3 raisons pour mettre les 0 étoiles à ce film: raison 1: Un scénario c.. comme la lune; on sait presque qui et quand vont mourir. raison 2: Des acteurs en roue libre qui jouent ou surjouent ( le personnage de la psy, insupportable, le gosse, idem, le méchant n'en parlons pas, seul le scientifque chasseur s'en sort à moitié, malgré un côté caricatural). Et raison 3: Et ben les Komodo (eh, c'est le titre du film, quand même),même si ils sont joliment faits, ne gobent pas grand monde, ne sont pas tres presents, et quand on les voit, c'est le truc qui déboule en gueulant comme un dératé, et qui finit (SPOILER) empalé, éclaté le crane par une pierre (et la résistance de la peau de ces reptiles ???) ou mieux, pour le lézard de fin (plus gros que les autres evidemment), qui avale une fusée éclairante et joue aux feux de joie (FIN DU SPOILER). Et 0 étoiles, c'est du donné pour ce gros Z quand même
Voila ce qu'ont peut appeler une belle "Komodaube" (Film daubissime avec des lézards de Komodo à la L'ile des komodos ou autre Komodo vs. Cobra). Mais le seul problème de ce film : il n'y a pas de komodos de tout le film. Pour résumer le film en 3 mots : Pas de bestioles, du blabla et SFX ratés; bienvenue chez les komodos de Michael Lantieri.
malgré les bons effets spéciaux, l'ensemble ne convaic pas : le film est lent, voir ennuyeux et poussif, les komodos n'apparaissent pas souvent à l'écran... bref ne pas le voir
Komodo est un honnête film de monstre qui casse pas trois pattes à un canard mais à le mérite de bien faire son travail et de ne pas avoir des ambitions démesurés comme le film de Spielberg, le monde perdu, qui s'est cassé les dents à trop vouloir en faire.D’ailleurs on retrouve le responsable des effets spéciaux du premier Jurassic Park sur ce film Komodo, et on peut dire qu'il s'en sort pas mal, aidé d'une histoire simpliste qui met en face des gentils, une psy et son jeune patient et de méchants employés exploitant les gisements du sol, la menace viendra de Komodo, créatures que le réalisateur saura bien exploité leur conférant de trop grande capacités, limite exagéré mais n’était ce pas le cas déjà dans Jurassic Park. Les attaques sont violente bien que peu graphique, le réalisateur joue plus sur le suspense que le gore, et ça marche, l'intervention d'un troisième personnage incarné par Billy Burke apporte une plus value au personnages des gentils, les rendant plus attachants, d’où notre envie de les voir s'en sortir, face à ces créatures reptiliennes. Le film est court, mais après un première d'exposition, est sans temps morts,et plein de suspense aidés part des effets spéciaux de qualités qui font encore illusion jusqu’à aujourd’hui' hui. Si vous cherchez un film ou des individus mal intentionnés et cupides se font attaqués par des gros reptiles allez voir Komodo.
Surfant sur la vague des nouveaux films de monstres, Komodo s'avère hélas être une sacrée déception. Mettant en scène la jolie Jill Hennessy ("New York - Police judiciaire"), le jeune Kevin Zegers (habitué des comédies pour gosses, ici extrêmement mal dirigé), ainsi qu'une ribambelle d'acteurs inconnus, le premier film de Michael Lantieri, génie des effets visuels ayant à son actif des blockbusters comme Qui veut la peau de Roger Rabbit, Jurassic Park ou encore Mars Attacks!, peine à émoustiller... L'histoire pouvait être bien menée avec un peu plus de moyens et d'ambition, mais nous sommes hélas face à un scénario plat, sans suspense ni rebondissements et surtout quasiment sans créatures ! En effet, les fameux monstres de l'île n'apparaissent que très rarement au cours du métrage, tombant comme un cheveu sur la soupe et n'arrivant hélas jamais à nous effrayer. Les animatroniques et autres images de synthèse sont pourtant réussis mais hélas, leurs apparitions sont tellement bâclées qu'aucun frisson ne suivra les légendaires varans. C'est donc face à un quelconque film de monstres que nous faisons face, un quasi-téléfilm à peine rehaussé par des effets spéciaux sincèrement soignés mais, comme dit précédemment, peu nombreux, le faible budget accordé au film ne permettant pas de nous proposer un film un tant soi peu épique, en témoigne cette première partie extrêmement longue à démarrer et cette seconde filmée comme un survival à deux francs six sous. En somme, Komodo reste un film cheap, mal écrit, mal interprété et mal mis en scène. Dommage, le pitch de départ était intéressant.
