Derniers Avis : Matrix Resurrections - Page 2

Les lumières de la salle se rallument, et les spectateurs dépités et incrédules se regardent en murmurant un "Mais... C'est nul!". Car oui ce film est très mauvais : histoire réchauffée, assise sur des enjeux dramatiques inexistants, Hugo Weaving et Lawrence Fishburne remplacés par des acteurs de seconde zone, combats pour la plupart dénués d'envergure, BO quelconque, et au global un manque d'énergie, d'envie, comme si tout était forcé.
Et puis on repense à ce créateur de jeu vidéo, prisonnier de son employeur, et l'on se demande si ce personnage n'est pas tout simplement l'alter égo de Lana Wachowski, contrainte de réaliser un 4ème volet à ce qui aurait du rester une trilogie pour de sombres raisons contractuelles. On l'imagine alors volontiers, fidèle à une certaine éthique punk, sabordant volontairement son film pour mieux dénoncer le perpétuel recyclage ad nauseam auquel se livre Hollywood. C'est notamment la petite scène post-générique qui m'a amené vers cette hypothèse. En partant de cette idée, ce qui n'était qu'un ratage absolu devient alors un sacré bras d'honneur adressé à Hollywood. Alors même si le spectateur est le dindon de la farce on peut saluer cette forme sacrément culottée d'entrisme. D'où ma note, à mi-chemin entre le navet et le chef-d'oeuvre.

Incroyable bouze
Fan des 3 premiers. Mais la ils ont tué la saga. C'était pas possible de faire aussi nul. Faut vraiment le faire exprès :
Combat absolument minables
Scenario bâclée, on n'en prend absolument pas plein les yeux comme la vraie saga Matrix, on attend me combat final mais rien ne se passe
Cest gnangnan on croirait voir une serie B

Un film juste fait parce que les fans attendais de revoir Keanu Reeves mais sans plus le film n’apporte rien de nouveau à cette trilogie. On se serait attendu de revoir Morpheus, ou l’agence Smith.

Quelle déception.
Où est l’âme ou l’univers Matrix.
On attendait la résurrection de Neo.
Le renouveau de la matrice, et l’histoire de notre monde après la sacrifice du dernier élu.

Il n’en est rien.
Un gâchis.
À oublier

Pitoyable.
La première partie du film tente de nous faire croire que Néo pense que tout était un rêve et qu'il est bien dans le monde réel.
Le tout saupoudré de pseudo philosophie qui doit s'appliquer au cinéma sur les gens à qui on sert toujours la même soupe etc..
Quand Néo se réveille, ça bouge un peu. Mais le premier combat les oppose à une bande de clowns.
Le retour de Smith et Morpheus auraient pu être sympas... S'ils avaient été un temps soit peu caractérisés et exploités.
Et la frontière entre la matrice et le monde réel qui disparaît comme par magie... Parce que la technologie, TG, c'est magique !
Finalement cette suite est exactement ce que son discours philosophique à 2 balles dénonce. La même soupe réservie mais elle n'est pas bonne

Qu'on soit claire, ce film ne mérite clairement pas le lynchage qu'il s'est fait. Il est certes, très en dessous des trois premiers, mais N'EST PAS MAUVAIS !

Je vais commencer par les points car c'est surement pour là que vous êtes là et c'est ce qui fera que vous verrez ce film ou non. LE GROS PROBLEME DU FILM, c'est que ce n'est QU'UN seul film là où la trilogie, ba est une trilogie. En gros, le film doit monter une histoire et la résoudre en un seul film. Alors après certes, le premier film se suffisait plus ou moins à lui-même mais bon on serait resté sur notre fin si ce 4ème film aurait été pareil. Deuxièmement, ba la magie des effets spéciaux (un peu décevant, il faut l'admettre), n'impressionne plus après tant de films qui les ont pompé et repompé (du coup, personnellement je pense que ce n'est pas une mauvaise chose de ne pas avoir misé sur ça, d'autant que les effets restent sympathique). Un autre problème, c'est l'ambiance qui n'est pas aussi sombre que les trois premiers et on ne ressent pas suffisamment Néo en danger. Mais là encore, fallait-t-il faire la même chose ? S'il y a un truc que je ne supporte pas c'est qu'une suite vous dise BALEK de tout ce qu'il y a eut avant, on détruit tout et on refait pareil. Non, ce film a le mérite de proposé une vraie suite qui prend en compte les succès des trois premiers films et bon sang qu'est-ce que ça fait du bien (je pense à Stars Wars 7 notamment qui a vraiment annulé tout l'intérêt de la trilogie originale mais passons). Je regrette néanmoins quelques dérives fantastiques (notamment avec des pouvoirs un peu cheaté des agents dans le monde réel) et le fait que la façon de sortir de la Matrice ou de changer de plan ne fonctionne pas aussi bien que dans la trilogie avec les cabines où on sentait vraiment les héros en danger (mais en même temps, pouvait-t-on remettre des cabines téléphoniques ?)... Enfin, on regrettera l'absence d'Hugo Weathing (même si son remplaçant s'en sort pas trop mal) et de Laurence Fishburne (pour le coup son remplaçant est moins génial).

