Pentagon Papers
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Cinéphilion
Cinéphilion

65 abonnés 201 critiques Suivre son activité

4,0
Publiée le 13 février 2018
Un casting éclatant, un fait historique engagé et un réalisateur plus que reconnu, sur le papier glacé, « Pentagon Papers » fait la Une parmi les favoris aux Oscars. Un biopic journalistique politiquement enrichissant à prendre cependant avec quelques pincettes.
Sur un fait historique réel, ce nouveau film de Steven Spielberg relate un des plus gros scandales publicistes du pays au début des années 1970. Assez frontal, l’oeuvre s’accorde assidûment à une crise d’actualité, notamment dû à ce dogme verrouillé souvent qualifié de « système ».
Dans un contexte concurrentiel hargneux, le New York Times devance chaque jour le Washington Post à coup de scoops et d’exclusivités. La motivation de départ de ce quotidien dans le mal résulte d’abord d’une nécessité commerciale. En avant les enquêtes, à toute heure, de jour comme de nuit, la recherche de la rentabilité absolue menée par Tom Hanks atteint rapidement ses limites en termes de perversité et d’humanité.
La propriétaire du journal, magistralement interprétée par Meryl Streep, poursuit la dénonciation de cette organisation cadenassée liant politiciens, éditorialistes et autres représentants. Complicités et trahisons, au stade de Kay Graham, les rapports humains dépassent toute la veine mercantile au profit d’une confusion d’intérêts réciproques.
A peine commencé, le métrage s’introduit dans une composition de scènes d’affrontement sur la guerre du Vietnam. Quelques échanges diplomatiques suivent et l’histoire du Washington Post se lance. Cette rétrospective en coup de vent laisse des bribes sur l’affaire, le dossier faisant des milliers de pages dans le désordre, la thèse s’opacifiant. Contrairement à « Spotlight » ou « La Couleur des Sentiments », l’acheminement de la publication finit par se concentrer sur le dur travail des journalistes plutôt que sur l’analyse de fond, en dépit de l’association des deux.
Cette non-connaissance du spectateur offre du crédit à des chroniqueurs qui scandent à tout va « Publier » et « Liberté de la presse », propos qui traduisent leur intention de départ : Faire du profit.
Dans la mise en forme, les plans séquences frôlent l’art cinématographique grâce à une harmonisation du son, de l’image et de l’acting. C’est ainsi qu’une impression non-conventionnelle de suspicions constantes chapeaute l’ensemble et nous permet de pénétrer le jeu journalistique.
Garder de telles informations pour soit, la question légitime se pose. Illégal de publier de tels renseignements, mais immoral de le garder pour soit, le combat entre le secret d’Etat et la liberté de la presse tiraille la propriétaire, qui risque tout, quitte à perdre son journal. Les embûches, l’aspect concurrentiel et les dangers judiciaires imposent une instabilité douteuse jusqu’à la dernière seconde de la décision finale.
Là où l’intérêt historique prend une place considérable, c’est dans la reconstitution bluffante des faits. « Pentagon Papers » rappelle ces films travaillés des années 80 et 90, Meryl Streep est pratiquement méconnaissable dans un jeu de rôle physiquement schizophrène, sans compter les archives téléphoniques véritables du président Nixon répartient selon les événements.
Bilan : Commerce, journalisme, politique, secrets d’état… « Pentagon Papers » est un film brillant mais dont la confusion mérite une attention particulière dans ses distinctions.
Vos films d'hier, d'aujourd'hui et de demain sur Cinephilion.net !
Nann O
Nann O

2 abonnés 8 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 25 janvier 2018
Qu'est-ce que c'est que ces critiques enthousiastes de la part de la presse ? Serait-ce parce que ce film traite de la presse ? Comme si cette profession hyper puissante se renvoyait la balle à l'infini. Le film tient ses promesses de gros gentil bon film téléphoné américain dans le sens benet du terme. Tout est prévisible à l'exception heureuse du jeu de Tom hanks, remarquable, quasi méconnaissable, parfait en fait, comme d'hab et plus encore. Le sénario est inexistant, mais vraiment, les caractères des personnages aussi, tout est convenu et digne d'un téléfilm d'M6 ou W9. Que reste-t-il ? Les décors, l'image, la bonne surprise de retrouver mon Josh Limann de West Wing, vieilli et grimé mais toujours avec ce regard brillant d'intelligence et ce dos un peu de travers, seul personnage secondaire à sortir de l'ombre. Meryl Streep est au minimum de ses possibilités et au maximum de celles que lui donne le rôle. Au total un film à peine pour la télé le dimanche soir qu'on quitte sans regret pour aller se coucher, sans avoir non plus de colère contre le temps perdu. On écrase quand même une larme en pensant au film Les hommes du président, que d'ailleurs le film a la lourdeur d'évoquer à la fin, comme si on été trop endormis pour ne pas y avoir pensé dès le début et tout le long du film. Cela dit 15 euros la place à Paris ça ne les vaut pas.
elbandito
elbandito

