Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
26 critiques presse
Chronic'art.com
par Yann Gonzalez
Si cette accumulation d'épreuves pourra paraître excessive à certains, elle s'inscrit avec une sombre radicalité dans un désir de dramaturgie pure, débarrassée pour une fois de respirations consensuelles tout juste bonnes à altérer le cycle du malheur.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
Cinopsis.com
par Sylvie Jacquy
A l'heure des polars survitaminés, The Yards s'offre le luxe de la lenteur et d'un seul coup de feu comme pour se détacher des plaisirs associés aux films du genre.
La critique complète est disponible sur le site Cinopsis.com
Cplanet.com
par Jean-Luc Brunet et Olivier Pélisson
Une galerie de personnages et de performances (non ostentatoires) somptueuse. James Gray nous offre avec son second film d'une maîtrise assez incroyable, un très beau moment de cinéma noir. On en redemande.
La critique complète est disponible sur le site Cplanet.com
FHM
par Laurent Djian
Après l'âpre Little Odessa, James Gray revient avec un polar très haut de gamme, hommage aux plus grands Coppola.
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
(...) œuvre à la beauté secrète et à l´envoûtement lancinant (...)
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Le Point
par Olivier De Bruyn
Voir la critique sur www.lepoint.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Point
Positif
par Christian Viviani
La construction opératique de l'intrigue, l'influence picturale des cadrages et un extraordinaire casting (...) font de The Yards un des meilleurs films de l'année.
La critique complète est disponible sur le site Positif
Première
par Jean-Jacques Bernard
Dieu, que le noir est lumineux quand il est bien filmé !
La critique complète est disponible sur le site Première
Aden
par Philippe Piazzo
(...) James Gray se coule dans une forme ultraclassique de film noir, élégant, baigné d'ombres et de crimes feutrés pour mettre à jour ce qui l'intéresse le plus : la violence des rapports familiaux.
La critique complète est disponible sur le site Aden
Cahiers du Cinéma
par Clélia Cohen
Comme souvent a ici son importance, le déjà vu étant justement une donnée avec laquelle le film joue, qui enferme ses personnages archétypaux dans une mise en scène carcérale. Ce qui est sans issue pour eux résonne en nous comme une proposition de fidélité de la part de ce beau film familier.
La critique complète est disponible sur le site Cahiers du Cinéma
L'Express
par Jean-Pierre Dufreigne
Voir la critique sur www.lexpress.fr
La critique complète est disponible sur le site L'Express
L'Humanité
par Vincent Ostria
Un bel exercice de style, qui reste très en deçà du premier film mélancolique de James Gray.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Figaro
par Claude Baignères
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Figaro Magazine
par L.H.
La mise en scène est parfaitement maîtrisée, les interprétations sensibles laissent une large place à l'émotion : c'est du grand art.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro Magazine
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
James Gray peint un monde noir, pourri, sans échappatoire possible. James Caan se la joue façon Parrain. Mais la palme revient à Joaquin Phoenix, tout simplement sublime.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Parisien
par Pierre Vavasseur
(...) une oeuvre qui devrait rester comme l'un des meilleurs films noirs de ces trente dernières années. Il est précis, carré, coupant, costaud. Si c'était un costume, il serait d'une coupe très classique mais cette élégance n'a d'égale que son efficacité.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Echos
par Annie Coppermann
Présenté dans des tons sombres, ocres, bruns, qui, dit son auteur, nourri au cinéma européen (...) ce film était peut-être trop ambitieux pour être totalement réussi. A moins qu'il ne soit trop exigeant, et donc austère, pour nos habitudes avides d'un peu plus de spectaculaire...
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Libération
par Olivier Séguret
Avec cette capacité brillante qui lui fait affronter le pire en même temps qu'il l'effleure, c'est un modèle de mise en scène que Gray semble construire.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Magazine
par Jean-Pierre Lavoignat
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
par Jacques Morice
D'emblée, quelque chose nous dit que The Yards, grand oublié de Cannes, sera un film somptueux. L'un de ceux, plus rares qu'on ne le dit, capables de réconcilier les modernes et les anciens, les américanophiles et, mettons, les amateurs de Visconti.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Urbuz
par Jean-Philippe Tessé
Avec The Yards, James Gray entreprend avec brio une double quête des origines, interroge avec une profonde gravité le rapport à la famille (...), et redonne au cinéma américain ses lettres de noblesse qu'il avait, un temps, semblé perdre.
La critique complète est disponible sur le site Urbuz
Ciné Live
par Philippe Paumier
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
par Pascal Mérigeau
La construction même fait courir au film le risque de la dispersion et la confusion et, si la sérénité de la mise en scène accuse le flamboiement des passions, le film semble parfois manquer un peu de nerf.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
The Yards n'est certainement pas terrassant d'originalité et si James Gray n'est pas Scorsese ou Ferrara, il rejoue certaines gammes connues du cinéma américain avec suffisamment d'élégance et de doigté pour qu'on tende l'oreille.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Repérages
par Sébastien Ors & Julien Welter
On pourra trouver surfaite ou artificielle cette approche atypique d'un milieu qui n'est certes pas aussi romantique dans la réalité (...). Il reste que cette approche funéraire réussit l'exploit de filmer New York sous un jour étrange (...)
