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Votre avis sur Tout l'argent du monde ?
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shindu77
Film assez intéressant par son histoire assez surprenante au final. Il est véritablement très intéressant de noter la cupidité d’un homme autour de son argent et toutes les manipulations que cela peut engendrer. La mise en scène est classique mais bonne et les différents acteurs sont intéressants dans leurs rôles respectifs.
Comme tous les films de Ridley Scott (2017), du moins pour la catégorie Thriller, le réalisateur fait preuve d'une richesse de réalisation avec une force particulière dans le détails . Que ce soit pour la reconstitution d'une époque, d'une ambiance et pour nous faire humer l'air du temps (de son film) . L'Italie des années 1970, la frénésie (déjà) des médias et la situation politique et de la mafia italienne sont très bien représentées. C'est très bien filmé (comme souvent cher RC!) et très bien retranscrit ! Tiré d'une histoire vraie (avec ses côtés parfois invraissemblables) le film se déploie comme un vrai thriller de fiction bien mené et passionnant jusqu'à son dénuement. L'autre force du film est de nous faire effleurer la relation particulière et comment elle s'installe entre le ravisseur et l'enlevé !Ce après peut-être un début un peu long. Bien interprété notamment par Mark WAHLBERG,Michelle WILLIAMS et Christopher PLUMMER .
A noter aussi la performance technique du gommage de Kevin SPACEY remplacé par Christopher PLUMMER. Parfois l'incrustation se devine légèrement (peut-être parce que au courant du remplacement!). Même si on peu regretter de ce remplacement (dont je suis, vu que pas encore condamné, juste accusé !) . C'était vraiement un film pour M SPACEY.
A noter aussi la performance technique du gommage de Kevin SPACEY remplacé par Christopher PLUMMER. Parfois l'incrustation se devine légèrement (peut-être parce que au courant du remplacement!). Même si on peu regretter de ce remplacement (dont je suis, vu que pas encore condamné, juste accusé !) . C'était vraiement un film pour M SPACEY.
tony-76
« Tout a un prix. » C'est le deuxième effort de l'année pour Ridley Scott, quelques mois après son mal aimé Alien : Covenant, le réalisateur de Gladiator entame un thriller traitant de faits réels sur - le kidnapping de John Paul Getty, survenu à Rome en 1973. Un film qui a marqué un tournant dans la carrière de Scott puisqu'il a décidé d'effacer totalement la prestation de Kevin Spacey (lui qui avait le rôle principal), pour accusation de différents scandales de type sexuel... À moins d'un mois de la sortie du long métrage au cinéma, il a fait appel au vétéran Christopher Plummer qui a donc retourné toutes ses scènes. Une course contre la montre pour un exploit de taille ! Il faut dire que ce changement se fait ressentir, l'acteur apparaît souvent seul à l'écran et
spoiler:
lorsqu'il est au sein d'une foule, dans un endroit exotique
: les effets spéciaux sautent aux yeux. En revanche Christopher Plummer, dans la peau de cet être riche et avare, détestable au possible s'avère le plus bel élément du récit, offrant une prestation en or. Ce n'est cependant pas son personnage spoiler: qui mène l'affaire.
Il s'agit plutôt de Michelle Williams qui fera l'impossible pour retrouver son enfant. Elle rend son personnage crédible, et possède des airs de Michelle Monaghan ! À ses côtés se trouve un Mark Wahlberg spoiler: démuni
en ancien agent de la CIA, l'ex rappeur ne se spoiler: sert pas de ses poings et agit de manière intelligente.
L'étonnant choix de Ridley Scott au casting reste l'acteur français Romain Duris qui a dû parler anglais pour se faire passer pour spoiler: un ravisseur italien, il n'est pas si méchant que ça !
Le jeune Getty se débrouille mais spoiler: n'éprouve pas vraiment de peur
face à ses kidnappeurs. Malgré son vieil âge, Scott n'a rien perdu de son savoir-faire technique, tentant de créer une épopée à la Martin Scorsese ou bien à la Oliver Stone en changeant constamment de lieux et d'années - en mélangeant les textures colorées au noir et blanc - et bien sûr en mettant du vert celle de l'argent. Une pellicule toujours aussi élégante de sa part ! Il y a de nombreux dialogues qui expose les faits spoiler: - une séquence horrible avec une oreille -
mais spoiler: la tension y est quasi absente lors des quelques moments prenants de l'histoire.