Bon les bons côtés. De très bonnes idées ! Déjà toute la première partie est génial je trouve. Repartir sur l'idée de base où l'on confond le monde réel et la réalité. Avoir nerfé Néo, ça a été critiqué, mais ça rend le film plus intéressant à mon sens. Comme je le disais : ne pas avoir enlevé l'intérêt de la trilogie originale. La paix a bien été faite avec les machines et la matrice est plus colorée. Je trouve l'idée de la nouvelle matrice, plutôt intéressante (je ne spoilerai pas plus) et m'a convaincu et la façon dont Néo et Trinity reviennent me parait satisfaisant compte tenu de ce qu'on a vu précédemment. J'ai BEAUCOUP apprécié, une idée qui a été mis, où le temps se fige, je trouve que visuellement ça rend bien. Et enfin, j'aime beaucoup le concept de comment a évolué le monde réel depuis le trois et de pourquoi ça repart en couille. Le VRAI problème, c'est qu'on aimerait en savoir plus ! Et c'est là que le film en pâtit énormément de ne pas avoir été découpé en plusieurs épisodes. Tout est expédié trop vite, on aurait voulu en savoir plus. Que ce soit sur l'organisation des machines et ce qui a conduit à ce qui se passe dans le film. Que ce soit à comment la société humaine en est arrivée à là où elle en est. ET SURTOUT, L'ELEMENT DE RESOLUTION, vite expédié.

En fait, ce qu'il aurait fallu faire c'est faire un premier film jusqu'à ce que Néo sort enfin de la matrice et redécouvre le film. Et en faire un deuxième qui se serait passé d'avantage dans le futur et où tout aurait été claire. Car oui, en fait on a un peu deux films en un... C'est à dire que le film prend le temps au début (ce qui est supers je le rappel) mais du coup on manque de temps après...On n'a pas vraiment le temps de s'inquiété pour Trinity et d'avoir de la peine pour Néo. Pourtant, j'ai trouvé le concept de fondé ce film sur la relation qui unissait Néo à Trinity vraiment supers et cohérent. Et à ceux qui critiqueraient le "pouvoir de l'amour", franchement vous n'êtes pas honnête car on a ça dans les trois premiers films. Je rappel que c'est le baisé Disney qui Ramène Néo à la vie dans le 1 et Trinity dans le 2... Sans parler du bordel avec la prophétie, l'élu et toutes ces conneries ! Enfin bref, pour le coup franchement ce n'est pas une critique honnête et on reste dans le thème.

Enfin, j'aimerai rappeler que Matrix est une saga incroyable, personnellement je l'adore. Mais il ne faut pas la surcoté comme on a tendance à trop le faire (probablement par nostalgie...). Là où je veux en venir, c'est qu'on lui prête une trop grande pseudo philosophie intellectuelle qu'elle n'a en réalité pas vraiment... En fait, tous les films de Matrix, il y a beaucoup de bullshit, où on donne l'impression qu'il y a plus que ce qu'il n'y a réellement (ce qui est mieux que de ne rien faire et de rester à quelque chose de trop plat comme on pourrait le regretter pour les films Avatar ou Stars Wars Postlogie). Mais ça reste beaucoup de vides... Le délire de l'architecte, de la prophétie et de machins, en vrai ça ressemble à des pirouettes scénaristique. Mais là encore, rendons à César ce qui est à César, ce concept c'est directement repris d'Alice au pays des Merveilles (et de manière assez assumé, ça n'arrête pas de le dire dans le premier film) ! Même Même l'histoire d'être dans une simulation informatique, ça avait déjà à l'époque été fait maintes et maintes fois. Bon ok,, on a aussi le délire d'utiliser le monde artificiel pour garder les individus sous contrôle, mais là encore c'est l'alégorie de la caverne de Platon (mais je pense que c'est la chose la plus intéressante du film)... Mais pour le coup, Matrix 4, reprend tout ça. Ainsi, n'attendez pas quelque chose de trop grand à la SNK qui va vous retournez le cerveau dans tous les sens, ce n'est pas ça Matrix !

