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    Sale temps à l'hôtel El Royale
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    3,5
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    266 critiques spectateurs

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    scrat28
    scrat28

    77 abonnés 292 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 1 septembre 2019
    Sur la forme c'est assez sympa et pendant tout un temps on se dit que c'est même vachement intelligent et que ça va donner quelque chose d'incroyable. Mais à mi-course on se rend compte que le scénario ne suit pas, et toute la deuxième moitié du film, banale, longue et vide, le confirme. Quentin Tarantino avait déjà fait preuve de beaucoup d'auto-indulgence et d'amour de soi-même avec ses Huit Salopards (selon moi à moitié raté car en roue libre totale). Drew Goddard tente l'imitation/hommage mais échoue également. De manière un peu plus cuisante (Tarantino reste un maître expérimenté), mais en 40min de moins. Bref, très dommage car il y avait un potentiel incroyable dans tout ce que le scénario met en place pendant la première moitié.
    Punisher.223
    Punisher.223

    7 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 novembre 2018
    Jeff Bridges, 68 ans dont 67 ans de carrière, 81 films - Le Canardeur, The Big Lebowski, Les Chèvres Du Pentagone, Iron Man, True Grit - est une fois de plus excellent dans cet hôtel El Royale. Mais il doit se sentir seul ! Les autres acteurs sont moyens. Lewis Pullman joue bien, Cynthia Erivo joue et chante juste – par ailleurs la bande son année 60 est bonne. J’adore Chris Helmsworth : Thor et Star Trek bien sûr mais également les excellents Horse Soldier ou Hacker, mais là, il pose comme une starlette. Dakota Johnson est inexpressive au possible. Côté effet spéciaux, moyens aussi, avec une scène digne d'un nanar. Quant au réalisateur, Drew Goddar, le scénariste prolifique de Six Feet Under, Alias, ou plus récemment l’excellent Dardeviln il nous embrouille dans une histoire à la complexitude digne de Lost, mais dans un format de 2h22 et non de 6 saisons! Drew Goddar n’est pas Tarantino, dommage, car le scénario était prometteur.
    stallonefan62
    stallonefan62

    285 abonnés 2 550 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2019
    c'est le genre de films qui divise !! Un genre un peu spécial avec du bons et moins bon !! Dans le bon il y a la présentation des personnages,de bons acteurs, la BO et cette atmosphère malsaine qui annonce des scènes inattendu et choc avec des morts surprenantes !! Le moins reste avant tout la durée trop longues et certaines scènes manquant cruellement de rythmes !!
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 080 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 3 mars 2019
    Sale temps à l'hôtel El Royale se vendait bien : bande-annonce dynamique, casting au point, et surtout Drew Goddard à l'écriture et à la mise en scène. Showrunner de la tuerie Daredevil et scénariste de Cloverfield ou World War Z, Goddard s'impose ici comme un réalisateur qui veut avoir une vision d'auteur accompli au point d'aller piocher à droite et à gauche, et d'empêcher son oeuvre d'avoir, finalement, sa propre personnalité.

    On y retrouve des touches de lumières et de couleur des frères Coen, le cadrage et la direction d'acteurs de Tarantino, la vision d'auteur génial en moins. On retrouve ces éléments dans la manière qu'il a de caractériser ses acteurs; Jeff Bridges, prêtre, fait penser à une version aseptisée des personnages des 8 Salopards; quand à Chris Hemsworth, survendu tandis qu'il n'arrive que vingt minutes avant la conclusion, il écope d'un rôle de sous Charles Manson pour lequel il passe son temps à imiter Johnny Depp, sans jamais donner l'impression qu'il y croit.

    On se rend alors compte de la volonté qu'à Drew Goddard de faire prendre la pose à son film; Hemsworth en plein surjeu, qui croit qu'il a réinventé l'eau chaude, face à un Jon Hamm aux airs de Batman qu'on nous survendait une fois encore, et qui n'a que peu d'importance dans l'intrigue globale. Et le casting a beau être sympathique, il est tellement dirigé comme un ersatz de Tarantino qu'il n'a finalement plus d'autre relief que celui de reproduire ce qu'on avait déjà vu en mieux.

    Cela, on le retrouve également dans l'écriture. Lente, à la limite de la prétention, elle passe tellement son temps à vouloir bien faire les choses qu'elle s'enferme elle aussi dans une reproduction du travail du réalisateur de Pulp Fiction, au point même de reprendre sa narration scindée qui fit la sève de son art avec, notamment, le film cité précédemment; souvenez-vous de cette scène d'introduction qu'on suit des yeux de Tim Roth pour, à la fin, la voir du point de vue de Samuel Jackson.

