Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
9 critiques presse
L'Humanité
par Alexandra Chaignon
De Miramas à Grande-Synthe en passant par Versailles, Mouans-Sartoux, Chambéry et Barjac, ce film d'utilité publique montre comment les acteurs de terrain ont franchi les étapes pour mener à bien leurs projets.
La Croix
par Marine Lamoureux
C’est l’autre grande qualité du film de Guillaume Bodin – déjà réalisateur de « La clef des terroirs » et d’« Insecticide, mon amour » : axé sur l’exemplarité, mais aussi la conviction profonde des Français impliqués dans ces évolutions sociétales, le documentaire est inspirant. Il donne envie de se retrousser les manches, près de chez soi.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Jacky Durand
Entre road-movie et état des lieux, ce film donne à voir des femmes et des hommes pour qui cantines biologiques et arrêt des pesticides dans les communes s’inscrivent dans une réflexion et une stratégie globale sur l’avenir de notre boire et de notre manger, de l’agriculture et l’environnement.
Le Figaro
par La Rédaction
Sous-titré «Des cantines bio et des villes sans pesticides», ce film s'appuie sur les témoignages de citoyens et d'élus qui œuvrent en faveur de la préservation de la nature. Militant, informé, il intéressera d'abord les écologistes dans l'âme.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Studio Ciné Live
par Véronique Trouillet
Ce documentaire instructif (...) paraît décalé par rapport à la réalité.
Télérama
par Jérémie Couston
« Nourrir, c’est aimer », affirme le maire communiste de Barjac, Edouard Chaulet, déjà héros du film de Jean-Paul Jaud, à propos de sa cantine pionnière dans le bio, avant d’appeler ses pairs à être « insoumis à l’austérité ». On ne peut qu’approuver une parole si sage et un film si judicieux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un documentaire à voix unique auquel manque une vraie distance objective.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
S’il est difficilement tenable de ne pas un tant soit peu adhérer au sujet traité, ce documentaire, par sa platitude et son refus de l’inconnu, ne déploie jamais, ce qui est rédhibitoire, une pensée de cinéma.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Première
par Sophie Benamon
Sur la forme, hélas, le documentaire juxtapose les témoignages de manière très austère.
La critique complète est disponible sur le site Première
L'Humanité
De Miramas à Grande-Synthe en passant par Versailles, Mouans-Sartoux, Chambéry et Barjac, ce film d'utilité publique montre comment les acteurs de terrain ont franchi les étapes pour mener à bien leurs projets.
La Croix
C’est l’autre grande qualité du film de Guillaume Bodin – déjà réalisateur de « La clef des terroirs » et d’« Insecticide, mon amour » : axé sur l’exemplarité, mais aussi la conviction profonde des Français impliqués dans ces évolutions sociétales, le documentaire est inspirant. Il donne envie de se retrousser les manches, près de chez soi.
Libération
Entre road-movie et état des lieux, ce film donne à voir des femmes et des hommes pour qui cantines biologiques et arrêt des pesticides dans les communes s’inscrivent dans une réflexion et une stratégie globale sur l’avenir de notre boire et de notre manger, de l’agriculture et l’environnement.
Le Figaro
Sous-titré «Des cantines bio et des villes sans pesticides», ce film s'appuie sur les témoignages de citoyens et d'élus qui œuvrent en faveur de la préservation de la nature. Militant, informé, il intéressera d'abord les écologistes dans l'âme.
Studio Ciné Live
Ce documentaire instructif (...) paraît décalé par rapport à la réalité.
Télérama
« Nourrir, c’est aimer », affirme le maire communiste de Barjac, Edouard Chaulet, déjà héros du film de Jean-Paul Jaud, à propos de sa cantine pionnière dans le bio, avant d’appeler ses pairs à être « insoumis à l’austérité ». On ne peut qu’approuver une parole si sage et un film si judicieux.
L'Obs
Un documentaire à voix unique auquel manque une vraie distance objective.
Les Fiches du Cinéma
S’il est difficilement tenable de ne pas un tant soit peu adhérer au sujet traité, ce documentaire, par sa platitude et son refus de l’inconnu, ne déploie jamais, ce qui est rédhibitoire, une pensée de cinéma.
Première
Sur la forme, hélas, le documentaire juxtapose les témoignages de manière très austère.