C'était très convaincant de porter à l'écran les très méconnus dragons du komodo, mais quand on voit le résultat, on est vraiment déçu. Les acteurs sont médiocres, tout comme le scénario sans intérêt.Un film réalisé par Michael Lantieri assure la bonne marche des effets spéciaux et du montage, et non du reste.
Komodo est la version série B du monde perdu, quasiment la même structure, des personnages similaires, et une menace aussi reptilienne que les dinosaures dans le monde perdu. Mais qu'est ce qui a fait que malgré ses super effets spéciaux, le monde perdu m'apparait pénible à regarder alors que je prends toujours autant de plaisir à aller voir Komodo. C'est simple la modestie d'un film qui avec ce qu'il a offre les mêmes émotions qu'un grand film mais des personnages certes manichéen mais attachants là ou dans le monde perdu les personnages gentils étaient insupportables que les méchants m'apparaissant plus intéressant comme le chasseur ou Dieter, et que j'aurai que ce soit eux qui gagne, malheureusement on était dans un film de Spielberg et c’était improbable que cela arrive. Pour conclure Komodo est un excellent film de monstre avec Billy Burke, un acteur que j’apprécie beaucoup, fait par celui qui s'est occupé des effets spéciaux sur Jurassic Park, et qui aura été son dernier film
Une sorte de Jurassic Park avarié avec des acteurs et un réalisateur tout droit sortis des séries Z. Une daube titanesque aux effets stéréotypés: eh oui, le monstre est toujours derrière!! Bouh, même pas peur.
Les gros lézards sont bien reconstitués mais ce film d'horreur manque cruellement de massacres sanglants. Pas de sang qui gicle ou de membres humains sauvagement arrachés et dégustés avec délectation par ces gros vauriens. Dommage.
L’horreur animalière exige une mise en scène apte à conférer à sa créature une puissance mythique par le biais d’une construction narrative conçue en crescendo, suivant les traces, rassemblant les indices, remontant les pistes jusqu’aux premières apparitions fugaces. Autrement dit, elle doit composer une suite de rituels nécessaire à l’immersion du spectateur dans un environnement hostile auquel il croit le temps du film – rites qui relèvent de l’esthétique, tant visuelle que sonore. Si la première attaque de Jaws (Steven Spielberg, 1975) demeure iconique, c’est moins pour ce qu’elle montre que pour ce qu’elle suggère, mettant en place des rituels par lesquels passe l’horreur : la partition de John Williams, une caméra en contre-plongée qui part du fond de l’eau pour gagner la surface, le monstre qu’elle donne à ressentir avant de le donner à voir. Tout cela fait cruellement défaut à Komodo, rejeton des deux premiers volets de la saga Jurassic Park – le studio de Phil Tippett est responsable des effets spéciaux – qui ne témoigne jamais d’une vision singulière de la créature qu’il aborde. Le dragon est traité comme un animal lambda, exception faite des bruits qu’il émet et que reprend à son compte la bande originale : ses attaques disposent pourtant d’effets visuels réussis, mais manquent de mordant ; elles ne participent pas à l’élaboration d’un cauchemar que l’on aurait aimé plus reptilien, en ce sens où les varans sont des animaux qui se fondent dans leur environnement pour chasser leurs proies, qui ont un corps particulier recouvert d’une peau composée de plaques, qui se déplacent rapidement malgré leur masse importante. Il y a avait là de quoi faire frémir ! C’était sans compter sur un réalisateur incompétent, qui ne sait comment diriger ses comédiens, sur un script qui énumère les répliques déconcertantes de bêtise, sur un scénario qui oublie des personnages tantôt secondaires tantôt principaux, qui multiplie les ellipses initiales comme autant de faux départs à un récit terriblement vide, dont l’enrobage psychanalytique – revenir sur l’île pour exorciser ses démons – agit tel un mauvais sucre nappant une pâtisserie industrielle. On zappe.
Un film qui a traumatisé ma jeunesse! Il est vrai qu'il a un peu mal vieillit, les dragons de Komodo ne sont pas très bien faits, mais je ne trouve pas que le film soit si terrible que ça à la vue des commentaires! C'est un film à tension agréable à regarder avec deux trois passages où l'on sursaute. De plus, il ne dure que 1h20 donc on n'a pas vraiment le temps de s'ennuyer! 3/5