362 abonnés 970 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 3 mars 2018
Deux acteurs gigantesques, Meryl Streep et Tom Hanks, qui n’ont plus rien à prouver de leur talent, se donnent la réplique sous la direction de Steven Spielberg pour un sujet brûlant, et basé sur une histoire vraie. Un programme pour le moins alléchant, mais un film néanmoins en demi-teinte. Tout commence par ce titre qui sonne faux. Renommer maladroitement pour la France "The Post" par "Pentagon Papers" dévie le spectateur du sujet réel du film. Car le scandale de ces rapports militaires détournés et dévoilés par un journaliste à l’aube des années soixante-dix, n’est pas le sujet du film, mais seulement la toile de fond. Nous n’apprenons rien de bien neuf sur cette polémique quant à l’inutilité de prolonger une guerre perdue d’avance alors que les gouvernements précédents le savaient déjà. Alors, le film conducteur de "The Post" est bel et bien la place des femmes dans une société dominée par les hommes, à une époque où elles étaient cantonnées à des tâches secondaires. Le personnage de Meryl Streep a hérité de ce journal et entend bien dévoiler l’information en toute liberté. Il lui faudra du temps dans l’ombre avant d’imposer en quelques mots sa décision à tous ces dirigeants apeurés, menacés par la plus haute autorité de l’Etat. Tom Hanks, lui, jubile tranquillement sans faire forcer son talent, dans le rôle d’un directeur de rédaction, ami des Kennedy, qui incite Meryl Streep à publier ce qui fût à l’époque un secret d’état. Bref, le film manque d’ampleur, malgré les deux stars, les rares images de synthèse sont bâclées, car ce n’est pas ce qui intéressé Spielberg ici. Au final, le film se suit avec intérêt mais aurait mérité une mise en route plus dynamique.
gimliamideselfes
gimliamideselfes

3 161 abonnés 3 979 critiques Suivre son activité

3,5
Publiée le 28 janvier 2018
Il y a deux aspects à Pentagon Papers, le premier c'est ce côté virtuose, où Spielberg arrive réellement à mettre en scène l’ébullition au sein de la salle de rédaction, parce que contrairement à Spotlight et ses champ contre champ d'une pauvreté abyssale, ici la caméra bouge avec les personnages, on les suit se mouvoir, cogiter, ce qui donne réellement l'impression d'y être. Les travellings sont moins stoïques que dans les Hommes du président et on sent (un peu) le chaos qui doit régner dans ce genre d'endroit. On a même droit à quelques travelling avant d'une rapidité folle qui viennent encore rajouter à l'urgence de la situation un côté un peu inquiétant, on n'est presque pas très loin d'Evil Dead...

Malheureusement il y a aussi les écueils propres à Spielberg et là ça va rejoindre l'autre aspect du film, c'est qu'il ne sait pas être sobre. Lorsqu'une femme annonce au téléphone ce qu'a statué la Cour de Justice sur l'affaire en cours on a droit à un travelling avant qui parcours la salle jusqu'à qu'elle soit en gros plan, avec de la musique derrière, comme si, tout à coup, Spielberg se jouissait dessus d'être aussi pompier.