La musique très écoutable de Daniel Pemberton rappelle souvent l'incompris Cartel, sorti en 2013. Enfin, All the Money in the World (en v.o) est un film correct, qui fonctionne grâce à ses acteurs tous impeccables mais qui aurait été meilleur si on avait rajouté plus de spoiler: suspens
et de spoiler: tension.
Ce qui n'est pas le cas ici ! Les nominations pour ce film vont très vite apparaître lors de la prochaine cérémonie des Oscars...
: les effets spéciaux sautent aux yeux. En revanche Christopher Plummer, dans la peau de cet être riche et avare, détestable au possible s'avère le plus bel élément du récit, offrant une prestation en or. Ce n'est cependant pas son personnage spoiler: qui mène l'affaire.
Il s'agit plutôt de Michelle Williams qui fera l'impossible pour retrouver son enfant. Elle rend son personnage crédible, et possède des airs de Michelle Monaghan ! À ses côtés se trouve un Mark Wahlberg spoiler: démuni
en ancien agent de la CIA, l'ex rappeur ne se spoiler: sert pas de ses poings et agit de manière intelligente.
L'étonnant choix de Ridley Scott au casting reste l'acteur français Romain Duris qui a dû parler anglais pour se faire passer pour spoiler: un ravisseur italien, il n'est pas si méchant que ça !
Le jeune Getty se débrouille mais spoiler: n'éprouve pas vraiment de peur
face à ses kidnappeurs. Malgré son vieil âge, Scott n'a rien perdu de son savoir-faire technique, tentant de créer une épopée à la Martin Scorsese ou bien à la Oliver Stone en changeant constamment de lieux et d'années - en mélangeant les textures colorées au noir et blanc - et bien sûr en mettant du vert celle de l'argent. Une pellicule toujours aussi élégante de sa part ! Il y a de nombreux dialogues qui expose les faits spoiler: - une séquence horrible avec une oreille -
mais spoiler: la tension y est quasi absente lors des quelques moments prenants de l'histoire.
La musique très écoutable de Daniel Pemberton rappelle souvent l'incompris Cartel, sorti en 2013. Enfin, All the Money in the World (en v.o) est un film correct, qui fonctionne grâce à ses acteurs tous impeccables mais qui aurait été meilleur si on avait rajouté plus de spoiler: suspens
et de spoiler: tension.
Ce qui n'est pas le cas ici ! Les nominations pour ce film vont très vite apparaître lors de la prochaine cérémonie des Oscars...
Roub E.
Avec une histoire passionnante Ridley Scott ne force pas son talent et se met en mode pilote automatique. Du coup on suit l’histoire sans déplaisir mais sans être réellement emballé l’ensemble étant assez plat. Le film repose beaucoup sur ces acteurs Michelle Williams et Mark Wahlberg, mais surtout Christopher Plummer qui livre un portrait assez glaçant de l’homme le plus riche du monde. La photo est très réussie et rend vraiment grâce à l’Italie où se passe la majeur partie du film. L’ensemble manque de conviction mais on trouve tout de même de bonnes choses.
Nyns
Après avoir fait sensation grimé et méconnaissable dans la première bande-annonce et quelques accusations d'harcèlements sexuels plus tard... Kevin Spacey se fait renvoyer par Ridley Scott pour ne pas entacher l'image de sa dernière réalisation. Mais vu tout l'argent dépensé (rien a avoir le titre, quoi que...) pour arriver à boucler le film dans les temps en retournant les scènes dans la précipitation, on se demande ou est le pire scandal. En tout cas on ne perd pas au change loin de là, Christopher Plummer assure le rôle du vieux nanti J. Paul Getty avec un charisme qui je doute se trouvait dans Spacey. L'affaire a fait grand bruit à l'époque, Ridley Scott s'en empare pour dresser un thriller sous haute tension et maîtrisé de A à Z. Le réalisateur d'Alien utilise ce fait divers pour démontrer l'abus de pouvoir dans toute sa splendeur. Du grand spectale auquel on adhère sans peine tellement les sujets rassemblent, et tout ce qui gravite autour est si bien travaillé que le plaisir est réel. On est quand même un peu embêté par certains côtés un peu "facile" de scènes qui prouvent sans subtilité l'arrogance et la cupidité face à la si bien connue combativité maternelle. Oh et notre petit Romain Duris qui se fait embaucher par Hollywood c'est mignon ça, c'est même lui qui a le privilège de prononcer le titre du film. Son rôle de gentil mafieux calabrais lui va comme un gant. Quiconque est passé au célèbre Getty center aura des frissons... Un bon film qui aurait mérité une plus humble épopée.
