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    Sale temps à l'hôtel El Royale
    Note moyenne
    3,5
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    266 critiques spectateurs

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    bertrand l
    bertrand l

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2018
    Excellent film ! Ça déménage et ça envoi du lourd...
    Un scénario déjanté dans un lieu improbable...
    Digne d’un grand Tarentino !!!
    Requiemovies
    Requiemovies

    205 abonnés 1 153 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    On devinait après La cabane dans les bois le côté petit malin de Drew Goddard en tant que scénariste. A savoir se réapproprier un genre et le twister de manière plus ou moins grossière mais toujours en sortant des sentiers (archi) battus. Il semble réitérer ici l’essai en prenant les faiblesses d’un postulat, d’un genre, pour le refaire à sa sauce, sans pour autant en casser les codes, et en faire une belle petite surprise. Evidemment le montage va selon les commentateurs faire penser à du Tarantino (qui au passage n’a pas le monopole du montage alternatif et des délicieux bavardages) mais le reste semble bien avoir la patte Goddard (Seul sur Mars, Cloverfield en tant que scénariste) tant la mécanique semble bien huilée, avec plus de sérieux pour le film concerné. Si l’ensemble ne brille pourtant pas totalement par son histoire, le passif et la psychologie dessinés de ses personnages, comme des interprétes, focalisent toute l’attention du spectateur et l’emmène même vers des zones d’ombre qui garderont (et c’est bien vu) une certaine part de mystère même après la fin. En se projetant ainsi sur ses personnages, et donc ici la métaphore d’une Amérique post Trump, Drew Goddard installe une tension joueuse et intéressante, qui de légères surprises en twists un peu balancés sur la fin, aura pour effet d’apporter une noirceur en filigrane au film.
    Sale temps à l’hôtel El Royale a en outre le mérite de ne pas être une franchise, suite, reboot, remake et propose un divertissement Bis mais plutôt bien mené et original, ce qui change. Avec une formule différente de son précédent film (n’y aller pas chercher le jeu et l’originalité de La cabane dans les bois) il insuffle à travers sa mise en scène et son univers peint période 70’s, un hommage plutôt brillant aux polars et films noirs qui mêlaient humour décalé et violence réaliste. On y retrouve également des personnages savoureux, et crédibles, à travers Drew Goddard déploie alors un vrai plaisir de cinéma autant pour cinéphiles que pour un public qui cherche le simple divertissement (léger dans ce dernier cas).
    Côté casting, l’ensemble est plus que soigné avec notamment Cynthia Erivo (excellente découverte et prochainement dans Les veuves de Steve McQueen dans lequel elle devrait enfin exploser), Jeff Bridges (au top comme souvent) et Chris Hemsworth (qui jouant à la limite du cabotinage livre au final une prestation assez bluffante). Musique soul et groovy en toile de fond, en corps comme en sonore, Sale temps à l’hôtel El Royale finit par être un joli petit plaisir assumé qui malgré sa longueur parfois évoquée reste un film à voir et même revoir. requiemovies.over-blog.com
    AZZZO
    AZZZO

