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    The Yards
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    3,9
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    302 critiques spectateurs

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    _Royal_
    _Royal_

    112 abonnés 1 600 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 22 juillet 2011
    On dirait La Nuit nous appartient, mais en exactement pareil.
    this is my movies
    this is my movies

    631 abonnés 3 087 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 18 octobre 2013
    Il s'était révélé auprès des cinéphiles avec "Little Odessa" et il lui fallut 6 ans pour revenir, en partie à cause d'un planning décalé. Considéré comme un chef d'oeuvre aujourd'hui avec des acteurs de grand standing, "The yards" a pourtant failli couler la carrière de J. Gray à cause d'un bide colossal. Malgré une sélection à Cannes et une critique dithyrambique, le public n'accorda que peu d'importance à ce drame shakespearien, évocation sombre du destin d'un homme qui décide de faire ce qui est juste dans un monde corrompu. Le script est dense et les persos bien campés, les acteurs sont magnifiques et la mise en scène de Gray est à tomber, bien appuyé par la sublime composition de H. Shore bref, c'est effectivement un grand film. Bien sûr c'est assez lent et l'action est peu présente mais ce n'est pas le plus important dans ce film, c'est le débat intérieur d'un garçon perdu et qui évolue dans un monde pourri à tous les étages. C'est noir, c'est beau et c'est du grand cinoche. A voir absolument. Plus de films sur
    Hotinhere
    Hotinhere

    433 abonnés 4 768 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 octobre 2022
    Un polar noir puissant, construit comme une tragédie grecque dans une famille mafieuse à New-York, et porté par une interprétation magistrale. 4,25
    Patrick M.
    Patrick M.

    2 abonnés 19 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 octobre 2014
    C’est un film envoûtant, à la violence suave et à la beauté secrète, qui rivalise aisément avec les plus grands films de Copolla, Scorsese ou Visconti .

    Un film mélangeant des accents lyriques (le scénario pourrait très bien être une intrigue d’opéra), et fantastiques, comme dans cette scène d'hôpital où Leo ne trouve pas le cran de tuer ...

    Un film poétique aussi, avec une rue aux "bruits silencieux", et une lumière, rasante et chaude, qui oppresse les couleurs et creuse les noirs: "Dieu, que le noir est lumineux quand il est bien filmé ! » (Jean-Jacques Bernard, Première

    Seul bémol: la fin, trop étrangère à l’ensemble du scénario et bien moralisatrice (on dit qu’elle n'était pas celle voulue par le cinéaste, mais imposée par le producteur, Miramax, Harvey Weinstein …

    Paradoxe, peut-être, ce film "bigarré" est l’un des meilleurs films noirs dans lequel on se plonge avec délectation. Un film hors concours qu’il faut absolument voir !
    halou
    halou

    105 abonnés 1 532 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mars 2012
    Second film de James Gray qui annonce d'autres excellents films malgré son énorme échec. Sa qualité de réalisation (jeu de lumières, qualité de la palette d'acteurs), ses choix thématiques en font un film subtilement sobre.
    Oriwa
    Oriwa

    54 abonnés 898 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 8 mars 2014
    Une ambiance déjà sombre pour Gray, que ce soit dans la lueur ou dans les relations entre les personnages. Mark Wahlberg y est très bon, discret mais intense.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 janvier 2014
    Excellent film de James Gray qui répète et étrenne après Little Odessa ses obsessions narratives : la famille, le déchirement fratricide, la communauté new yorkaise, la religion, etc. dans un film de gangsters crépusculaire. Leo (Marc Walhberg), sorti de prison, trouve du travail dans l'entreprise mafieuse de son oncle où travaille son ami d'enfance Willie (Joachim Phoenix). Les deux, autour desquels gravite une femme, finiront de détruire leur amitié dans les rouages du business. Comme toujours chez Gray, la force du propos réside dans l'intrication du film noir (avec son antihéros soumis aux aléas) et de la tragédie (par l'affrontement des frères symboliques). Il en découle une satire d'un système corrompu. Quelque part entre Balzac et Scorcese, Gray instille sa patte, techniquement parfaite, et idéologiquement conservatrice : la Famille incarne toujours chez Gray un idéal révolu placé sous le signe du manque (le père est tôt parti) et de la déchirure. Ou comment le film noir mime la violence, sous sa forme économique, pour mieux rétablir l'ordre et la morale ; soit la pureté, quelque chose d'assez américain.
    Tedy
    Tedy

    219 abonnés 2 480 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 janvier 2009
    "The Yards" n'est pas mauvais, c'est juste qu'il souffre d'un manque d'originalité et surtout d'un rythme accrocheur. C'est lent, long et soporifique.
    Dadou
    Dadou

    52 abonnés 1 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2013
    Entre thriller et drame, le film propose un scénario solide et prenant.
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    63 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 15 janvier 2013
    Visuellement, The Yards est très réussi, tant au niveau de la réalisation mais surtout de la photographie, ce qui est un peu la marque de fabrique de James Gray.
    Car pour ce qui est du scénario, il est très conventionnel et peu inspiré. Le film ne révolutionne en rien ce qui a déjà été fait auparavant et si l'histoire se déroule sans véritable accroc, elle ne parvient pas à réellement passionner, la faute également à un rythme un peu poussif.
    L'autre gros problème se situe au niveau du casting, peu convaincant. Joaquin Phoenix, sans être mauvais, n'est pas non plus transcendant, comme à son habitude. Mark Wahlberg lui, est inexpressif au possible et manque vraiment de finesse et de nuance dans son jeu pour un rôle aussi dramatique.
    Globalement, James Gray n'arrive pas à captiver et c'est malheureusement une constante chez ce réalisateur, qui est bizarrement à chaque fois dans les bons papiers des critiques françaises.
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 024 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 26 août 2009
    Parfait est le premier mot qui nous vient à la bouche.
    Prodigieux en est le second.
    bsalvert
    bsalvert

