Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
18 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Ce film virtuose est fait de l’étoffe dont on tisse les cauchemars tout en offrant une réflexion aiguë sur le monde.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Cahiers du Cinéma
par Thierry Méranger
On retrouve dans Unicorn Wars une pratique accomplie et souvent réjouissante du détournement trash dont la portée, au-delà des modèles potaches d’Itchy et Scratchy ou Happy Tree Friends, double le salutaire déniaisement d’un sens de la provocation très politique.
CinemaTeaser
par Perrine Quennesson
Malgré un ventre mou difficile à passer, Unicorn Wars ne recule jamais devant l'ampleur mythologique qu'il gagne au fur et à mesure, pour un final aussi puissant que surprenant.
Ecran Large
par Perrine Quennesson
Malgré quelques maladresses narratives qui ajoutent quelques cahots au chaos, Unicorn Wars d’Alberto Vazquez s’impose comme un conte cruel brillant, aux ambitions assumées aussi bien politiques que mythologiques. La Bible et consorts n’ont qu’à bien se tenir, les Oursons débarquent et ils ne viennent pas pour la guimauve.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Franceinfo Culture
par Léna Thobie-Gorce
C'est l'une des forces principales du film : le contraste permanent entre un univers bucolique et des personnages vaniteux et violents.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Geek
par Allan Blanvillain
Unicorn Wars est un film absolu. Absolu dans son animation, absolu dans son propos. Un film riche, peut-être trop, qui multiplie les faits d'armes pour nous laisser dans un malaise permanent bien après son générique. Qui aurait cru qu'une guerre entre Oursons et Licornes pouvait être aussi drôle que dérangeante ?
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Geek
Le Parisien
par La rédaction
Réalisateur brillant, Alberto Vazquez dresse sans cesse des passerelles entre le fond de son récit, ancré dans des références à l’histoire de l’Espagne, et la nature de ses images — toutes sublimes —, un graphisme qui joue à fond la carte du paradoxe entre la douceur apparente de ces oursons et leur méchanceté sanguinaire.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
Au-delà d'un univers chatoyant qui ne cesse de capter le regard par un goût visuel très sûr, la grande qualité d'Unicorn Wars est incontestablement son script, qui établit une subtile gradation dans sa progression vers le drame épique, mélodramatique et horrifique.
Télérama
par Cécile Mury
Cet ovni inquiétant parle de racisme, de fondamentalisme religieux et de perversité tous azimuts, en débordant d’imagination et d’idées visuelles vénéneuses. Un poison enivrant, à réserver aux adultes.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Le scénariste-réalisateur espagnol Alberto Vâzquez signe un film d’animation tordu sur les horreurs de la guerre, qu’il convient de ne pas mettre devant un public trop jeune et non averti de son ultra-violence.
Le Figaro
par Simon Cherner
La fable hyperviolente, prêche le pacifisme au coup de poing.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un ovni inclassable, impitoyable et terrifiant, surgi de nulle part.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Les Fiches du Cinéma
par Isabelle Boudet
Entre Platoon et Bambi, ce film d’animation joue des contrastes entre des couleurs splendides et la noirceur de son propos. Pesant et dérangeant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Ouest France
par La rédaction
D’une noirceur fascinante.
Première
par François Léger
D’une violence et d’une noirceur inouïes. Pas pour tout le monde, mais tout le monde serait bien avisé d’y jeter un oeil.
La critique complète est disponible sur le site Première
Télé 2 semaines
par J.O.
Cette fable décalée et violente, sur fond de génocide et d'embrigadement religieux, explore de nombreux thèmes sérieux mais s'éparpille un peu trop. Pour un public averti.
Le Monde
par Mathieu Macheret
L’acharnement avec lequel Vazquez éventre ou défigure ses oursons mignons diffuse parfois des relents fétides, mais la charge antiviriliste est efficace.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Culturopoing.com
par Audrey Jeamart & Olivier Rossignot
Programmatique et répétitif, soucieux de plaire à un public plus large, de provoquer ses rires outragés et ses applaudissements, "Unicorn Wars" s’égare ici dans la provoc et la surenchère. Lorgnant plus du côté de la série "Happy Tree Friends" - qui au moins jouait franc-jeu la carte du trash - que de "Psiconautas", Alberto Vázquez se renie et perd sa griffe, donnant alors la désagréable sensation d'imiter plutôt que de créer. Comme par enchantement, la singularité et la sincérité qui faisaient la beauté de son cinéma se sont volatilisées.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
20 Minutes
Ce film virtuose est fait de l’étoffe dont on tisse les cauchemars tout en offrant une réflexion aiguë sur le monde.