    Goddard reproduit ce procédé narratif, sans l'avoir bien compris; c'est ainsi qu'on se retrouve avec une scène vue par trois personnages différents; celui de Jon Hamm, l'autre de Lewis Pullman, celle de Cynthia Erivo (sûrement la meilleure actrice du film, d'ailleurs), sans que cela n'ajoute de réel plus à l'intrigue, si ce n'est du temps supplémentaire. On retrouve aussi cette perte de temps dans des scènes ouvertement contemplatives, au point de ne plus rechercher la vraisemblance.

    Viennent en point d'orgue ces insupportables passages chantés, au nombre de trois ou quatre, et qui font défiler des minutes entières sans rien apporter de neuf à chaque fois, si ce n'est quelques nouveaux plans de caméra. Etait-ce véritablement la peine de filmer si longuement le passage de la recherche du butin, où les coups de marteau viennent se juxtaposer sur le chant de notre fameuse héroïne? Et que dire de ce passage ridicule où on lui propose de chanter encore à l'orée de sa conclusion, comme si le reste n'avait pas assez appuyé le propos ?

    A l'instar de ces flashbacks disséminés un n'importe où, alourdissant plus le rythme du film que ce qu'ils lui permettent en terme de profondeur d'écriture. Il suffira du combat final pour comprendre à quel point Goddard n'aura pas compris leur intérêt dans les films de Tarantino; plus que des rappels, ils permettent surtout de soutenir, par les révélations du passé, l'action du présent. On quitte clairement ce registre avec la révélation du flashback final, arrivé en plein combat, et propice à l'énervement du spectateur; quand le film abandonnait sa volonté de copier et prendre la pose, quand il décidait d'enfin régler ses comptes avec ses personnages, voilà que ses manies d'écriture reviennent tout gâcher.

    D'autant plus que si la photographie rattrapera sans problème quelques détails irritants de sa rédaction (l'éclairage est réussi, et la représentation de l'hôtel en fait un lieu vivant faisant un peu penser au Bates Motel ou à celui de Shining), ses dialogues ont la fâcheuse habitude de rechercher des punchlines toujours plus marquantes, sans jamais parvenir à les rendre percutantes. Ni du niveau d'un Leone ni de celui d'un Dirty Harry, Sale temps à l'hôtel El Royale accumule les clichés dans son écriture au point de se terminer dans un combat d'immense pathos à deux balles, sur fond de rédemption christique et de purification par le feu.

    Son rythme plombé faisant qu'on ne ressent aucune montée progressive vers son dénouement, l'action de conclusion n'aura que peu d'impact sur le spectateur, si ce n'est celui non négligeable de le libérer enfin après deux heures et demi de reproduction, de bavasserie et de quelques acteurs qui ne jouaient pas trop mal. Certes beau, Sale temps à l'hôtel El Royale, par sa volonté de bien faire en s'inspirant d'autres grands, a finalement mal fait en tombant dans la copie pure et simple, donnant à son film des airs de 8 Salopards en moins réussi, sur tous les points.

