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Il y a du Aki Kaurismäki, augmenté d'un soupçon de Wes Anderson, dans la mise en scène de l'Allemand Thomas Stuber. Une manière de transcender le quotidien grâce à l'onirisme et à la fantaisie. Ce mélange irrésistible fait l'originalité d'un film où l'amour et la poésie surgissent au mileux des boîtes de conserves.
Un film, aux effluves profondément mélancoliques et poétiques, qui décrit avec grâce et pudeur, à travers les yeux de son héros principal, toujours à la limite du basculement, l’univers des ouvriers de l’ancienne Allemagne de l’Est.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Moderne dans sa mise en scène et son portrait social, "Une valse dans les allées" observe, bouleversé, ce monde du travail qui fait et défait l’individu. Impressionnant.
Tel une valse, le film est rigoureusement construit en trois temps, portant le prénom de l'un des personnages principaux. [...] Trois visages de la transition : la précarité, l'allégeance au nouveau modèle, le déclassement. Leur point commun : une solitude désolée.
Le couple formé par la vendeuse déprimée et le conducteur de chariot introverti est une vraie réussite, portée par les deux comédiens en vogue du cinéma allemand, Sandra Hüller (Toni Erdmann) et Franz Rogowski (Transit).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Poétique et sensible, cette histoire d’amour entre deux manutentionnaires d’une grande surface est, malgré quelques longueurs, magnifiée par ses comédiens principaux.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Au fil du récit, on pense beaucoup à Aki Kaurismäki Wes Anderson et Roy Andersson. Des influences que Thomas Stuber a su faire sienne pour délivrer ce film à l’originalité terriblement attachante.
La critique complète est disponible sur le site Première
Dans ce cadre géométrique d’horizontales et de verticales métalliques où s’exerce la mélancolie jaillissent la tendresse, l’émotion, quelques éclats de bonheur. Et toute la beauté du film.
L'Humanité
Chose inattendue, le plus beau drame de l’été vient d’Allemagne.
Ouest France
Il y a du Aki Kaurismäki, augmenté d'un soupçon de Wes Anderson, dans la mise en scène de l'Allemand Thomas Stuber. Une manière de transcender le quotidien grâce à l'onirisme et à la fantaisie. Ce mélange irrésistible fait l'originalité d'un film où l'amour et la poésie surgissent au mileux des boîtes de conserves.
aVoir-aLire.com
Un film, aux effluves profondément mélancoliques et poétiques, qui décrit avec grâce et pudeur, à travers les yeux de son héros principal, toujours à la limite du basculement, l’univers des ouvriers de l’ancienne Allemagne de l’Est.
CinemaTeaser
Moderne dans sa mise en scène et son portrait social, "Une valse dans les allées" observe, bouleversé, ce monde du travail qui fait et défait l’individu. Impressionnant.
La Voix du Nord
Cette étonnante romance allemande séduit par sa poésie et son réalisme.
Le Figaro
Une histoire filmée avec grâce.
Le Journal du Dimanche
Une immense scène qu’arpentent des personnages attachants, tous interprétés par d’excellents comédiens.
Les Fiches du Cinéma
Un bien joli pas de danse, émouvant et poétique.
Positif
Tel une valse, le film est rigoureusement construit en trois temps, portant le prénom de l'un des personnages principaux. [...] Trois visages de la transition : la précarité, l'allégeance au nouveau modèle, le déclassement. Leur point commun : une solitude désolée.
Télérama
Le couple formé par la vendeuse déprimée et le conducteur de chariot introverti est une vraie réussite, portée par les deux comédiens en vogue du cinéma allemand, Sandra Hüller (Toni Erdmann) et Franz Rogowski (Transit).
L'Obs
Un conte de fées moderne, magistral et optimiste.
La Croix
Poétique et sensible, cette histoire d’amour entre deux manutentionnaires d’une grande surface est, malgré quelques longueurs, magnifiée par ses comédiens principaux.
Première
Au fil du récit, on pense beaucoup à Aki Kaurismäki Wes Anderson et Roy Andersson. Des influences que Thomas Stuber a su faire sienne pour délivrer ce film à l’originalité terriblement attachante.
Le Monde
Dans ce cadre géométrique d’horizontales et de verticales métalliques où s’exerce la mélancolie jaillissent la tendresse, l’émotion, quelques éclats de bonheur. Et toute la beauté du film.