Dans un contexte de renouveau des anciennes franchises, ce n était qu une question de temps avant que les producteurs de Matrix ne décident de presser une dernière fois le citron pour essayer d;en tirer encore un peu de jus. Une mauvaise habitude hollywoodienne quand on voit les nombreuses suites de trop qui ont pourri à elles seules certaines grandes sagas cinématographiques.
La question est : est-ce que Matrix valait sa résurrection ?
Ecrit et dirigé par une seule des soeurs Wachowski, Lana, ce nouvel opus s ouvre sur une séquence qui, sans grande surprise, reprend, sous un angle nouveau, l;essentiel de l;intro du premier film. A ceci près qu;elle est cette fois-ci narrée du point de vue d;une nouvelle protagoniste, ici simple observatrice et référente du spectateur.
Des sujets nombreux certes, mais à peine évoqués, tout juste survolés, Lana Wachowski privilégiant en fin de compte un sous-texte féministe au propos certes louable mais abordé de manière aussi subtile qu;une adaptation d Hamlet avec Schwarzenegger. Le scénario brasse plusieurs idées intéressantes que la réalisatrice peine à traduire à l image, la faute à un scénario maladroit enquillant les idées sans les développer correctement. D ' autant plus que les vilains défauts narratifs de Matrix Reloaded et Matrix Revolutions ont tôt fait de réapparaitre, la réalisatrice/scénariste se vautrant à nouveau dans l;écueil de l intrigue surexpliquée par des tunnels de dialogues.
Dès son intro, Matrix Resurrections pue le film d ;auteur souffrant du complexe de Kubrick (rebaptisé complexe de Nolan de nos jours). A savoir que sa réalisation et son écriture hurlent : « mon film est bien trop intelligent pour que vous, simple spectateur, ne puissiez le comprendre au premier coup d oeil« .
Ce qui était déjà le principal problème des deux premières suites : un pot-pourri de répliques nébuleuses et de circonvolutions foireuses censées complexifier une trame au demeurant déjà surexploitée (Philip K.Dick avec Second Variety, Harlan Ellison avec I have no mouth and i must scream, William Gibson avec Neuromancien et James Cameron avec ses Terminators, tous avaient déjà brodé leurs propres visions sur la même histoire de conflit hommes/machines) et donc relativement simpliste.
Et il faudra certes peut-être visionner deux fois ce dernier opus pour s ;assurer d;avoir tout bien compris et en arriver à cette triste conclusion : Matrix Resurrections est une énorme purge. De celles qui vous feraient presque apprécier les thématiques sophocléennes d un Divergente ou même, pourquoi pas, la dimension naturaliste d un film de Paul W.S. Anderson.
C;est bien simple, à l exception du jeu de Keanu Reeves, de Carrie Ann Moss et de Jessica Henwick, et de la qualité du travail du vétéran John Toll (La Ligne rouge) à la photo, tout y est mauvais.
Les acteurs sont sans charismes et la plupart des personnages sous-développés. Quant à ceux qui reprennent les rôles de Morpheus et de Smith (Yahia Abdul-Mateen ll et Jonathan Groff), ils ne font même pas l effort de calquer un minimum leur jeu sur celui de leurs prédécesseurs.
Le postulat est minimaliste (on réveille Neo et celui-ci veut réveiller Trinity parce que l amour), les scènes d action aussi rares que mollassonnes et montées façon Marvel, les méchants cons comme leurs burnes, la direction artistique digne d ;un Disney (toutes ces couleurs, c ;est beau ), le score oubliable (où est passé Don Davis ?), les raccourcis narratifs aussi gros qu une géante gazeuse (le briefing de Niobe où celle-ci lance ses généraux dans une opération suicide sans même leur expliquer la mission ).
Sans oublier les répliques auxquelles on ne comprend rien si on n a pas fait huit ans d études en ingénierie cyberpunk (« Codex exomorphique et oscillation paramagnétique« , « Cinquante mètres sous l Anomaleum, une strate de filtres amniotiques cache une petite aération hexagonale ventilant le modificateur corpusculaire qui oxygène le biogel; « Utilise l ;opérateur système pour désactiver les macérateurs« ).
Apres avoir vu cette " Résurrection " Matrix Reloaded et Revolutions passent du statut de « mauvaises suites » à celui plus indulgent de « suites décevantes ». Lana Wachowski aura beau jeter ça et là quelques nouvelles idées, le film ne séduira jamais la rétine, n’enflammera jamais l’esprit.
Parmi ces quelques idées, la plus amusante est cet emprunt fait aux zombies movies qui ont pullulé sur les écrans depuis vingt ans, les agents étant désormais remplacés par des hordes de civils rendus soudainement hostiles (le « mode meute ») et se lançant à l attaque des héros, notamment dans un train surpeuplé (un clin d oeil évident à Dernier train pour Busan).
L idée la plus ridicule, elle, étant d;avoir voulu symboliser à l;image la paix humains/machines en affublant les rebelles de gentils robots aux looks plus proches de pokemons (kujaku et ses grands yeux) que de sentinelles.
Enfin, l idée la plus intelligente est ce pouvoir qu a le bad guy d évoluer tranquillement au sein d ;une scène d action filmée en bullet time. Une idée idéale pour esquisser quelques enjeux.
Totalement prévisible dans ces grandes lignes (on se doute bien que Tiffany redeviendra Trinity et que le film, s;il a commencé de la même manière que Matrix, premier du nom, a de fortes chances de se conclure sur un envol), Matrix Resurrections se révèle surtout très ennuyeux à regarder.
Chiant est le mot le plus correct.
On passe deux heures et demi à contempler un écran riche en couleurs mais vide de sens avec le vague espoir qu n moment ou un autre le film décollera, qu on aura enfin droit à une grande scène ou au moins à une séquence mémorable, digne de la gifle que fut, à son époque, le premier film.
Mais : Non.
Rien.
Alors on regarde jusqu;au générique (10 min de crédits pour une purge pareille ), ou bien on abandonne avant la fin, et l on fait comme on a fait pour Alien, Robocop, Terminator, Predator, Die Hard et Indiana Jones, quand ils eurent à souffrir eux aussi de leurs suites de trop : on fait le deuil de la cohérence de la saga, on ne garde que le souvenir des premiers films et l on rêve d ;un monde (ou d;une matrice) où cette résurrection n a jamais eu lieu.

