avait manqué de moyen et/ou d'ambition. Dommage car les ingrédients, les bonnes idées et le talent sont là.
Pas grand chose à dire sur ce film, qui se laisse regarder tranquillement à la maison, qui n'est pas trop mal fait, qui a sa petite dose de sursauts... voilà quoi, pas mal.
Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit.
Ce thriller horrifique a connu un certain succès à sa sortie puis une belle deuxième vie sur les plateformes. Autant dire que ça donne envie de s’y coller. C’est le 3e long métrage derrière la caméra de l’acteur John Krasinski. Nous sommes dans un futur proche, en 2020. Comme de par hasard l’apocalypse a eu lieu et la plupart des humains sont morts. Pas de virus ici mais une sorte de prédateur implacable qui rode partout à la recherche de nouvelles proies. Plus d’animaux ou presque, plus d’hommes ou presque. Ces créatures effrayantes sont aveugles mais ont une ouïe exceptionnelle. Bref, pour survivre, il faut savoir la boucler. Image intéressante. On suit une famille composé d’un papa, d’une maman, d’un p’tit gars et de sa grande sœur ado … et sourde. Tout ce monde là communique en langue des signes et vit reclus dans une ferme aménagée. Ha oui, et un bébé est prévu pour bientôt. Niveau ambiance, ça fonctionne bien mais c’est de facture tout à fait classique. On alterne donc silences et sursauts à base tada ou de vlan. L’histoire en elle-même se suit avec un certain plaisir mais là encore, ça ronronne un peu. Sans compter qu’on ne peut s’empêcher de penser que faire un môme dans ces conditions est le summum de la connerie. Ça décrédibilise les efforts de la famille pour survivre. Enfin, ils font bien ce qu’ils veulent. On appréciera les enjeux dramatiques autour de la mort d’un petit frère précédemment et la culpabilité que l’ado ressent en plus d’avoir du mal à trouver sa place. Les vilaines bébêtes sont assez effrayantes et les CGI sont plutôt réussies. Bref, ça se consomme bien. Mais in fine, il reste un sentiment de gâchis. Car on tient là ce qui pouvait être un chouette travail sur la forme mais rien ne vient ou presque. « Sans un bruit » nous dit le titre français mais la musique est omniprésente et Marco Beltrami fait du Hans Zimmer à base de cornes de brume. On connaît la chanson et on commence à être fatigué de l’entendre. Les seuls réels silences sont les plans bâtards sur la jeune sourde. On la voit à l’écran, en focalisation externe donc, mais on entend ce qu’elle entend, donc rien, silence absolu, focalisation interne. Bref, raté. De mon point de vue, il aurait fallu jouer le silence jusqu’au bout et proposer un film sans ost, sans parole, juste le vent dans les arbres et les tout petits bruits des objets autour de nos héros. Ça aurait probablement rendu difficile la construction dramatique mais l’effort n’en aurait été que plus beau. Bref, tout ça se regarde bien mais ça reste un coup d’épée dans l’eau et une occasion manquée. Pour un véritable travail sur le son, on se reportera sur les classiques de Sergio Leone ou sur le Blow Out de de Palma (ou encore le Phénomènes de Shyamalan).
Ce thriller horrifique a connu un certain succès à sa sortie puis une belle deuxième vie sur les plateformes. Autant dire que ça donne envie de s’y coller. C’est le 3e long métrage derrière la caméra de l’acteur John Krasinski. Nous sommes dans un futur proche, en 2020. Comme de par hasard l’apocalypse a eu lieu et la plupart des humains sont morts. Pas de virus ici mais une sorte de prédateur implacable qui rode partout à la recherche de nouvelles proies. Plus d’animaux ou presque, plus d’hommes ou presque. Ces créatures effrayantes sont aveugles mais ont une ouïe exceptionnelle. Bref, pour survivre, il faut savoir la boucler. Image intéressante. On suit une famille composé d’un papa, d’une maman, d’un p’tit gars et de sa grande sœur ado … et sourde. Tout ce monde là communique en langue des signes et vit reclus dans une ferme aménagée. Ha oui, et un bébé est prévu pour bientôt. Niveau ambiance, ça fonctionne bien mais c’est de facture tout à fait classique. On alterne donc silences et sursauts à base tada ou de vlan. L’histoire en elle-même se suit avec un certain plaisir mais là encore, ça ronronne un peu. Sans compter qu’on ne peut s’empêcher de penser que faire un môme dans ces conditions est le summum de la connerie. Ça décrédibilise les efforts de la famille pour survivre. Enfin, ils font bien ce qu’ils veulent. On appréciera les enjeux dramatiques autour de la mort d’un petit frère précédemment et la culpabilité que l’ado ressent en plus d’avoir du mal à trouver sa place. Les vilaines bébêtes sont assez effrayantes et les CGI sont plutôt réussies. Bref, ça se consomme bien. Mais in fine, il reste un sentiment de gâchis. Car on tient là ce qui pouvait être un chouette travail sur la forme mais rien ne vient ou presque. « Sans un bruit » nous dit le titre français mais la musique est omniprésente et Marco Beltrami fait du Hans Zimmer à base de cornes de brume. On connaît la chanson et on commence à être fatigué de l’entendre. Les seuls réels silences sont les plans bâtards sur la jeune sourde. On la voit à l’écran, en focalisation externe donc, mais on entend ce qu’elle entend, donc rien, silence absolu, focalisation interne. Bref, raté. De mon point de vue, il aurait fallu jouer le silence jusqu’au bout et proposer un film sans ost, sans parole, juste le vent dans les arbres et les tout petits bruits des objets autour de nos héros. Ça aurait probablement rendu difficile la construction dramatique mais l’effort n’en aurait été que plus beau. Bref, tout ça se regarde bien mais ça reste un coup d’épée dans l’eau et une occasion manquée. Pour un véritable travail sur le son, on se reportera sur les classiques de Sergio Leone ou sur le Blow Out de de Palma (ou encore le Phénomènes de Shyamalan).
32F2F5. Efficace. Ce film qui repose sur le silence des personnages2C2C donc trC3C3A8A8s peu de dialogues2C2C arrive C3C3A0A0 transformer ce mutisme en tension continue malgrC3C3A9A9 un scC3C3A9A9nario un peu convenu.
Sans crier gare, Krasinski signe un film multi-genre qui beigne dans une atmosphère et un suspens qui nous laissent parfois bouche bée.
C'est un bon film d'horreur très oppressant, bien joué et original. Même si notre curiosité naturelle aurait voulue savoir comment tout ça est arrivé. Quelques grosses ficelles typique de ce type de film, mais c'est une bonne surprise dans l'ensemble.
Ce film par son originalité détonne car en fait il ne se passe pas grand-chose mais le spectateur est à l’affût du moindre bruit ce qui le rend fébrile et à l’écoute
Un petit bémol pour la fin qui laisse l’imaginaire de chacun s’en approprier
Un petit bémol pour la fin qui laisse l’imaginaire de chacun s’en approprier
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