Et donc ça rejoint l'autre aspect du film qui est le message qui est convenu au possible sur la liberté de la presse. D'ailleurs j'ai envie de citer l'article de Médiapart qui disait « Spielberg a toujours eu ou affiché avoir le cœur à gauche. Il a toujours été du bon côté, en dépit de sa réussite précoce et proprement phénoménale. » Et c'est étouffant. Parce que oui c'est manichéen, Nixon c'est un vilain pas beau, surtout que le film se conclut sous l'ombre planante du Watergate. Franchement, aujourd'hui, revenir là-dessus, pour dire que la guerre du Vietnam ce n'est pas bien, que Nixon il est vilain, c'est un peu grossier et surtout inutile. C'est enfoncer des portes ouvertes. Il y avait moyen d'être un tantinet plus subtil, histoire d'être un tout petit peu plus pertinent dans le discours. En fait c'est un peu comme Lincoln, l'idée est bonne, mais c'est gâché par la dose de bons sentiments « de gauche » qui viennent finalement rompre avec la réalité. Parce que oui, certes c'est du cinéma, présenter tout ça sous un jour aussi gentillet ça donne juste envie de se méfier.

Mais, effectivement il y a des parallèles à faire avec l'actualité, que ça soit le côté lanceur d'alerte où on va donc forcément penser à Snowden, où l'aspect plus Howard Hawks avec la femme dans un milieu d'hommes qui va tenter de faire imposer sa décision. Sauf que ce n'est pas du Howard Hawks, tout comme Lincoln n'était pas du John Ford. Ici Meryl Streep, qui tourne dans son premier bon film depuis Adaptation., est faible, c'est une héritière, elle est là à ruminer le fait de ne pas être assez forte pour assumer cet héritage, on la voit préparer une réunion où finalement elle n'arrive pas à prendre la parole... avant bien entendu à la fin du film de s'imposer et de prendre la « bonne décision » parce que c'est dans l'âme du journal, blablabla. Mais la première fois qu'elle prend la décision de publier les Pentagon Papers ça semble limite être un tir à pile ou face, aucune conviction, comme si elle voulait juste essayer, pour voir, au hasard... Donc elle n'est pas une femme forte, les hommes obéissent juste parce que c'est elle qui est au-dessus et qui doit signer les chèques à la fin du mois, c'est donc assez gênant à voir... parce qu'elle est inutile et il n'y a pas réellement d'accomplissement, c'est juste qu'elle n'a pas de personnalité et qu'elle récite juste un mantra sur la liberté de la presse...

Tom Hanks est pour la première fois de sa vie (avec Arrête-moi si tu peux) pas totalement insupportable, c'est à noter.

Bref, le film est bien mis en scène, même si ça frôle avec l'art pompier par moments (et avec grandiloquence), mais c'est un peu gentillet. Quitte à risquer à ce que notre vie soit atroce, on risquerait presque à l'aimer... un temps du moins.
TTNOUGAT
TTNOUGAT

621 abonnés 2 530 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 13 février 2018
Avec Spielberg, on peut aller voir un de ses films les yeux fermés au sens symbolique de cette expression : la mise en scène sera toujours belle, claire et spectaculaire. Dans ‘’Pentagone papers’’ il faut attendre un peu pour s’éclater mais la récompense est au bout, c’est bien ‘’la guerre des étoiles’’ que l’on retrouve. Le duo Streep/Hanks fonctionne à la perfection. La première se fondant mieux que jamais dans son personnage qui à aucun moment ne se départit de sa simplicité, le second de plus en plus présent en prenant de l’âge. C’est un régal de les voir jouer ensemble. Ce film apprend beaucoup sur les américains à ceux qui ne les connaissent pas et c’est un grand mérite. A ce titre c’est presque un documentaire. Inversement cet aspect pèse beaucoup durant plus de la moitié du film ce qui ennuie un peu les spectateurs qui connaissent et décroche l’attention que ceux que cela n’intéresse pas.
Nyns
Nyns

227 abonnés 749 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 31 janvier 2018
Il y avait quand même de grandes chances pour que ça ressemble à ça. Très statique et académique comme je craignais avec ce type de sujet (même style que Spotlight), on a des personnages et une intrigue linéaires qui nous entrainent dans un des scandales d'État de l'après guerre. Cette période qui pour certains en a déclenchée d'autre (de guerre), et pour les États-Unis on parle bien évidemment de la très controversée guerre du Vietnam. Spielberg conserve Tom Hanks pour retracer un fait divers important de cette période après le Pont des Espions qui grâce au cadre et à l'originalité du sujet était plus prenant (de mon point de vue, pas de la presse par exemple donc...). Bon on a Meryl Streep qui minimise ainsi qu'un semblant de féminisme mais c'est juste suffisant. L'ensemble des profils est trop rigide, celà ne joue pas en la faveur de Pentagon Papers qui se sert plutôt de l'ambiance musicale et des plans pour donner du relief. Spielberg quoi. Sans surprise, on finit par mordre à l'hameçon et aborde le final avec bienveillance. L'histoire, elle, mérite d'être remise sur le tapis car elle fait écho à de grands débats de société actuelle et rend un éloge à la liberté de la presse.
Christophe M
Christophe M