    Décevant.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 174 abonnés 4 169 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 17 juillet 2019
    Avec "Sale temps à l'hôtel El Royale", Drew Goddard , scénariste de séries télévisées reconnu réalise son deuxième long métrage. Comme pour "La cabane dans les bois" (2012) c'est un huis clos qui nous est proposé par Drew Goddard qui n'aime rien tant que disséquer le comportement des membres d'une communauté, ici improvisée, face à des évènements extraordinaires. A la frontière entre le Nevada et la Californie sur la rive du lac Tahoe, se trouve un hôtel ayant connu son heure de gloire quand une partie de la jet set politique et hollywoodienne venait dans cet endroit luxueux et retiré pour s'encanailler. Nous sommes en 1969, juste après l'élection du Président Richard Nixon pendant que le conflit vietnamien s'enlise et que l'hôtel a perdu sa clientèle pour ne rester qu'une somptueuse carcasse vide, dernier témoin de son prestige passé. Alors que l'endroit semble endormi comme le seul gardien (Lewis Pullman) chargé de son entretien, arrivent quatre clients dont Drew Goddard nous fait vite comprendre qu'ils ne sont pas obligatoirement ce qu'ils indiquent sur le registre de l'hôtel. La suite s'inspire des romans à tiroirs d'Agatha Christie revus et corrigés à la sauce yankee, assaisonnée de tous les clichés véhiculés par Hollywood depuis la grande époque des studios. Si l'on est tout d'abord intrigué par la construction très originale et rigoureuse de l'intrigue et par les portraits très référentiels des personnages dont Jeff Bridges en prêtre bidon, clin d'œil au Robert Mitchum de "La nuit du chasseur" (Charles Laughton en 1955), on perçoit très vite que Drew Goddard comme c'était déjà le cas pour "La cabane dans les bois" se laisse griser par sa trouvaille dont il n'arrive pas à s'extraire pour dynamiser une intrigue qui finit par s'éventer à force d'être étirée en longueur à coups de digressions, le plus souvent sous forme de flashbacks patauds . On comprend aussi assez vite qu'à travers des personnages archétypes d'une Amérique de la fin des années soixante peu reluisante, Goddard tend un pont avec celle de Donald Trump. Soit, mais là encore la démonstration un peu lourde se termine dans le kitsch le plus absolu avec l'apparition d'un Chris Hemsworth, ange exterminateur plutôt ridicule, à mi-chemin entre Jim Morrison et Charles Manson, chargé de nous rappeler le danger d'être sous l'influence d'un gourou aussi séduisant soit-il. Si le film déçoit notamment par sa longueur (140 minutes), on peut y déceler certaines qualités formelles intéressantes qui font penser qu'en changeant légèrement l'approche de sa mise en scène qui confine à l'exercice de style un peu vain, Drew Goddard pourrait sans doute réaliser des films qui immergent davantage le spectateur plutôt que de le laisser à distance à cause d'un formalisme trop appuyé.
    lorenzo fly
    lorenzo fly

    22 abonnés 813 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 mars 2019
    "Sale temps à l'hotel El Royale" est un film qui se laisse agréablement regarder. Le scénario saccadée et rythmée est efficace. On regrettera un peu de facilité et un manque de soin dans la mise en scène par moment; ce qui relaie ce film pourtant à fort potentiel à une œuvre juste appréciable mais sans plus!
    Housecoat
    Housecoat

    121 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 29 mars 2020
    Du sous-Tarantino sans le moindre recul moral. Drew Goddard prend tout le temps qu'il faut pour donner de la valeur aux promesses de son intrigues (un hôtel partagé entre deux états, des locataires cachant un secret, une esthétique rétro nostalgique) pour progressivement en éjecter les meilleures et garder les plus chiantes. Les thèmes présentées (espionnage, voyeurisme, crimes sectaires, rédemption, domination) ne sont posés que pour définir qui doit se faire trouer la peau, le contenu est sacrifié sur l'autel du cool pour culminer sur un massacre général au sous-texte tellement nauséabond qu'il ne peut pas (ou ne devrait pas) avoir été réfléchi avec conviction. Le délire immature de l'entertainer est aussi bon à voir qu'à supporter sur la longueur. Goddard étire des scènes interminables et enchaîne les plans-séquences sans la moindre justification. Mais au-delà de l'ennui, c'est la repompe sur les maîtres du genre qui est rageante. On cite Tarantino, les Frères Coen et même Shyamalan tant qu'on y es, mais quel est le but ? Injecter artificiellement du contenu dans un récit que le réalisateur se refuse pourtant de nourrir, zigouillant ses personnages à la roulette russe et jetant par la même occasion les pistes intéressantes qu'ils amenaient avec eux. L'envie d'en mettre plein la vu au moyen d'effets tape-à-l’œil est trahie dans sa séquence finale qui ose chichement parler de rédemption sans se gêner spoiler: d'exécuter l'ado endoctrinée.
    Joli à regarder mais d'une prétention assez vaine pour en retirer tout l'intérêt passé le générique de fin.
    Roger D
    Roger D

    79 abonnés 877 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2021
    Un thriller qui lorgne un peu sur le même genre que le dernier Tarantino.
    Des personnages venant d'horizon différents coincés dans un hôtel devenu has been avec les années.
    Alors le début est bien bien long...j'ai eu peur que tout le film soit aussi longuet et heureusement une fois un flinguage en règle survenue le film ce lance et tiens assez en haleine. Bon c'est pas d'une grande tension, hormis l'arrivé de "Thor" mais bon cela reste pas mal.
    NOTE: 5.5/10
    Scénario Catastrophe
    Scénario Catastrophe