En plus de nous faire le compte-rendu du kidnapping en 1973 de John Paul Getty III dans une Italie bien reconstituée, le film de Ridley Scott nous interpelle sur le pouvoir de l’argent et, dans ce cas précis, sur les relations familiales pour le moins compliquée qui en découlent. Bien que les faits soient connus, « Tout L’Argent du Monde » s’avère captivant, doté d’une ambiance psychologique, lourde et tendue, en dépit de moments redondants et de quelques libertés. Appelé pour retourner toutes les scènes d’un Kevin Spacey déchu, Christopher Plummer impressionne en milliardaire rapiat.
Fêtons le cinéma
All the money of the world s’empare de Getty père (et grand-père) pour le peindre sous les traits d’un fondateur de dynastie, à la tête d’un empire contre lequel Gail Harris s’efforce de lutter. La visite des ruines d’un palais, à Rome, le laisse songeur : il affirme descendre d’Hadrien ou en être la réincarnation vivante, transmet pour cela à son petit-fils l’importance à accorder au sang. Il ne cesse de lui répéter « tu es un Getty », insistant sur son nom et sur la noblesse, le prestige et la puissance de celui-ci dans le monde. Paradoxalement, c’est ce nom qui causera sa perte, puisque Paul junior ne tarde pas à être kidnappé contre rançon. S’opposent alors deux camps : celui de la mère, qui veut récupérer son enfant et cherche donc à persuader Getty père de payer ; celui de Getty père qui refuse de perdre sept millions puis quatre, contestant le fait que tout le monde veuille son argent. Une grosseur cancéreuse aux testicules, une oreille, la souffrance humaine ne conduit jamais le milliardaire à courber l’échine. Toutefois, le manichéisme demeure de surface : derrière cet antagoniste apparent, Scott représente un être fragile qui vit dans la peur de manquer. Ses investissements compulsifs, ses achats d’œuvres d’art, ses projets immobiliers luxueux lui donnent l’illusion d’une présence, matérielle en l’occurrence, apte à se substituer aux hommes et à la versatilité de leur cœur. « Il y a une pureté dans les belles choses que je n’ai retrouvée chez aucun être humain », déclare-t-il à Fletcher Chase : on ne peut se fier qu’aux objets, parce que leur valeur augmente avec le temps là où les sentiments s’étiolent et les mariages se brisent devant les tribunaux. Il meuble sa vie comme il joue aux échecs : dans l’espoir de triompher de la mort. Le dernier plan sur Getty père capte à merveille son désarroi et sa faiblesse congénitale : en contemplant La Vierge à l’Enfant, il prend conscience de l’importance de posséder et d’aimer une famille, jusqu’alors réduite à de simples « visiteurs » voire à des « parasites ». Pourtant, Scott ménage un retournement inattendu et cynique : le buste de Getty qui fixe son héritière. Il aura donc réussi : atteindre l’immortalité en inscrivant son nom dans l’Histoire comme son visage appartient désormais à l’art. L’humanité de All the money of the world est constituée de corrompus et d’intéressés qui obéissent à l’adage exposé en ouverture : « Tout a un prix, la question est de s’entendre dessus ». Le cinéaste ménage néanmoins une porte de sortie : le duo formé par Gail et Fletcher paraît porter en lui des germes d’une relation à venir, ouverte sur un amour désintéressé et véritable. Mais tout cela n’est qu’hypothétique, et le film s’achève sur l’air épouvanté de Gail devant un milliardaire réincarné en pierre, à jamais présent dans son existence. Un long métrage de grande qualité, servi par une réalisation alerte et d’excellents acteurs.
ce film traîne en longueur, il ne parvient pas à éviter des clichés sur les riches vus et revus et n'apporte que bien peu de nouveautés. et une étoile en moins pour le retrait honteux de Spacey.