    333 abonnés 3 471 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 mai 2021
    un scénario trop simple pour être intéressant, on s'ennuie ferme durant toute la durée du film. Au moins on ne se sent jamais perdu.
    cinono1
    cinono1

    260 abonnés 1 990 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 juin 2022
    Sur fonds de magouille autour des attributions des marchés ferroviaires, un film d'une grande ampleur ou James Gray développe ses thèmes fétiches, la cellule familiale rassurante et oppressante, la rédemption, la corruption le destin. James Gray est un cinéaste moral, au sens où ses films comportent des enjeux très forts. Son goût pour la tragédie le rapproche de son idole, Francis Coppola, son rythme lent lui permet de s'intéresser aux personnages et à leurs dilemmes intérieurs. Le côté parfois un peu simpliste du film offre une ligne claire et permet d'aller au fond des thèmes abordés. Le film s'avère profondément émouvant, aidés par des acteurs en grande forme, la plupart des relations entre les protagonistes sont passionnantes (Charlize Theron Joaquin Phoenix, ou la relation de Mark Wahlberg avec sa mère malade)
    Charlotte28
    Charlotte28

    95 abonnés 1 759 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mars 2022
    Très classique tant dans sa forme que dans sa dimension tragique, le film au scénario attendu mais cohérent met en scène relations familiales ébréchées et contexte professionnel de magnats corrompus dans une réalisation sobre mais efficace mettant en lumière un casting impliqué. Cependant le rythme faiblit par endroits et surtout ce Yards pâtit de la comparaison avec l'excellent La Nuit nous Appartient. Dispensable car surpassé.
    ronny1
    ronny1

    30 abonnés 913 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 28 juin 2020
    Si « The Yards » fait aussi authentique c’est que James Gray, co scénariste et réalisateur du film, a grandi dans le Queens et qu’un scandale identique éclaboussa sa famille car son père y fut mêlé. Quelque par renié par son fils, car dans cette galerie de personnages le père est évidemment le grand absent et Léo, le héros, devient le couple central avec la mère, offrant un grand rôle à Helen Burstyn qui l’assume par une performance admirable. Car dans ces lumières aussi vacillantes que les âmes qu’elles éclairent, se débat un jeune homme tout juste libéré sur parole, suite à un vol de voiture presque banal, dont le seul but est de se réinsérer le plus normalement possible. Ce possible n’existera pas car voilà que commence une tragédie implacable qui détruira l’amitié, la vie de sa cousine plus adorée qu’une sœur (et qui le lui rend bien), d’une famille minée dès le départ par le patriarche, maître corrupteur, chanteur et pire encore. Durant les presque deux heures que dure le film, la trop grande lenteur maîtrisée de la mise en scène rend par moment la tension irrespirable, mais aussi paradoxalement, trépignante, nous embarquant dans une furieuse mais angoisse envie d’accélérer. Avec ses décors, ses plans, sa musique impeccable (d’Howard Shore) et un casting exceptionnel ce grand film est avant tout un film d’acteur comme Hollywood ressort la recette qu’en de trop rares occasions, les effets spéciaux et la surenchère étant devenue la règle majoritaire depuis plus d’un quart de siècle. Que ce soit la sobriété de Mark Wahlberg, pris dans l’engrangement du délit de sale gueule, la douceur souvent muette d’Ellen Burstyn, oscillant entre l’espoir et le désespoir d’une mère perdue entre faiblesse et déception, la composition complexe de Joaquin Phoenix l’ami de toujours, déchiré car paralysé devant un choix impossible car il ne veut renoncer, ni à l’argent, ni à la femme qu’il aime, ni à l’amitié, ni à la liberté et qui finira par tout perdre, Charlize Theron (mmm !) la cousine fragile, innocente sacrifiée découvrant la lâcheté coupable de l’homme qu’elle aime, demandant pardon à son ignoble beau-père, James Caan faux derche sans morale aucune, dont aucun meurtre, aussi proche soit-il, n’entame la résolution et enfin Faye Dunaway, sa femme, tante du héros malheureux qui assiste impuissante à l’agonie cardiaque et mentale de sa sœur et qui sent dans quelle tragédie s’est enfermée sa fille à l’insu de son plein gré. Le cinéaste avec une force descriptive évidente, réussit l’exploit de ne jamais se fourvoyer dans le lacrymal, tout en gardant des moments d’émotions très fort, comme lorsque sa tante tend la main à son neveu lors du deuil de sa fille. Tout est juste, tout serait parfait, mais la fin sembmle escamotée, la tragédie devait être plus complète à mon sens. Après « Little Odessa », James Gray a fait le deuxième film qu’il souhaitait et non l’habituelle déception alimentaire dans laquelle trop de ses collègues se sont fourvoyés (lire son interview dans LES INROCKS).
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