Cahiers du Cinéma
On retrouve dans Unicorn Wars une pratique accomplie et souvent réjouissante du détournement trash dont la portée, au-delà des modèles potaches d’Itchy et Scratchy ou Happy Tree Friends, double le salutaire déniaisement d’un sens de la provocation très politique.
CinemaTeaser
Malgré un ventre mou difficile à passer, Unicorn Wars ne recule jamais devant l'ampleur mythologique qu'il gagne au fur et à mesure, pour un final aussi puissant que surprenant.
Ecran Large
Malgré quelques maladresses narratives qui ajoutent quelques cahots au chaos, Unicorn Wars d’Alberto Vazquez s’impose comme un conte cruel brillant, aux ambitions assumées aussi bien politiques que mythologiques. La Bible et consorts n’ont qu’à bien se tenir, les Oursons débarquent et ils ne viennent pas pour la guimauve.
Franceinfo Culture
C'est l'une des forces principales du film : le contraste permanent entre un univers bucolique et des personnages vaniteux et violents.
Le Journal du Geek
Unicorn Wars est un film absolu. Absolu dans son animation, absolu dans son propos. Un film riche, peut-être trop, qui multiplie les faits d'armes pour nous laisser dans un malaise permanent bien après son générique. Qui aurait cru qu'une guerre entre Oursons et Licornes pouvait être aussi drôle que dérangeante ?
Le Parisien
Réalisateur brillant, Alberto Vazquez dresse sans cesse des passerelles entre le fond de son récit, ancré dans des références à l’histoire de l’Espagne, et la nature de ses images — toutes sublimes —, un graphisme qui joue à fond la carte du paradoxe entre la douceur apparente de ces oursons et leur méchanceté sanguinaire.
Mad Movies
Au-delà d'un univers chatoyant qui ne cesse de capter le regard par un goût visuel très sûr, la grande qualité d'Unicorn Wars est incontestablement son script, qui établit une subtile gradation dans sa progression vers le drame épique, mélodramatique et horrifique.
Télérama
Cet ovni inquiétant parle de racisme, de fondamentalisme religieux et de perversité tous azimuts, en débordant d’imagination et d’idées visuelles vénéneuses. Un poison enivrant, à réserver aux adultes.
Le Dauphiné Libéré
Le scénariste-réalisateur espagnol Alberto Vâzquez signe un film d’animation tordu sur les horreurs de la guerre, qu’il convient de ne pas mettre devant un public trop jeune et non averti de son ultra-violence.
Le Figaro
La fable hyperviolente, prêche le pacifisme au coup de poing.
Le Journal du Dimanche
Un ovni inclassable, impitoyable et terrifiant, surgi de nulle part.
Les Fiches du Cinéma
Entre Platoon et Bambi, ce film d’animation joue des contrastes entre des couleurs splendides et la noirceur de son propos. Pesant et dérangeant.
Ouest France
D’une noirceur fascinante.
Première
D’une violence et d’une noirceur inouïes. Pas pour tout le monde, mais tout le monde serait bien avisé d’y jeter un oeil.
Télé 2 semaines
Cette fable décalée et violente, sur fond de génocide et d'embrigadement religieux, explore de nombreux thèmes sérieux mais s'éparpille un peu trop. Pour un public averti.
Le Monde
L’acharnement avec lequel Vazquez éventre ou défigure ses oursons mignons diffuse parfois des relents fétides, mais la charge antiviriliste est efficace.
Culturopoing.com
Programmatique et répétitif, soucieux de plaire à un public plus large, de provoquer ses rires outragés et ses applaudissements, "Unicorn Wars" s’égare ici dans la provoc et la surenchère. Lorgnant plus du côté de la série "Happy Tree Friends" - qui au moins jouait franc-jeu la carte du trash - que de "Psiconautas", Alberto Vázquez se renie et perd sa griffe, donnant alors la désagréable sensation d'imiter plutôt que de créer. Comme par enchantement, la singularité et la sincérité qui faisaient la beauté de son cinéma se sont volatilisées.