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Votre avis sur The Yards ?
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Apres Little Odessa, Gray confirmait qu'il etait bien un nouveau maitre du polar prolongeant ses thématiques à travers une fresque mafieuse ou se mêle trahison, rédemption et lutte fratricides qui prennent une allure de tragédie.Il ne faut pas se fier à son air froid, The Yards est une oeuvre travaillée et sombre ou rejaillit tout le talent de Gray capable de transcender de simple scènes comme peu de réalisateur faisant parfaitement ressentir tous les sentiments que vivent les personnages comme la culpabilité et l'échec. On n'oubliera pas le casting particulièrement brillant allant de Phoenix à James Caan.
Il ne suffit pas d’avoir de bons acteurs pour faire un bon film. « The Yards » souffre d’un manque terrible de nouveauté et ne renouvelle en aucun point le genre. De même l’histoire est bien trop simple pour susciter l’enthousiasme. Sans réel rythme, sans réelle originalité, le film de James Gray se fond dans la masse des polars. Et ce n’est pas la petite morale de la fin ou le sursaut de courage du personnage principal qui va changer la donne ! Ennuyeux et fade.
Un grand film par son climat et son intensité. James Gray se révèle être un metteur en scène et un directeur d'acteurs hors pair. Il n'en reste pas moins un petit goût d'inachevé avec une petite chute de tension due à quelques failles scénaristiques. Le film ne prend pas totalement son envol comme on pouvait l'espérer.
"The Yards" est une oeuvre d'une grande intensité. Le film est magnifiquement mis en scène et on commence à reconnaître la patte propre à James Gray ; par ailleurs il est habilement porté par la musique d'Howard Shore accentuant la dimension dramatique du film.
Gray est un metteur en scène très soigné en plus d'être très attentif à la photographie et au jeu de ses acteurs qui sont d'ailleurs tous excellents. IL a osé faire confiance à de jeunes talents qui ont aujourd'hui pleinement confirmés.
Le thème de la famille est visiblement très cher au réalisateur : cette famille, au travers des magouilles qui l'entourent, va tendre inexorablement vers son autodestruction.
"The Yards" est un drame très puissant tout en parvenant à jouer avec retenue : une belle performance.
Gray est un metteur en scène très soigné en plus d'être très attentif à la photographie et au jeu de ses acteurs qui sont d'ailleurs tous excellents. IL a osé faire confiance à de jeunes talents qui ont aujourd'hui pleinement confirmés.
Le thème de la famille est visiblement très cher au réalisateur : cette famille, au travers des magouilles qui l'entourent, va tendre inexorablement vers son autodestruction.
"The Yards" est un drame très puissant tout en parvenant à jouer avec retenue : une belle performance.
Parfait est le premier mot qui nous vient à la bouche.
Prodigieux en est le second.
Prodigieux en est le second.
The Yards est un polar très maitrisé et très sombre, dont l'intrigue est essentiellement psychologique. Avec une bonne distribution, de bons acteurs de la jeune génération : Joaquin Phoenix, Charlize Theron et des anciens : James Caan particulièrement, the Yards n'est surement pas un mauvais film. Pourtant à côté de la première réalisation de James Gray, Little Odessa, qui est un excellent film de mafia, très concis mais peut-être un peu trop sobre, The Yards décoit un peu. La façon dont l'histoire est amenée n'emporte pas forcément l'adhésion du spectateur, peut-être à cause de l'interprétation de Mark Walhberg, et l'on reste finalement assez froid devant cette tragédie très classique à l'intrigue à rallonge, jusqu'au point de s'ennuyer. C'est tout de même un film noir à l'ambiance très réussie.
Thriller correct grâce au scénario qui met en place un véritable étau autour de Léo. Car du coté de la mise en scène c'est plutôt mauvais, les scènes d'actions manquent de crédibilité. De plus, le film pâtit d'un rythme très lent.
Un jeune homme sort de prison, il y avait été envoyé car il n'avait pas balancé un ami à lui. Pour le remercier son ami va lui trouver du travail. Le seul problème est que ce job n'est pas du tout réglo et un jour ça va très mal tourner.
