Mon compte
    The Yards
    Note moyenne
    3,9
    4280 notes En savoir plus sur les notes spectateurs d'AlloCiné
    Votre avis sur The Yards ?

    307 critiques spectateurs

    5
    65 critiques
    4
    134 critiques
    3
    60 critiques
    2
    36 critiques
    1
    10 critiques
    0
    2 critiques
    Trier par :
    Les plus utiles Les plus récentes Membres avec le plus de critiques Membres avec le plus d'abonnés
    eXistenZ I.A
    eXistenZ I.A

    8 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 21 novembre 2021
    Que ce film est magnifique à tout point de vue. C'est à la fois brut et suspendu dans une profonde méditation mélancolique, une oeuvre qui aspire au bien mais dans lequel le mal fait évènement et n'est pas une profondeur de l'âme, mais juste une dérivation de la passion dans ses aspects les plus primitifs.
    bsalvert
    bsalvert

    409 abonnés 3 579 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2021
    un scénario trop simple pour être intéressant, on s'ennuie ferme durant toute la durée du film. Au moins on ne se sent jamais perdu.
    Le Video Club De Sabrina
    Le Video Club De Sabrina

    32 abonnés 350 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 mars 2021
    Léo sort de prison et rentre chez lui avec un seul but : ne plus fauter et rester désormais du bon côté.
    Il est recruté et trouve du boulot par son oncle Franck, patron de l’Electric Rail Corporation qui règne sur le métro dans le Queens.
    Léo va y retrouver Willie, son ami d’enfance, qui va l’initier aux habitudes de l’entreprise. Il va découvrir que derrière une façade respectable, les chantages, sabotages, violences et même parfois les meurtres sont monnaie courante. Léo, détenteur de ces lourds secrets familiaux, devient un homme en danger…
    Immense polar noir, The Yards est le second film du prodigieux James Gray après Little Odessa. Tragédie familiale sans coup de feu ou presque, le film est principalement axé sur les relations complexes entre les protagonistes. Mark Whalberg, tout en sobriété et Joaquin Phoenix, inquiétant et malsain dominent un casting qui comprend également Charlize Theron, James Caan et Faye Dunaway ! Du lourd pour un excellent polar qui a gagné au fil des ans son statut de film culte auprès des amateurs du genre !

    Pour encore plus de critiques et de bonne humeur, suivez-moi sur Facebook et Instagram : Le Vidéo club de Sabrina !
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    4 561 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 mars 2021
    En gros The Yards raconte l'histoire de Leo un jeune homme de la classe ouvrière qui rentre chez lui après un séjour en prison auprès de sa mère malade. Son meilleur ami Willie l'emmène dans l'entreprise de rames de métro de l'oncle de Leo où les choses ne sont pas exactement au dessus de tout soupçon. Leo s'implique davantage dans l'entreprise et les choses tournent mal. Mais en cours de route il y a cent autres sous intrigues. Malgré un grand casting et Mark Wahlberg cette histoire de corruption dans l'industrie ferroviaire de New York parvient à atteindre des niveaux d'ennui qui provoquent le coma. Ceux qui aiment leurs films incroyablement ennuyeux avec la plupart des acteurs (en particulier Joaquin Phoenix) qui marmonnent ou chuchotent leurs répliques se délecteront du film ennuyeux à mourir qu'il est. Wahlberg est aussi boisé qu'il l'est d'habitude et porte sa fameuse mauvaise coupe de cheveux et le reste des acteurs font de leur mieux avec le scénario. Mais soyons honnêtes avec un sujet aussi peu brillant ils n'ont jamais vraiment eu de chance de montrer leurs talents...
    Romain K
    Romain K

    46 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 février 2021
    Un Polar sous forme de tragédie grec, James Gray impose sa patte, que dire de joaquin Phoenix déjà un génie. Le seul reproche que l'on peut faire et un manque de rythme à certains moments.
    Mais les émotions de cette famille qui impose sont incroyables.
    ronny1
    ronny1