9 abonnés 328 critiques Suivre son activité

0,5
Publiée le 29 juillet 2018
un film long et ennuyeux. Au bout de 15 minutes les paupieres sont lourdes.
Beaucoup de bla bla pour rien. Spielberg est passé à coté de son sujet. Meme les acteurs semblent s'ennuyaient. On se perd dans les méandres des interminables face à face. Je n'ai retiré aucun plaisir de ce film pour moi totalement nul
Dik ap Prale
Dik ap Prale

234 abonnés 2 911 critiques Suivre son activité

4,5
Publiée le 30 janvier 2018
Un cinéma démocratique et divertissent dans tout son cheminement. Sans doute pas le meilleur de Spielberg mais fasse aux nombreux sujets similaires qui dénoncent la politique et les couverts de l'État Américain, Spielberg ouvre la brèche à d'autres sujets tout aussi épineux et sans fausse note.
lhomme-grenouille
lhomme-grenouille

3 406 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

3,0
Publiée le 2 février 2018
Bon bah… C’est du Spielberg. Dire cela c’est effectivement tout et rien dire à la fois tant la carrière de l’ami Steven est longue et très hétéroclite. Il peut y avoir du « Duel » comme du « Terminal », de « La liste de Schindler » comme du « Lincoln », de « l’Indiana Jones » comme de la « Guerre des mondes »… C’est souvent virtuose et habilement humain. Mais il n’est pas rare non plus que ce soit moralisateur et hagiographique au point de devenir indigeste. Or, là, avec ce « Pentagon Papers », pour moi, on navigue clairement dans une sorte d’entre deux. Oui, il y a quand même dans ce film une véritable maitrise du cadre et de la suggestion visuelle, ce qui lui permet de mettre un certain élan et une certaine énergie dans ce théâtre pourtant très figé. Oui aussi, il y a également une capacité du maître à exposer et à mettre en valeur des points intéressants du sujet qu’il traite. Oui enfin, il y a tout de même un casting 5 étoiles qui est là pour servir cette entreprise et qui impacte clairement l’œuvre dans le bon sens. Alors du coup, oui effectivement, « Pentagon Papers » en devient un spectacle regardable et appréciable. Difficile de cracher là-dessus. Mais bon… Au bout du compte, que nous a-t-on servi malgré tout ? On a un film qui est un tunnel continu de bla-bla. Les scènes ne sont pas là pour donner de la chair aux personnages mais pour leur donner du sens. Chacun est là au service des idées que Spielberg entend diffuser. Ils sont tous des faire-valoir scénaristiques au service d’une grande pièce à laquelle Spielberg veut donner des allures solennelles. Et le problème, c’est qu’avec Spielberg, tout ce qui est solennel devient toujours plus ou moins biblique. Il y aura des Justes qui porteront la bonne parole et des oiseaux de mauvaise augure qui seront là pour égarer le troupeau. Les Justes seront justes en tout, tandis que les corbeaux seront noirs du bec jusqu’au bout des plumes. A la fin les Bons seront récompensés, vénérés et adorés tandis que les Mauvais seront oubliés dans les détails de l’Histoire. Ainsi Nixon est-il une silhouette menaçante, de dos, sur fond d’ « Imperial March » (on est presque à deux doigts de Docteur Mad dans « Inspecteur Gadget »), tandis que la noble Kay sortira de la Cour suprême telle une figure matriarcale à la Golda Meir, observée et adulée par toutes ces femmes qui la perçoivent comme un modèle à reproduire pour mener à bien l’émancipation du sexe faible. Ce n’est pas forcément le message qui me dérange, mais plutôt la manière de l’asséner. C’est très sentencieux par le propos, mais ça l’est aussi totalement par la forme. Tous ces gens étant fortement respectables – et puisqu’on nous livre un grand moment d’Histoire qu’on entend sacraliser – « Pentagon Papers » s’embourbe du coup dans une vision lisse des gens, des choses et des périodes. On m’a d’ailleurs fait lire sur DVDClassik une remarque que j’ai trouvée très juste. C’est Demi-lune qui disait que la reconstitution que faisait Spielberg de tout cet univers n’en faisait pas « un lieu de vie pour les personnages, mais une espèce de musée cinématographique où sont javellisés les souvenirs des Hommes du Président, ombre tutélaire trop forte. » J’avoue qu’au fond, ça résume là très bien mon ressenti. Et même si ça ne me fera pas renier le relatif plaisir que j’ai pris face à ce film, cela traduit malgré tout bien les frustrations et les limites que ce « Pentagon Papers » m’a laissé. Bon alors après, ce n’est que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
saurar
saurar