    30 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 novembre 2018
    C'est un film moitié/moitié, avec une intrigue qui semble passionnante dans sa première partie et cette même intrigue qui tombe à l'eau par la suite. Je me sens obligé de mettre 2,5. Alors que les décors sont fous, la première scène est un régale, les moments surprenants le sont vraiment : j'ai sursauté trois fois dans mon siège. Ce film est marquant, à plein de qualités, mais c'est vrai que les scènes tirent en longueurs inutiles. Toutefois, on ne s'ennuie pas, aspirés par les images, la mise en scène et les mouvements de caméra. Peut-être ces longueurs permettent-elles de construire des effets de surprises !? Les vrais points noirs de ce film sont les personnages, un pannel d'Américains caricaturés : un spoiler: pasteur bandit, une femme noire qui s'en sort seule, l'ancien combattant, le gourou d'une secte et ses fidèles
    . Le personnages de Miles est totalement absurde, il est mauvais, il surjoue le gamin pas sur de lui, il est un peu lourd et même le maquillage qu'on lui a vaguement peint sur le visage est totalement raté. Quand il déclare "123" (ceux qui ont vu le film, comprendront), une quantité de personnes à rigolé dans la salle. Les deux soeurs sont aussi relativement difficile à supporter : on ne croit pas à leur histoire (ni même à celle des autres), la petite doit jouer un espèce de personnage de film d'horreur de fille mignonne-méchante à frange. Ne parlant pas de ce type qui arrive à la fin du film et qui reprend les rennes du sens de ce film. C'est assez décevant, la où l'on pensait suivre une intrigue avec un suspens insoutenable, on comprend vite que notre suspens Hitchcockien se terminera dans un cahos, un enfer infâme et sans consistance scénaristique. On le comprend assez vite d'ailleurs, au milieu du film, pendant une scène clé qui est très réussie et réutilisée plusieurs fois sous différents angles.
    Bruno65
    Bruno65

    30 abonnés 805 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 22 juillet 2019
    Un curieux film qui oscille entre burlesque des situations et violence et même du gore dans certains scènes.C'est long,par moment ennuyeux et on ne sait pas toujours où l'on veut mener le spectateur.Cet " Hôtel Royale" me laisse une impression mitigé!
    Philippe G.
    Philippe G.

    120 abonnés 509 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 6 novembre 2019
    Godard rate son coup, après le virtuose et fun "cabane au fond du jardin". C'est très bien filmé, il y a beaucoup de soin à tous les niveaux, mais cest mou, lent, et on baille. Excellente BO.
    On est très loin de "Pierrot le fou" !
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 9 novembre 2018
    Je sais c'est méchant. Mais seulement 1/3 du film est époustouflant.

    Il perd ensuite en vivacité, frôlant presque la comédie musicale... Les profils féminins sont mal écrit. La chute est comment dire ça poliment, expédié.

    Il est possible de mettre une note Moyenne si on adore tout ce qui est soporifique et redondant.

    A caler pendant une digestion.
    Oli B
    Oli B

    12 abonnés 618 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 30 mars 2024
    Patchwork indigeste , certains qualifieraient ce truc de pseudo "tarentinesque" ?? je comprends ,je n'aime pas tarentino....
    Film sans queue ne tête , les acteurs se succèdent dans une théâtralité lourdingue.... non!
    madeincine
    madeincine

    12 abonnés 223 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 février 2019
    Un film complètement fou, dans lequel fait face des personnages différents et pourtant tous aussi torturés les uns que les autres. Un peu long.
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 14 février 2019
    L’El Royale est un hotel à cheval entre l’état de Californie et du Nevada. Dans l’établissement atypique se retrouvent sept étrangers, dont les vies seront mises en jeu lors d’une nuit agitée. Le thriller de Drew Goddard s’annonçait prometteur : le portrait d’une Amérique fatiguée et la violence qui lui est inhérente, sur fond de musique des années 80. Le tout porté par un casting de renom comprenant Jon Hamm, Dakota Johnson, Jeff Bridges ou encore Chris Hemsworth. C’est malheureusement un film sans saveur, ni originalité qui nous est offert.

    On sent de la part du réalisateur une envie de créer une atmosphère et esthétique particulière. Cependant il s’y essaye sans jamais complètement s’engager, créant une impression de déjà vu, assez pesante. Il semble s’intéresser seulement à la surface de son oeuvre et non son fond. Les tubes des années 80 s’enchainent quant à eux comme pour combler le manque flagrant d’intrigue et afin de garder le spectateur éveillé, pendant les deux heures trente du film. Le scénario, également écrit par Drew Goddard, est en effet d’une vacuité impressionnante et les retournements de situation sont tous plus invraisemblables les uns que les autres. On y retrouve toutes les grosses ficelles du thriller américain sans jamais en saisir l’intérêt réel. (lire la suite : https://cultureauxtrousses.com/2018/11/23/sale-temps-a-lhotel-el-royale/)
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