    36 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2020
    Si « The Yards » fait aussi authentique c’est que James Gray, co scénariste et réalisateur du film, a grandi dans le Queens et qu’un scandale identique éclaboussa sa famille car son père y fut mêlé. Quelque par renié par son fils, car dans cette galerie de personnages le père est évidemment le grand absent et Léo, le héros, devient le couple central avec la mère, offrant un grand rôle à Helen Burstyn qui l’assume par une performance admirable. Car dans ces lumières aussi vacillantes que les âmes qu’elles éclairent, se débat un jeune homme tout juste libéré sur parole, suite à un vol de voiture presque banal, dont le seul but est de se réinsérer le plus normalement possible. Ce possible n’existera pas car voilà que commence une tragédie implacable qui détruira l’amitié, la vie de sa cousine plus adorée qu’une sœur (et qui le lui rend bien), d’une famille minée dès le départ par le patriarche, maître corrupteur, chanteur et pire encore. Durant les presque deux heures que dure le film, la trop grande lenteur maîtrisée de la mise en scène rend par moment la tension irrespirable, mais aussi paradoxalement, trépignante, nous embarquant dans une furieuse mais angoisse envie d’accélérer. Avec ses décors, ses plans, sa musique impeccable (d’Howard Shore) et un casting exceptionnel ce grand film est avant tout un film d’acteur comme Hollywood ressort la recette qu’en de trop rares occasions, les effets spéciaux et la surenchère étant devenue la règle majoritaire depuis plus d’un quart de siècle. Que ce soit la sobriété de Mark Wahlberg, pris dans l’engrangement du délit de sale gueule, la douceur souvent muette d’Ellen Burstyn, oscillant entre l’espoir et le désespoir d’une mère perdue entre faiblesse et déception, la composition complexe de Joaquin Phoenix l’ami de toujours, déchiré car paralysé devant un choix impossible car il ne veut renoncer, ni à l’argent, ni à la femme qu’il aime, ni à l’amitié, ni à la liberté et qui finira par tout perdre, Charlize Theron (mmm !) la cousine fragile, innocente sacrifiée découvrant la lâcheté coupable de l’homme qu’elle aime, demandant pardon à son ignoble beau-père, James Caan faux derche sans morale aucune, dont aucun meurtre, aussi proche soit-il, n’entame la résolution et enfin Faye Dunaway, sa femme, tante du héros malheureux qui assiste impuissante à l’agonie cardiaque et mentale de sa sœur et qui sent dans quelle tragédie s’est enfermée sa fille à l’insu de son plein gré. Le cinéaste avec une force descriptive évidente, réussit l’exploit de ne jamais se fourvoyer dans le lacrymal, tout en gardant des moments d’émotions très fort, comme lorsque sa tante tend la main à son neveu lors du deuil de sa fille. Tout est juste, tout serait parfait, mais la fin sembmle escamotée, la tragédie devait être plus complète à mon sens. Après « Little Odessa », James Gray a fait le deuxième film qu’il souhaitait et non l’habituelle déception alimentaire dans laquelle trop de ses collègues se sont fourvoyés (lire son interview dans LES INROCKS).
    Romaric44
    Romaric44

    18 abonnés 325 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 16 juin 2020
    Mark Walhberg et Joaquin Phoenix sont vraiment très bons dans leur rôle malheureusement le scénario est répétitif et le rythme du film est très lent.
    On est content quand ca s'arrête!
    Enfin ce film est vraiment très très proche de Little Odessa du meme réalisateur, il était peut être en panne d'inspiration.
    shindu77
    shindu77