Visionnage de ce 4e opus juste terminé ! Voici mon avis à chaud : globalement j'ai bien aimé le film.
Ce matrix résurrection est truffé de références à la trilogie. Des flashback qui, en tant que fan des 3 premiers opus, m'ont beaucoup plu ! Matrix un jour, Matrix toujours !
Ceci dit, je trouve ce dernier Matrix réussi mais moins punchy, moins impressionnant que les autres, sur bien des points...
Je découvrais Néo et Trinity en 1999 et le fait de les revoir en 2024 m'as beaucoup ému. J'ai vu à travers ce couple mythique des années 2000, défiler ma propre vie. Je classerai donc ce Matrix ressurection sous le signe de la nostalgie.

Ça m’a fait plaisir, au début, de retrouver l’univers Matrix avec Keanu Reeves et son personnage. Comme beaucoup de monde, j’avais adoré le premier film au contraire des deux suivants qui m’ont laissé beaucoup plus dubitatifs (toujours de super effets spéciaux et des scènes d’action géniales mais un récit beaucoup trop ésotérique). Celui ci est très loin d’être parfait (même défaut que les deux derniers et un peu trop de chose déjà vu) mais un petit point positif : une image avec des couleurs normal et pas ce vert poisseux. Bref, un film très moyen et perché avec une fin qui deviens même ennuyante malgré toutes ces scènes d’action ! 2 étoiles pour la nostalgie.

Ai essayé de le regarder 3 fois...ai échoué 3 fois, le réchauffé ça va 5 minutes, le copier-coller-lifté aussi

Vraiment Nul ! Une suite qui dévalorise même les trois premiers volets. Une revue du couple post-moderne où Trinity ne se sent pas bien dans son couple avec des enfants qui ne sont pas ceux de Néo... Néo à la tête d'une entreprise de jeux vidéo... Le meilleur des Matrix reste le premier film et c'est le seul qui restera un chef-d'oeuvre du cinéma à mes yeux !!

Un bon exemple de comment détruire une histoire extraordinaire qui tenait dans un premier film et de progressivement revenir à la matrice hollywoodienne en proposant une oeuvre ultime qui humilie son personnage principal tout en décevant les fans qui ont encore un cerveau fonctionnel en 2023. Devoir avoir un pass sanitaire, donc une pilule bleue, pour aller voir Matrix 4, quelle douille !

Sortant d'une trilogie dont neo avait créé, un jeu video qui expliquait la guerre dans la matrice, entre rêve et réalité. Mais la réalité est it vraiment un rêve ?
Ce quatrième opus, a trouver un scénario prétexte, mais il fonctionne, ponctués d'images des anciennes opus, sorte de notive explicatif pour ceux qui n'aurait pas vue la saga originel. La réalisation est toujours divertissante et spectaculaire. Lana Wachowski n'a pas perdue la main.

Je me suis endormi...
On dirait qu'ils ont, sic le film, été forcé par Warner Bros à faire cet opus.
Nul et inutile...

peut être aurais je du me replonger dans le premier matrix , avant de voir celui ci . j' avais adoré la franchise , mais la , je suis passé complétement a coté . les fx ,et les scènes de "bagarres " sont géniales , mais l'histoire est une catastrophe , j'étais perdu .