    301 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Drew ? Oui, Drew... c'est bien toi le successeur de Quentin Tarantino ? Parce que pendant un temps, franchement, j'y ai cru tellement ce huis clos était inventif, sanglant, cinglant, multipliant les plans originaux, les passages chocs et les ruptures scénaristiques. Malheureusement, il y a des maladresses, de grosses incohérences et d'interminables longueurs qui cassent le rythme et finissent par endormir le spectateur. Il y a une heure de trop dans ce film et c'est vraiment dommage. La mer reste calme pour les fans de Tarantino et ce n'est pas de Drew Goddart que viendra la nouvelle vague.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 20 novembre 2018
    Haletant.
    Le pitch du film est celui d'un huis-clos classique: 4 étrangers cachant chacun un secret plus ou moins douloureux arrivent à l'hôtel El Royale situé à'la frontière entre la Californie et le Nevada. Dans la nuit, une tempête éclate, et malheureusement, les secrets qu'enferment chacun va les pousser irrémédiablement à une confrontation funeste.
    Bien que le film mette bien 20minutes à démarrer, on n'est cloué sur notre siège une fois l'intrigue posée. La narration est telle que l'intrigue est entrecoupée en plusieurs épisodes incluant un flashback expliquant la raison pour laquelle l'occupant d'une chambre est présent à l'hôtel, suivie d'une scène avec l'occupant en question. Chaque épisode explique la dernière action de l'épisode précédent et lance donc l'épisode suivant, ce qui donne moins l'impression de suivre des "actes" comme nous a parfois habitués Tarantino.
    Les personnages bien que presque tous présentés comme peu recommendables finissent par être attachants ce qui donnent un tout autre sens au côté noir du film. Ces personnages, qui constituent pour moi la grande réussite du film, sont d'autant plus marquants qu'ils sont assez stéréotypés, mais à travers leurs actions et leurs réactions et les révélations à leur sujet arrivent à transcender leurs stéréotypes. A l'image de Notre Dame de Paris, l'hôtel El Royale qui est l'autre réussite du film, ne sert pas juste de décor mais fait partie de l'intrigue. D'ailleurs, on peut considérer la scène initiale du film comme un "épisode zéro" portant sur le personnage El Royale.
    La distribution est parfaite. Forcément Bridges, Erivo et Pullman tirent leur épingles du lot avec un screentime plus important, mais les autres restent impressionnants de justesse.
    Petit bémol, on ne comprend pas très bien pourquoi le méchant s'en prend à tous les occupants. Mais bon ce petit couac scénaristique ne gache pas le film et entraine un dernier rebondissement et un final inattendu.

    Très bonne surprise de fin d'année. A voir pour les amateurs de thriller et de huis-clos. Supportez les 20 premières minutes, la suite en vaut largement la peine.
    Lucie O.
    Lucie O.

    38 abonnés 191 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 novembre 2018
    J’aurai pu lui mettre une meilleure note par ce qu’avec un casting en or comme celui ci et le scénario, la réalisation bref tout est limite parfait MAIS pour moi c’est du TARANTINO en moins sanglant. C’est totalement pompé de l’esprit de Quentin Tarantino et ça me dérange. J’adore ce réal et le fait que l’on pompe sa façon de faire me dérange. Après j’ai vraiment passé un bon moment il est plutôt cool. Il réponds bien à la bande annonce. Et on ne voit pas tout dedans comme on pourrait le croire.
    Adeno
    Adeno

    2 abonnés 17 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 novembre 2018
    Quel gachi de faire un film dans les années 60 avec un scénario correct qui aurait mérité un meilleur développement et un casting auquel j'attendais beaucoups... Tout est long : flash-back, song moment et le film est mal rôdé... Quel déception M. Goddard...
    Dan S.
    Dan S.

    17 abonnés 421 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Très loin d'un style burlesque et tranchant qu'un Tarantino maitrise avec brio, on passe un moment d'angoisse, certes réussi, mais qui n'arrive pas à convaincre. Oui, un scénario à la peine qui ne mène nul part et fait passer presque 3 heures aux spectateurs dans l'absurdité.
    lmc-3
    lmc-3

    270 abonnés 462 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Scénario et idée de base intéressantes, les acteurs jouent à la perfection, le montage, inhabituel, efficace, mais la réalisation... certaines scènes sont trop longues, d'autres inutiles, le rythme est constamment cassé, et le film... mou, vraiment mou..
    Dommage
    ATON2512
    ATON2512