    91 abonnés 1 605 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 23 mars 2020
    Une bonne histoire, une réalisation efficace et un casting de belle facture. C'est un bon film qui révèle intéressant.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    358 abonnés 1 793 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 19 mars 2020
    J’ai trouvé ce film policier vraiment génial. L’histoire est passionnante. Au départ, c’est tout ce qu’il y a de plus basique. Un homme sort de prison et veut se réinsérer. Au fur et à mesure, ça s’intensifie. Puis, au-delà du cas Leo Handler, va apparaitre la thématique qui fait toute la différence : la corruption. On va avoir un aperçu d’un système qui gangrène la société. Il n’y aura pas forcément une vision détaillée car cela nous aurait éloignés de l’intrigue, mais suffisamment pour donner du corps au film. Ce qui arrive à Leo Handler va être enrichi par cela. C’est le bon moment pour vous dire que le casting est fantastique. On a ici deux générations qui se croisent. D’un côté de grandes figures comme Faye Dunaway, Ellen Burstyn et James Caan. J’adore ce dernier depuis la série LAS VEGAS en 2003. Et de l’autre côté, on avait une génération montante avec Charlize Theron, Mark Wahlberg et Joaquin Phoenix. Chacun a depuis confirmé avec même un Joaquin Phoenix qui a atteint les sommets cette année dans JOKER. Mark Wahlberg est lui aussi excellent dans un personnage assez discret. Leur duo m’a transporté. Ces deux-là donnent une intensité à ce film. J’étais suspendu à savoir ce qui adviendrait à Leo et Willie. Le rythme est plutôt calme, en prenant son temps pour bien marquer les passages forts. Ceux-ci seront mis en avant par une bande originale topissime.
    RamiValak
    RamiValak

    7 abonnés 188 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mars 2020
    Bertrand-Cantatée

    La pièce maîtresse du cinéma de James Gray, on retrouve tous ses thèmes à leurs paroxysmes, avec un Mark Wahlberg dans son meilleur rôle, mais aussi un Joaquin Phoenix hypnotisant et une Charlize Theron touchante. Les relations de famille sont évidemment omniprésentes, on retrouve aussi le fameux dilemme, ce choix cornélien auquel est soumis son personnage principal, présent dans tous ses films. La scène où celui-ci doit être accompli est à couper le souffle, l'absence de musique nous piège dans l'action, et laisse son spectateur en apnée pendant plusieurs minutes. Et bien sûr, le final est d'un tragique total, et les scènes entre Phoenix et Theron fonctionnent à merveille, qu'elles soient dramatiques ou non. C'est un film qui vous emporte totalement, qui installe une vraie ambiance urbaine, alternant entre scènes de boîtes de nuit à la musique assourdissante et aux couleurs agressives (scène incroyable) et couloirs glauques, qui seront témoins de scènes bien moins joyeuses. Car le film n'est pas qu'un scénario, la mise en scène est vraiment excellente, je reviens à la scène de boîte de nuit qui utilise avec brio ses ralentis et sa musique. La scène où l'appartement de la mère de Leo est infiltré par un des hommes de Willie est géniale, très tendu, et le travelling révélant Leo derrière un mur est très bien trouvé. Je n'ai que de superlatifs pour décrire ce film, que je vais m'empresser de revoir, car il m'a profondément troublé et atteint un niveau de perfection que James Gray n'atteindra à nouveau qu'avec Ad Astra.
    Audrey L
    Audrey L

