Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Culturopoing.com
par Carine Trenteun
Tout converge, à partir de la souffrance de ces artistes, et s’harmonise pour filmer au plus intime leur identité et témoigner de leur courage pour survivre qui fait d’eux des « suicidés vivants » exemplaires, aboutissant à une expérience qui non seulement n’est jamais plombante mais, au contraire, souvent malicieuse et résolument optimiste, et magnifiquement photographiée.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Bizarre et fascinant, "Rester Vivant" est à la croisée des mondes, tout comme ses personnages. Plongée dans la recherche du vrai par la souffrance tout autant que moyen de s'en sortir, le film arrive à point nommé. Sa vision est donc obligatoire.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Dauphiné Libéré
par Jean Serroy
Ce qu’on en voit, ou plutôt qu’on n’en voit pas, scandée par la voix plus profonde que jamais d’un Iggy Pop chantant “I want to go to the beach”, laisse espérer justement la possibilité d’une île, que le plan final, superbe, incitant les poètes à passer à l’attaque, pare des couleurs ivres d’un bateau rimbaldien.
Le Figaro
par Olivier Nuc
L'auteur et le chanteur échangent agréablement dans "Rester vivant - Méthode".
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Ouest France
par Pierre Lunn
Le résultat, iconoclaste et irrévérencieux, permet de réfléchir à la folie de l'acte de création tout en faisant souffler un vent de liberté dans les salles.
Première
par Gérard Delorme
Cette suite de moments forts, parfois drôles, toujours bien sentis, se termine par une belle image des poètes en marche à l'aube sur le boulevard Saint-Germain à Paris.
Télérama
par Louis Guichard
Entre l’icône déglinguée et les abîmes du texte, l’alchimie opère, ironie comprise, et ce sont les meilleurs moments. Plus déconcertant : les portraits croisés de trois artistes méconnus, certains en convalescence psychiatrique, qui illustreraient eux aussi, à leur manière, les vertus de la « méthode ». Face à eux, le cinéaste se fait plus hésitant sur le ton à adopter et sur le dosage entre l’humour et la gravité, entre la mise en scène et la captation.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Journal du Dimanche
par Stéphane Joby
(...) drôle d’ovni métaphysique (...).
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
L’ensemble, ambitieux, n’en demeure pas moins d’une grande faiblesse cinématographique.
L'Obs
par David Caviglioli
Houellebecq vient à la fin, pour ne rien dire, visiblement satisfait de se montrer avec Iggy Pop et d'avoir intégré le vedettariat international. Qu'il coopère à sa propre trahison laisse sans voix.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Culturopoing.com
Tout converge, à partir de la souffrance de ces artistes, et s’harmonise pour filmer au plus intime leur identité et témoigner de leur courage pour survivre qui fait d’eux des « suicidés vivants » exemplaires, aboutissant à une expérience qui non seulement n’est jamais plombante mais, au contraire, souvent malicieuse et résolument optimiste, et magnifiquement photographiée.
Ecran Large
Bizarre et fascinant, "Rester Vivant" est à la croisée des mondes, tout comme ses personnages. Plongée dans la recherche du vrai par la souffrance tout autant que moyen de s'en sortir, le film arrive à point nommé. Sa vision est donc obligatoire.
Le Dauphiné Libéré
Ce qu’on en voit, ou plutôt qu’on n’en voit pas, scandée par la voix plus profonde que jamais d’un Iggy Pop chantant “I want to go to the beach”, laisse espérer justement la possibilité d’une île, que le plan final, superbe, incitant les poètes à passer à l’attaque, pare des couleurs ivres d’un bateau rimbaldien.
Le Figaro
L'auteur et le chanteur échangent agréablement dans "Rester vivant - Méthode".
Ouest France
Le résultat, iconoclaste et irrévérencieux, permet de réfléchir à la folie de l'acte de création tout en faisant souffler un vent de liberté dans les salles.
Première
Cette suite de moments forts, parfois drôles, toujours bien sentis, se termine par une belle image des poètes en marche à l'aube sur le boulevard Saint-Germain à Paris.
Télérama
Entre l’icône déglinguée et les abîmes du texte, l’alchimie opère, ironie comprise, et ce sont les meilleurs moments. Plus déconcertant : les portraits croisés de trois artistes méconnus, certains en convalescence psychiatrique, qui illustreraient eux aussi, à leur manière, les vertus de la « méthode ». Face à eux, le cinéaste se fait plus hésitant sur le ton à adopter et sur le dosage entre l’humour et la gravité, entre la mise en scène et la captation.
Le Journal du Dimanche
(...) drôle d’ovni métaphysique (...).
Le Monde
L’ensemble, ambitieux, n’en demeure pas moins d’une grande faiblesse cinématographique.
L'Obs
Houellebecq vient à la fin, pour ne rien dire, visiblement satisfait de se montrer avec Iggy Pop et d'avoir intégré le vedettariat international. Qu'il coopère à sa propre trahison laisse sans voix.