TOUT L'ARGENT DU MONDE (2017): Je refuse de perdre mon argent, ce sont les paroles de Monsieur Jean Paul Getty. Dans les années 1970, cet homme sera l'homme le plus riche du monde mais aussi de l'histoire. Ce personnage sera aussi le plus pingre que le cinéma mettra en lumière, Picsou dans le monde réel. Le réalisateur Ridley Scott n'hésitera pas à dénoncer tous les défauts de cet homme refusant de payer la rançon pour la délivrance de son petit fils. Une histoire vraie sur un kidnapping où les négociations se feront sur plusieurs fronts. Un excellent thriller qui mettra les nerfs à vif dû à la ténacité de chacun de ses personnages. Christopher Plummer, surprenant et répugnant dans le rôle du milliardaire, Michelle Williams, éblouissante pour cette mère qui ne baissera jamais les bras, Mark Walhberg, persuasif en agent de la CIA, mais surtout notre français Romain Duris, remarquable en kidnappeur Italien. Un film qui surprendra par ses nombreux rebondissements.
Avec "tout l'argent du monde", je craignais que Ridley Scott nous livre une oeuvre bâclée tant sa logique de réaliser deux films par année me laisse perplexe. Mais forcé de constater que, même si Ridley Scott est un cinéaste hyper-productif, son dernier film est un petit tour de force que j'ai pris beaucoup de plaisir à visionner. Le réalisateur de "Blade Runner" nous propose un thriller haletant qui ne souffre d'aucune longueur et qui m'a tenu en haleine du début à la fin. L'intrigue, bien que parfois un peu trop romancée, est bien ficelée si bien que je ne me suis pas ennuyé une seule fois durant les 2h10 que durent le film. La mise en scène n'est pas très originale mais fait le travail, d'autant plus que Scott se rattrape en donnant un vrai cachet visuel à son film à travers la photographie et l’utilisation d'un filtre sépia, qui donne un rendu esthétique rétro très convaincant. Niveau casting, Michelle Williams et Mark Wahlberg font dans la sobriété ne font pas vraiment d'étincelles mais les prestations très inspirées de Christopher Plummer et Romain Duris dans des seconds rôles relèvent le niveau du film. "Tout l'argent du film" n'est pas un film révolutionnaire mais un thriller efficace, distrayant et bien mené qui fait le job et vaut le coup d'être visionné en salle.
On peut regretter que le film soit un peu long, en particulier les scènes de kidnapping. Il est vrai que, dans la réalité, l’otage est resté de long mois en captivité. Charlie Plummer (apparemment pas de lien de parenté avec Christopher Plummer) est très convaincant dans le rôle de l’otage apeuré mais pas sans moyens. Romain Duris, l’alibi français dans ce casting entièrement américain, est tout à fait crédible dans le rôle du gangster sympa.
Les meilleurs moments sont ceux où Christopher Plummer interprète magistralement le milliardaire rigide, avaricieux, légèrement sénile mais ayant gardé les réflexes qui lui ont permis de constituer un empire. Penser que Christopher Plummer a joué le rôle du capitaine von Trapp dans la mélodie du bonheur en 1965 ! C’est assez ridicule d’avoir changé l’acteur Kevin Spacey au dernier moment pour cause de « non politiquement correct » mais finalement c’est assez réussi. Peut être qu’on verra un jour les cènes tournées avec Spacey. Hollywood est bien assez retord pour ça !
Mentionner aussi une belle reconstitution de l‘Italie des années 70, que ce soit Rome ou la Calabre criminelle, par exemple la belle scène où les deuxièmes couteaux font la fête et dansent pendant que l’otage met le feu à sa prison.