    638 abonnés 2 580 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 21 août 2024
    Un bon polar, rudement bien interprété, mais malheureusement gangrené par ses longueurs, son appétit pour les dialogues à rallonge entre mecs qui "se mesurent" (on a décroché plusieurs fois) et sa (forte) analogie avec La Nuit nous appartient. Même réalisateur (James Gray), mêmes acteurs (l'excellent duo Joaquín Phoenix et Mark Wahlberg), quasiment même sujet d'intrigue (la pègre qui s'entrechoque avec les états d'âme d'un bon gars)... Si vous avez déjà vu le brillant film La Nuit nous appartient (2007), The Yards a de forts airs de redit qui atténuent notre enthousiasme tout du long. Dommage, vraiment dommage, car tout respire la technicité d'un bon film : le binôme Phoenix et Wahlberg fonctionne très bien (complémentaire dans leur jeu respectif), l'intrigue est intéressante par moments (quand on résume les interminables dialogues : comment cet accusé à tort va s'en sortir ? L'amitié avec le vrai assassin va-t-elle durer ?) et le final apporte un soupçon de morale, plutôt bienvenue. The Yards manque juste d'émotions et de suspens (scénario très prévisible, fin attendue), n'a pas d'intérêt pour aucun personnage féminin, et possède beaucoup de longueurs, ce qui donne cette impression de voir un film bien intentionné mais restant encore le "premier essai" de son petit frère prodige de 2007... On s'est copieusement ennuyé, mais le duo d'acteurs reste excellent.
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 081 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 août 2019
    Le premier essai de James Gray, [Little Odessa][1], était une réussite de tous les niveaux : excellent drame, il portait un message politique fantastique, une histoire familiale déchirante, une conclusion bouleversante. Il y avait de quoi se réjouir à l'idée de suivre une nouvelle intrigue dramatique, avec cette fois Joaquin Phoenix, Charlize Theron, James Caan dans les rôles titres. La présence de Mark Walhberg pouvait certes rebuter, mais c'était oublier qu'il fut, un temps durant, bon acteur.

    Il n'est pas surprenant de voir qu'au final The Yards est un film principalement axé sur la famille : thème cher aux trois premiers films de James Gray (le dernier étant La nuit nous appartient), il est ici exploité dans un registre contraire à celui du premier film. Si Tim Roth incarnait un tueur à gages tentant de renouer avec une famille d'une pauvreté absolue, Mark Wahlberg sortant de prison est, dès son arrivée chez lui, assailli de toute part par sa famille, ses amis, ses proches, des gens du luxe qui se comptent en dizaines.

    Il ne s'agit plus de suivre un film sur la solitude d'un être perdu : Gray nous dévoile, peu à peu, que les apparences de ces hommes riches sont trompeuses, et que les amis, n'étant pas forcément ceux que l'on croit, trahissent comme ils respirent pour justement entretenir leur train de vie irraisonnable. Loin du film de réconciliation, on tient là une oeuvre de séparation, d'éclatement d'un cercle soudé : du personnage de James Caan, revenu aux années du parrain pour remplacer Marlon Brando dans le rôle, au magnétique Joaquin Phoenix ou à la sombre, mais toute fragile, Charlize Theron, en passant par une mère malade interprétée par une Ellen Burstyn toute en finesse (thématique de la mère visiblement importante pour le réalisateur), aucun ne sera épargné dans l'histoire, tous sauf Wahlberg, manière Little Odessa.

    Une implosion amenée par un retour qui déclenche de vieilles rivalités, ou même les dévoile au grand jour; à James Gray, maintenant que son film est lancé, de poursuivre la trajectoire de son drame familial terrible pour nous pondre, une fois de plus, une claque façon drame Shakespearien. Si certains éléments pourront gêner (quelques mauvais agissements des personnages qui sonnent faux, à l'image du manque de prudence de Wahlberg sur certaines scènes de poursuite ou de tension), ses qualités majeures passionneront jusqu'à ce final en règlement de compte par les mots, face à des gens toujours plus haut placés et prétendument inatteignables aussi.

    S'il manque parfois de finesse (le personnage de Charlize Theron pâtit du cliché émo-gothique de l'époque), on ne peut reprocher à The Yards sa terrible efficacité et la beauté de sa mise en scène, où tout sera posé sur la table pour transmettre l'atmosphère la plus sombre au spectateur, en passant par une ville toujours aussi centrale dans l'intrigue, et des scènes en intérieur qui, à mesure qu'évolue l'intrigue et les rapports qu'entretiennent les personnages, deviendront de plus en plus inquiétantes.

    Il y a, dans The Yards, également la figure importante du père adoptif : tenu de manière charismatique par un James Caan aux airs de Brando (*le fils devient le père, et le père le fils*), il campe à la fois le paternel de Phoenix et la figure parentale masculine de substitution d'un Mark Wahlberg affaiblit par les évènements. Jouant dessus, il ne souffre d'aucun manichéisme, se présentant à la fois comme une pourriture désireuse de garder intact son statut social au placé, et comme un homme profondément humain, pratiquement incapable d'abattre, ou de lancer les chiens, sur celui qu’il considère définitivement comme son propre fils.