    58 abonnés 1 124 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    De Drew Goddard (2018).
    Que ce soit au niveau musique, décor couleur , le film va vous surprendre par son inventivité et créativité .
    Le dexième film de Drew Goddard ,nous donne à voir un thriller d'une rare violence assumée à laquelle on se joint volontier et une certaine complicité. Dès le début , on est happé par l'histoire entre comédie et polar des plus caustiques. Une histoire à rebondissements , passionnate et délirante. Ce servie par des acteurs tous aussi déjantés que remarquables.
    On s'amuse beaucoup à regarder, mieux à plonger dans cet hôtel dun gente (très) particulier;
    Jeff Bridges dans le rôle d'un prêtre vraiement truculent. , Cynthia Erivo délirante et campant bien le rôle de Darlène . On pourrait citer tout le monde . Une mention spéciale au bel Chris Hemsworth sensuel et doté d'un second degré décapant.
    cineccita
    cineccita

    46 abonnés 1 484 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Il y a beaucoup de perles en ce moment au cinéma.
    La mise en scène, les dialogues et la musique font penser à un western opéra.
    Il y a du Quentin Tarantino dans ce chef d'œuvre.
    Avec ce film, Drew Goddard vient de se faire un nom.
    LudovicV
    LudovicV

    4 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Un très bon film, esthétique, tout en longueurs volontaires mais qui ne nous laisse pas pour autant le temps de nous ennuyer. Le découpage par séquences (une par personne) permette aux spectateurs de découvrir les secrets et vies de chacun des personnages sans pour autant tout dévoiler et de leur donner une profondeur tout en travaillant l’intrigue globale qui pour une fois n’est pas vue et revue. De plus le choix de réalisation laisse une place importante à l’imagination du spectateur. Pour augmenter le plaisir, la bande son accompagne parfaitement et naturellement le film.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 327 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 18 novembre 2018
    Déjà le seul titre de ce film a de quoi interpeller. Qui se risque encore aujourd’hui à ce genre de formulation ? Dès le départ on comprend qu’on va avoir affaire à un film en total décalage avec les codes du moment, pour le meilleur ou pour le pire. Et franchement, quand j’ai vu les premières minutes, je me suis vite mis à espérer. Et c’est fou comment une intro peut dire beaucoup de choses sur un film. Ici, on se retrouve avec un plan d’ensemble qui ouvre sur toute une chambre d’hôtel. L’écran est littéralement le quatrième mur (et quand on apprend par la suite la nature de ces chambres, cela se révèle riche de sens). Dans cet espace on voit un personnage rentrer, surveiller nerveusement l’extérieur revolver à la main, déplacer le mobilier, retirer le plancher, y planquer quelque-chose, puis le remettre, attendre dehors sous la pluie, revenir, attendre à nouveau, puis spoiler: laisser rentrer un complice qui l’abat froidement dans le dos
    . Tout ceci se fait dans une atmosphère travaillée, aussi bien dans la construction de l’espace que dans celle du rythme. Le cadre est fixe, mais le décor et ce qu’y font les personnages sont riches de sens. L’action se déroule en continu, mais la musique et un usage maitrisé du jump cut donnent à cet ensemble une unité et une fluidité plus qu’appréciables. Coup de feu. Annonce du titre. Ça y est : tout a pratiquement été dit. Tout a été dit en termes de présentation de l’intrigue et du lieu, mais tout a aussi été dit sur la démarche du film. C’est manifeste : « Sale temps à l’hôtel El Royale » entend renouer avec la sophistication et l’atmosphère des bons vieux films à l’ancienne. On ne s’agite pas pour rien. On travaille chaque cadre au millimètre. On travaille chaque scène à la seconde près. Il faut chercher à optimiser au maximum chaque élément du film. Prendre le temps quand c’est nécessaire. Ellipser quand au contraire l’histoire l’impose. Retirer le superflu. Bref, chercher à atteindre un degré de