On est plongé dans le monde des pots de vin, des arrangements financiers ou d'autres nature, des sabotages. C'est le monde de l'entreprise, où presque tout est permis pour battre ses concurents tant qu'on connait et arrose les bonnes personnes: les politiques. Le réalisateur à voulu montrer ce monde sous toutes les coutures à travers l'entreprise où est engagé notre héros, de l'âge d'or à son déclin. Le film montre aussi que la loyauté au prix de soi-même, c'est de la connerie.
Sinon à part cela le film n'est pas passionnant à regarder malgré son très bon sujet, c'est dommage.
On est plongé dans le monde des pots de vin, des arrangements financiers ou d'autres nature, des sabotages. C'est le monde de l'entreprise, où presque tout est permis pour battre ses concurents tant qu'on connait et arrose les bonnes personnes: les politiques. Le réalisateur à voulu montrer ce monde sous toutes les coutures à travers l'entreprise où est engagé notre héros, de l'âge d'or à son déclin. Le film montre aussi que la loyauté au prix de soi-même, c'est de la connerie.
Sinon à part cela le film n'est pas passionnant à regarder malgré son très bon sujet, c'est dommage.
Après une seconde coopération entre Joaquim Phoenix ; Mark Whelberg et James Gray, la première a donné naissance à un film psychologique dans une famille qui tombe dans un très grand drame. La réalisation très sombre donne une grande réalité à cette histoire. The yards nous donne un rappel sur les limites de l’amitié ou de la fraternité entre des amis de longue date.
The Yard signifie en français "Chemin de fer". Un jeune homme se fait piégé à son issue et accusé de meurtre. Son inculpation permet en fait de couvrir un réseau complètement corrompu entre les sociétés de maintenance des wagons et la municipalité.
Dans beaucoup de film de ce genre (milieu corrompu jusque l'os), un meurtre est banal est sans suite. Dans celui ci, il va changer la vie de beaucoup de personnes.
Malgré que le film manque un peu d'originalité, il est néanmoins très intéressant, bien réalisé.
Dans beaucoup de film de ce genre (milieu corrompu jusque l'os), un meurtre est banal est sans suite. Dans celui ci, il va changer la vie de beaucoup de personnes.
Malgré que le film manque un peu d'originalité, il est néanmoins très intéressant, bien réalisé.
Film culte et touchant, une réalisation sombre et pleine d'émotion, des acteurs au sommet de leur art, Joaquin Phoenix encore une fois magnifique, le second opus de la trilogie de James Gray est à la hauteur. Sans doute l'un des meilleurs films noirs des années 2000.
Efficace, sombre. Mais un petit air de déjà vu.
Décidément Gray est bien le maître du polar noir....il éclabousse ce film de toute sa classe tant le tout est filmé à la perfection..L'intrigue parfois lente n'en est pas moins prenante et haletante.Les personnages sont très très bien construits et même attachants et c'est un plaisir de s'immerger dans ce drame toutefois!!!Après Little Odessa et avant We Own the Night ce film s'insère a merveille dans l'extraordinaire triptique mis en place par Gray aec des acteurs tous aussi bon les uns que les autres
Corruption et grosses magouilles sont au coeur de cette minutieuse radiographie du milieu, théâtre de la lente descente aux enfers d’un personnage en quête de rachat. Sans tomber dans le piège de la violence à outrance, ce film, profondément noir (en atteste globalement la photographie), fait par moments preuve d’un froid réalisme et d’un certain fatalisme. Autre point fort, la distribution : James Caan, Charlize Theron, Faye Dunaway entre autres pour épauler les têtes d’affiche! On ne peut donc que regretter la lenteur générale, le manque global de punch qui finit par lasser.
Avant "la nuit nous appartient", James Gray signait déjà avec ce film un très bon polar urbain, rythmé, jouant habilement sur la lumière. Tous les personnages sont quelque part des personnages principaux, l'interprétation est excellente à l'échelle générale du film. En particulier, le réalisateur n'oublie pas les personnages féminins (Charlize Theron troublante, Ellen Burtsyn excellente). Mais le film n'évite pas les passages prévisibles.
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