    Face à ce climat pesant, on suit l'intrigue passionnée, de ce plan d'introduction qui se répercute à la dernière seconde, de la sortie de prison au dernier procès, de la trahison à la rédemption, du crime à la vengeance. Tout cela se déroule en parallèle d'une scène terrible en intérieur, dramatique et, c'est à n'en pas douter, pratiquement égale à la conclusion déchirante de Little Odessa.

    Coup réussi pour James Gray qui, en signant là un excellent polar dramatique, continue prodigieusement bien son ascension à Hollywood. Il prendra dès ce film Joaquin Phoenix comme acteur fétiche, que l'on recroisera dans, à tout hasard, La Nuit nous appartient, Two Lovers et The Immigrant, et imposera Mark Wahlberg nous plus comme un rappeur un brin ringard, mais comme un acteur à part entière capable de jouer justement, avec ce qu'il faut d'émotion et, à l'issue, d'émouvoir mieux que n'importe quel autre acteur de ce solide The Yards.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 11 juin 2019
    Film inconstant car la première moitié du film se regarde agréablement, mais dès que Willie devient jaloux, ça commence à partir en vrilles.Vers la fin certains acteurs jouent pitoyablement.
    Jean-luc G
    Jean-luc G

    63 abonnés 773 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 mars 2019
    Ce film de Gray est d'une grande rigueur classique, soigné, sans le clinquant ni les effet de manches qui souvent vont de pair avec les histoires de parrain et de famille mafieuse. Le triptyque est le même, corruption, fidélité, élimination. Mais les apparences sont ordinaires: comment un père de famille, chef d'entreprise réussit à obtenir des chantiers minables de maintenance dans les transports publics new-yorkais. Sympa et faussement bienveillant, il aide le copain de sa fille, le neveu par alliance, la belle-sœur devenue veuve trop jeune, etc… Le rouleau compresseur qui sert de scénario va progressivement venir laminer cette vie tranquille. Et exacerber les tensions entre les différents protagonistes. Et là James Gray excelle pour tirer partie et décortiquer les situations d'incertitude personnelle auxquelles chacun va se trouver confronté. Au milieu d'un casting plutôt réussi, émerge Joachim Phoenix, qui n'a pas tiré le rôle le plus sympa, mais il l'incarne avec l'énergie du désespoir et une force qui contamine le film. Mériterait certainement le grand écran pour en apprécier pleinement la qualité de la prise de vue et l'ambiance des "chantiers" de la Pomme. Les dialogues sont parcimonieux et l'argot employé souvent difficile à suivre même quand on est anglophone. DVD1 vo - mars 2019
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 2 janvier 2019
    La grande force de cette mise en scène réside dans la lenteur à coup de mélodie rythmée qui plonge au cœur du drame typiquement américain, le monde n’est pas rose pour un sou, l’intrigue de l’injustice. Le fusible qui saute et black-out total pour une réalisation sucrée salée, bien foutue comme dans son prédécesseur débutant dans le noir de « little Odessa » pour ressortir illuminer en chef-d’œuvre. Un cinéma sombre éclairé qui clignote rien que pour nos yeux réveillés, une tragédie d’amour qui se batte à deux pour le prix d’un, les scènes drama-romantiques mélodieuses adoucies de légèreté sont Kubrickiens, le scintillement qu’il puisse rejaillir de l’émotion, la voix est restée devant l’imprévu impulsif. Les tragédiens scénaristes réussissent à captiver l’attention encore une fois de plus associé à ce réalisateur, que ce soit dans l’histoire bien fournie et les différentes formats pour filmer.
    Les meilleurs films de tous les temps
    • Meilleurs films
    • Meilleurs films selon la presse
    Back to Top