La critique complète est disponible sur le site Repérages
Fluctuat.net
par Anthony Dufraisse
(...) il n'y a aucune progression dans ce film esthétiquement abouti (...) mais vide. Ce vide tient sans doute à une symbolique surchargée. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, gagner en complexité n'est pas, loin de là, un gage de réussite.
La critique complète est disponible sur le site Fluctuat.net
Chronic'art.com
Si cette accumulation d'épreuves pourra paraître excessive à certains, elle s'inscrit avec une sombre radicalité dans un désir de dramaturgie pure, débarrassée pour une fois de respirations consensuelles tout juste bonnes à altérer le cycle du malheur.
Cinopsis.com
A l'heure des polars survitaminés, The Yards s'offre le luxe de la lenteur et d'un seul coup de feu comme pour se détacher des plaisirs associés aux films du genre.
Cplanet.com
Une galerie de personnages et de performances (non ostentatoires) somptueuse. James Gray nous offre avec son second film d'une maîtrise assez incroyable, un très beau moment de cinéma noir. On en redemande.
FHM
Après l'âpre Little Odessa, James Gray revient avec un polar très haut de gamme, hommage aux plus grands Coppola.
Le Monde
(...) œuvre à la beauté secrète et à l´envoûtement lancinant (...)
Le Point
Voir la critique sur www.lepoint.fr
Positif
La construction opératique de l'intrigue, l'influence picturale des cadrages et un extraordinaire casting (...) font de The Yards un des meilleurs films de l'année.
Première
Dieu, que le noir est lumineux quand il est bien filmé !
Aden
(...) James Gray se coule dans une forme ultraclassique de film noir, élégant, baigné d'ombres et de crimes feutrés pour mettre à jour ce qui l'intéresse le plus : la violence des rapports familiaux.
Cahiers du Cinéma
Comme souvent a ici son importance, le déjà vu étant justement une donnée avec laquelle le film joue, qui enferme ses personnages archétypaux dans une mise en scène carcérale. Ce qui est sans issue pour eux résonne en nous comme une proposition de fidélité de la part de ce beau film familier.
L'Express
Voir la critique sur www.lexpress.fr
L'Humanité
Un bel exercice de style, qui reste très en deçà du premier film mélancolique de James Gray.
Le Figaro
Voir la critique sur www.lefigaro.fr
Le Figaro Magazine
La mise en scène est parfaitement maîtrisée, les interprétations sensibles laissent une large place à l'émotion : c'est du grand art.
Le Journal du Dimanche
James Gray peint un monde noir, pourri, sans échappatoire possible. James Caan se la joue façon Parrain. Mais la palme revient à Joaquin Phoenix, tout simplement sublime.
Le Parisien
(...) une oeuvre qui devrait rester comme l'un des meilleurs films noirs de ces trente dernières années. Il est précis, carré, coupant, costaud. Si c'était un costume, il serait d'une coupe très classique mais cette élégance n'a d'égale que son efficacité.
Les Echos
Présenté dans des tons sombres, ocres, bruns, qui, dit son auteur, nourri au cinéma européen (...) ce film était peut-être trop ambitieux pour être totalement réussi. A moins qu'il ne soit trop exigeant, et donc austère, pour nos habitudes avides d'un peu plus de spectaculaire...
Libération
Avec cette capacité brillante qui lui fait affronter le pire en même temps qu'il l'effleure, c'est un modèle de mise en scène que Gray semble construire.
Studio Magazine
Voir la critique sur www.studiomag.com
Télérama
D'emblée, quelque chose nous dit que The Yards, grand oublié de Cannes, sera un film somptueux. L'un de ceux, plus rares qu'on ne le dit, capables de réconcilier les modernes et les anciens, les américanophiles et, mettons, les amateurs de Visconti.
Urbuz
Avec The Yards, James Gray entreprend avec brio une double quête des origines, interroge avec une profonde gravité le rapport à la famille (...), et redonne au cinéma américain ses lettres de noblesse qu'il avait, un temps, semblé perdre.
Ciné Live
Voir la critique sur www.cinelive.fr
L'Obs
La construction même fait courir au film le risque de la dispersion et la confusion et, si la sérénité de la mise en scène accuse le flamboiement des passions, le film semble parfois manquer un peu de nerf.
Les Inrockuptibles
The Yards n'est certainement pas terrassant d'originalité et si James Gray n'est pas Scorsese ou Ferrara, il rejoue certaines gammes connues du cinéma américain avec suffisamment d'élégance et de doigté pour qu'on tende l'oreille.
Repérages
On pourra trouver surfaite ou artificielle cette approche atypique d'un milieu qui n'est certes pas aussi romantique dans la réalité (...). Il reste que cette approche funéraire réussit l'exploit de filmer New York sous un jour étrange (...)
Fluctuat.net
(...) il n'y a aucune progression dans ce film esthétiquement abouti (...) mais vide. Ce vide tient sans doute à une symbolique surchargée. Aussi paradoxal que cela puisse paraître, gagner en complexité n'est pas, loin de là, un gage de réussite.