Les meilleurs moments sont ceux où Christopher Plummer interprète magistralement le milliardaire rigide, avaricieux, légèrement sénile mais ayant gardé les réflexes qui lui ont permis de constituer un empire. Penser que Christopher Plummer a joué le rôle du capitaine von Trapp dans la mélodie du bonheur en 1965 ! C’est assez ridicule d’avoir changé l’acteur Kevin Spacey au dernier moment pour cause de « non politiquement correct » mais finalement c’est assez réussi. Peut être qu’on verra un jour les cènes tournées avec Spacey. Hollywood est bien assez retord pour ça !
Mentionner aussi une belle reconstitution de l‘Italie des années 70, que ce soit Rome ou la Calabre criminelle, par exemple la belle scène où les deuxièmes couteaux font la fête et dansent pendant que l’otage met le feu à sa prison.
Grand film d’après une histoire vrai, le film est percutant, accablant, en même temps troublant, le tableau est assez noir.. et on est toucher par la détermination de la mère de famille à tout faire pour sauver la vie de sont fils, la ou le père richissimes compte c’est sous (horrifié de savoir que c’était Vrai
Un film violent émotionnellement mais beau à la fin , ça m’a pris au trip vraiment
Un film violent émotionnellement mais beau à la fin , ça m’a pris au trip vraiment
je reste perplexe et dubitative sur ce film... bien joué mais sans plus, certaines longueurs, 2h15 beaucoup trop.
Les acteurs ne sont ni poignants, ni touchants, Romain DURIS et Christopher PLUMMER jouent certes très bien mais ne nous laissent pas emporter dans cette longue... longue histoire de kidnapping qui n'en fini pas.
Le rapport à l'argent de ce grand père est dévoilé dès le début, nous pourrions être interrogatifs car il semble adoré son petit fils mais ne lâche rien sur la rançon, qu'en penser???
Je pense vraiment que certains pourront trouvé ce film très bien mené mais que d'autres seront vraiment déçus par cette lenteur et finalement pas si grande intrigue policière que cela.
Les acteurs ne sont ni poignants, ni touchants, Romain DURIS et Christopher PLUMMER jouent certes très bien mais ne nous laissent pas emporter dans cette longue... longue histoire de kidnapping qui n'en fini pas.
Le rapport à l'argent de ce grand père est dévoilé dès le début, nous pourrions être interrogatifs car il semble adoré son petit fils mais ne lâche rien sur la rançon, qu'en penser???
Je pense vraiment que certains pourront trouvé ce film très bien mené mais que d'autres seront vraiment déçus par cette lenteur et finalement pas si grande intrigue policière que cela.
Ennuyeux à souhait, le film ne parvient jamais ni à nous toucher ni à nous faire trembler. Les faits se déroulent sous les yeux d’une Michelle Williams qui ne semble avoir que deux expressions à son jeu d’actrice...
Une étoile pour les décors.
Une étoile pour les décors.
Fan de Ridley Scott de la première heure, ce film ne m'a vraiment pas convaincu.
Même si les images sont travaillées et les scènes bien filmées, le film est monotone et l'ambiance ne parvient jamais à décoller.
Et ça pour un film de 2h15, et qui plus est, un thriller, c'est mortel...
J.P Getty est montré en surface et on en retiendra simplement un vieux grippe-sou. Il manque vraiment de profondeur. J'ai quand même trouvé Michelle Williams pas trop mal dans le rôle même si son personnage manque un peu de "combativité" à mon gout. Le personnage de Romain Duris a su lui aussi trouver sa petite place dans ce a "sauvé" ce film.
Il y avait de quoi faire, et dans un exercice où il est important de savoir raconter, Ridley s'est planté.
Même si les images sont travaillées et les scènes bien filmées, le film est monotone et l'ambiance ne parvient jamais à décoller.
Et ça pour un film de 2h15, et qui plus est, un thriller, c'est mortel...
J.P Getty est montré en surface et on en retiendra simplement un vieux grippe-sou. Il manque vraiment de profondeur. J'ai quand même trouvé Michelle Williams pas trop mal dans le rôle même si son personnage manque un peu de "combativité" à mon gout. Le personnage de Romain Duris a su lui aussi trouver sa petite place dans ce a "sauvé" ce film.
Il y avait de quoi faire, et dans un exercice où il est important de savoir raconter, Ridley s'est planté.
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