Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
7 critiques presse
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Si le scénario manque parfois de liant, il cristallise habilement ces rancœurs pouvant exploser à tout instant avant de retomber dans le silence du déni. La mise en scène, faussement sereine, accompagne les personnages sans jamais prendre parti ni les caricaturer.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Libération
par Marcos Uzal
On ne gâchera rien en révélant que le dernier plan a quelque chose d’Ozu : une pièce vide et un balcon sur lequel du linge sèche au vent. Un simple espace, très quotidien, où du temps a passé et où une famille qui ne sait pas très bien s’aimer a fait ce qu’elle a pu.
La critique complète est disponible sur le site Libération
aVoir-aLire.com
par Frédéric Mignard
En touchant à l’universel du drame familial, ce premier film dignement interprété éveille l’appétit d’une fiction-miroir où la réalité, même dure, paraît toujours plus belle et passionnante dans son intimité.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Humanité
par Vincent Ostria
Récit sans surprises qui convainc grâce à sa concentration.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
Toute en contrepoint, la mise en scène, sereine et mélancolique, garde ses distances, refuse l’exacerbation et scrute les sédimentations du drame avec une puissante maturité.
Les Fiches du Cinéma
par Corentin Lê
Ce moyen métrage jongle entre drame familial et chronique sociale à travers un exercice de style lagarcien trop prévisible pour émouvoir.
Télérama
par Alfred Ogier
Dès les premières secondes, l’alchimie des acteurs opère : Carole Franck, Lucie Debay et Benjamin Siksou parviennent à faire exister des personnages convenus dans leur hystérie. Les dialogues, volontairement brouillons, pris sur le vif, en disent moins que les regards et les gestes manqués. L’intensité de leur interprétation sauve le film de la banalité.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
Si le scénario manque parfois de liant, il cristallise habilement ces rancœurs pouvant exploser à tout instant avant de retomber dans le silence du déni. La mise en scène, faussement sereine, accompagne les personnages sans jamais prendre parti ni les caricaturer.
Libération
On ne gâchera rien en révélant que le dernier plan a quelque chose d’Ozu : une pièce vide et un balcon sur lequel du linge sèche au vent. Un simple espace, très quotidien, où du temps a passé et où une famille qui ne sait pas très bien s’aimer a fait ce qu’elle a pu.
aVoir-aLire.com
En touchant à l’universel du drame familial, ce premier film dignement interprété éveille l’appétit d’une fiction-miroir où la réalité, même dure, paraît toujours plus belle et passionnante dans son intimité.
L'Humanité
Récit sans surprises qui convainc grâce à sa concentration.
La Septième Obsession
Toute en contrepoint, la mise en scène, sereine et mélancolique, garde ses distances, refuse l’exacerbation et scrute les sédimentations du drame avec une puissante maturité.
Les Fiches du Cinéma
Ce moyen métrage jongle entre drame familial et chronique sociale à travers un exercice de style lagarcien trop prévisible pour émouvoir.
Télérama
Dès les premières secondes, l’alchimie des acteurs opère : Carole Franck, Lucie Debay et Benjamin Siksou parviennent à faire exister des personnages convenus dans leur hystérie. Les dialogues, volontairement brouillons, pris sur le vif, en disent moins que les regards et les gestes manqués. L’intensité de leur interprétation sauve le film de la banalité.