13 abonnés 123 critiques Suivre son activité

1,5
Publiée le 29 janvier 2018
J’ai été très déçu par ce film malgré deux très bons acteurs et un grand réalisateur. Ce film ne démarre pas, pas d’émotion ou de suspense : du bavardage et « un tracé plat ». Le film paraît très long parce que on s’y ennuie.
Sylvain P
Sylvain P

348 abonnés 1 371 critiques Suivre son activité

2,5
Publiée le 26 janvier 2018
A l'heure de la multiplication des fake news, Spielberg signe un film que tous les complotistes et autres électeurs des populistes devraient regarder (et comprendre). La presse libre est la seule garantie des citoyens pour comprendre le monde. Le film reste un peu trop didactique et renfermé sur lui-même mais son message est essentiel.
anonyme
Un visiteur
2,0
Publiée le 30 janvier 2018
J'ai passé un très très long long long long long long moment au cinéma en fait j'ai même eu l'impression d'y passer une journée entière en regardant ce film ! Plutôt que de vouloir parler de son sujet on a plutôt affaire à l'histoire des femmes dans les années 50 et comment elle était perçu au milieu des hommes c'est vilain macho... On est dans du balancetonporc à 100 % ... Mais si on compile les 5 premières minutes avec les 10 dernières minutes finalement on a presque la totalité du scénario. Alors là encore je note à l'inverse de tout le monde... Je suppose que la plupart des gens ont noté la performance d'actrice de Meryl Streep ? ... Mais ça n'empêche pas que le film est-ce qu'il est c'est-à-dire une tromperie sur la marchandise et vraiment très très long pour pas grand-chose. Comme quoi les goûts et les couleurs...
Pierre Andre E
Pierre Andre E

15 abonnés 108 critiques Suivre son activité

1,0
Publiée le 31 janvier 2018
On se rends compte de suite qu'on a affaire à un film qui se la raconte : acteurs qui surjouent ou qui parlent en même temps, très poseurs, au dépends d'une intrigue qui tourne à creux et dont on finit par se foutre complètement ( ce qui est abérant vu le sujet ! ). La palme revenant à Meryl Streep qui joue une mémère dépassée par les évènements et qui n'est pas crédible pour deux sous.
Doude O.
Doude O.

21 abonnés 10 critiques Suivre son activité

2,0
Publiée le 29 janvier 2018
Le film n'est pas du tout un navet mais il m'a exaspéré par cette propension à toujours vouloir placer du suspense alors qu'il n'y en a pas besoin. Quelle décision la directrice du journal va prendre ? Est-ce que le Washington va rentrer en bourse ? Est-ce que les journaux vont être publiés à temps ? Est-ce que la cour suprême va aller dans le sens du journal ? Et j'en passe, et j'en passe. Et tout bien sûr avec un compte à rebours.

Cela devient barbant, surtout qu'on connait les réponses à la fin. Et ce n'est vraiment pas la peine !

Et puis ces grandes phrases sur la liberté de la presse, et ce patriotisme americain tout azimut... Grrrr. La fin m'a dérangé, alors que tout le reste du film est pas mal.

Dans le style enquête sur fond de défense des droits de la presse, j'avais largement préféré spotlight.
anonyme
Un visiteur
3,0
Publiée le 28 janvier 2018
Je me suis quand même pas mal ennuyé.....histoire americano-americaine.....meryl streep agacante avec son rôle en retenue sur une personnalité vide....tom hanks est bon....2 heures ou tout y passe...liberté de la presse americaine...place de la femme....bref des causes qui ne m ont pas touchées......2h c est tres long..pour ca...avec pour seul interet de savoir si on publie ou pas.....j avais hate que ca se finisse
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