maitrise et d’exigence pour chaque détail. C’est l’antithèse même du cinéma actuel. C’est un décalage osé et assumé en faveur d’un cinéma qu’on pourrait juger aujourd’hui comme désuet et dépassé, et le tout construit autour d’une intrigue qui suggère quelque-chose de simple et de sophistiqué à la fois. Autant vous dire qu’en affichant de telles exigences d’entrée, Drew Goddard m’a plus que caressé dans le sens du poil. Et d’ailleurs – pour être honnête avec vous – ce « Sale temps à l’hôtel El Royale », il a su me séduire plus d’une heure durant sans me décevoir. Un quasi-sans-faute face auquel je me délectais goulument. Chaque scène était pensée comme un tout qui s’exprimait en plusieurs dimensions. La découverte d’une pièce de l’hôtel était aussi la découverte d’un personnage. La découverte d’un personnage était également la découverte d’une partie de l’intrigue. Et c’était en enchainant la découvertes des pièces une à une que le film nous promettait de compléter ce gigantesque puzzle narratif que constituait l’hôtel El Royale. Seulement le problème donc, c’est que cette promesse dure difficilement plus d’une heure car, à partir de la moitié du film, ce « Sale temps à l’hôtel El Royale » commence à révéler ses fissures. Premier problème : il peine à justifier convenablement les actes forts qu’il a posé dans la première partie ( spoiler: Pourquoi Darlene fracasse le crâne du père Flynn ? Est-ce qu’elle le connaissait ? Est-ce qu’elle a vu quelque-chose de particulier qui lui a mis la puce à l’oreille ? Eh bah non. Elle est juste tellement habituée à être filoutée qu’elle reconnait les filous… C’est tout ? Pourquoi nous serine-t-on au départ avec des histoires de meurtres à la télé ? Est-ce que cela concerne un personnage ? Si oui, et si c’est Darlene, pourquoi on n’en entend plus parlé par la suite ? Pourquoi Emy se risque à ligoter sa sœur et à flinguer quelqu’un de sang froid ? A-t-elle commis un crime atroce qui justifie de tels extrêmes ? Bah en fait on ne saura jamais… De même, rien de tangible ne nous permet de comprendre pourquoi Rose se retourne à ce point contre sa sœur. Qu’elle ait ses petites hormones en ébullition à la vue de Billy Lee passe encore. Mais Emy ne semble même pas en compétition avec sa sœur dans la conquête du bel éphèbe ! D’où nait la rivalité ? Et comment justifier qu’elle puisse aller jusqu’à renier totalement cette sœur qui l’a pourtant sauvée d’un père violent ?
    ) Et à dire vrai, tout le problème va vite résider dans ce grand manque : l’écriture de Drew Goddard n’est pas à la hauteur de ses ambitions. Toutes les promesses posées ne sont pas satisfaites. On nous annonce un habile jeu de puzzle qui, non seulement n’est pas habile, mais qui en plus n’est pas vraiment un puzzle. Pour qu’un puzzle soit réussi il faut qu’à la fin, en additionnant toutes les pièces, une image se dégage. Là, il n’y a pas d’image. Il y a juste une juxtaposition de pièces, d’histoires, qui ne parviennent pas à faire un tout. Et le problème, c’est qu’à juxtaposer ainsi de telles histoires toutes plus extraordinaires les unes que les autres, leur accumulation finit par nuire à la crédibilité de l’ensemble. Parce que, pour un hôtel paumé au milieu de la cambrousse, on y retrouve quand même une sacrée concentration d’embrouilles cheloues ! ( spoiler: Il a fallu que se retrouvent par hasard au même endroit : des propriétaires qui font chanter leurs clients, un vétéran du Viet-Nam totalement frappé, des braqueurs qui ont décidé d’y planquer leur magot, un agent du FBI qui fait une enquête sur une grosse affaire, deux filles en cavale prêtes à tout et – excusez du peu : John Fitzgerald Kennedy ! Ça fait quand même beaucoup de coïncidences !
    ) Et autant dire que dans l’édification de cette intrigue brinquebalante, il y a clairement un élément de trop qui est venu tout faire s’écrouler comme une vulgaire tour de Kapla, c’est l’arrivée du personnage de Billy Lee. Dès qu’est arrivé son arc narratif, j’ai compris qu’il n’y aurait plus rien à sauver. Toute vraisemblance s’écroule. Le film a l’air de nous dire : « Je finirais avec ce que je veux, comme je veux, et qu’importe si ça ne tient debout ou pas. » spoiler: Parce que Billy Lee, c’est quand même le gars qui débarque en moins d’une heure après qu’on l’ait téléphoné alors qu’il vit le long de la côté californienne et que l’hôtel se trouve à la frontière avec le Nevada ! Quand on sait qu’à vol d’oiseau la plage la plus proche de Tahoe se trouve à 240 kilomètres, que dans les années 1970 il n’y avait toujours pas d’autoroute, et que le Billy n’est pas du genre à vivre à côté de son téléphone fixe, tu te dis que le gars il doit être du genre à avoir des superpouvoirs et qu’il doit certainement se téléporter en bifrost pour arriver aussi vite à destination ! Et puis d’ailleurs, quand l’ami Billy arrive, il est accompagné d’hommes de mains avec des flingues et des bagnoles, alors qu’on nous dit en parallèle qu’il est une sorte de gourou de secte dans laquelle il est le seul mec et qu’il est plutôt du genre à se déplacer à pied au milieu des champs plutôt qu’à stocker des fusils à pompe dans des coffres de berlines. Et puis aussi : pourquoi se met-il à menacer et buter des gens comme ça, sans raison valable ? Ce gars là on ne connait même pas ses motivations ! En gros, ce personnage, c’est juste l’agrégation de tout ce qui manquait à Drew Goddard pour conclure son film. Il fallait un final tonitruant avec un méchant capable de monter dans les excès. Et comme il ne l’avait pas, il a décidé de le sortir de son chapeau-sans-logique. Goddard aurait pu essayer à la place de rassembler les fils de son intrigue, notamment en faisant intervenir les fameux propriétaires dont on nous gave depuis le début de l’intrigue, ou bien les gens du FBI, mais non. Visiblement, Goddard n’entendait pas faire le boulot jusqu’au bout.
    Et franchement ça me déçoit beaucoup un final comme celui là. On prend la peine de faire un film soigné qui pose un paquet d’inconnues et de mystère, et toutes ces promesses là, on les benne par une deuxième moitié de film qui a décidé de ne pas faire l’effort d’une résolution. Du coup, l’un dans l’autre, j’ai une impression mitigée. D’un côté je ne peux quand même pas renier le plaisir que j’ai globalement eu face à un film qui s’est risqué à beaucoup de choses, notamment en termes d’ambiance et d’esthétique, de l’autre j’ai encore la gueule de bois face à cette retombée progressive du soufflé ; une retombée qui ne peut s’expliquer que par une forme assez avérée de fainéantise narrative. Alors l’un dans l’autre j’ai envie de privilégier l’audace par ma note, mais autant dire qu’en faisant le boulot à moitié, Drew Goddard est vraiment passé à côté de quelque-chose ; quelque-chose qui aurait pu faire de lui un auteur prometteur… Tant pis pour lui, après tout. Mais surtout, tant pis pour nous… Bon après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    alchimissste
    alchimissste

    13 abonnés 419 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    J'ai eu l'impression de voir un film de quentin Tarentino à ses début, par rapport au rythme, que le film soit découpé en chapitre, avec un très bon casting, et une bande son énergétique, chaque personnage a son histoire, et durant tout le film il y a des rebondissements multiples,qui fait que les personnages ont le dessus sur les autres.
    13.5/20
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 18 novembre 2018
    Mou, sand intérêt ni suspense... ennuyeux...
    1h pour quil se passe ENFIN quelque chose...
    Je suis resté par respect
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 décembre 2018
    Le seul vrai autre bon film de cette année. Toujours la même recette : un excellent scénario servi par un casting 18 étoiles avec une bande son qui dépote. Comme quoi ce ne sont pas que les suites, les remakes, les prequels, les spin-off, les reboots, et j'en passe, qui donnent les meilleurs films au cinéma. Ce serait même plutôt l'inverse au final de cette année 2018.
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