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    La Révolution silencieuse
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    lionelb30
    lionelb30

    446 abonnés 2 606 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Film qui touchera certainement plus les allemands car c'est une partie de leur histoire. Et comment la vie peut basculer a partir d'une broutille et la machine politique et ideologique peut s'emballer. Touchant car inspire d'une histoire vraie , mise en scene un peu theatrale mais l'ensemble reste interressant historiquement.
    domit64
    domit64

    50 abonnés 276 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Allemagne de l’Est 1956, des lycéens décident de faire une minute de silence en classe en hommage à leur idole (un joueur de foot) qui serait mort lors des événements de Budapest.
    De cet acte anodin débute une chasse aux « meneurs », en découle les non-dits, les secrets familiaux et les mensonges d’état.
    Un film rare, à voir absolument.
    (Le cercle des poètes disparus en RDA selon ma fille !)
    L'assurance e.
    L'assurance e.

    3 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Tres beau Moment grace a un film, rare, puissant, touchant. J'ai eu beaucoup de mal a quiiter Berlin, même quelques heures après...
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 10 mai 2018
    Très beau film historique mettant en scène la violence d'une guerre d'idéologie pour les habitants de L'Allemagne de l'Est.
    Justin Gauchy
    Justin Gauchy

    25 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 9 mai 2018
    La révolution silencieuse nous dépend sans exagération ni pathos la réalité de la jeunesse allemande sous le joug du communisme, poignant et inusuel, probablement l'un des meilleur films de 2018 jusqu'à présent.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Nous rentrons de Berlin et découvrons ce film allemand qui retrace merveilleusement bien ce climat de peur et d'angoisse d'après la seconde guerre mondiale mais en plein guerre froide. D'un côté, les communistes qui luttent contre le fascisme et l'impérialisme et cette fuite des cerveaux (2,5 millions d' Allemands ont fui la RDA pour la RFA avant 1961) qui conduira la RDA a érigé ce mur pour stopper l' hémorragie. Un film magnifique à voir et surtout à partager avec la jeune génération.
    coraly
    coraly

    13 abonnés 85 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2018
    En 1956, alors que les stigmates du nazisme et de la guerre sont encore bien présents, des lycéens d'Allemagne de l'Est défient le pouvoir de la RDA sans en mesurer les conséquences... Passionnant et très bien interprété, la Révolution Silencieuse réserve également quelques moments de grande émotion spoiler: (la poignée de main entre Kurt et son père, le "Tchuss" désinvolte de Theo au moment de quitter sa famille)
    .
    A l'échelle d'une classe et des protaganistes qui représentent le pouvoir, se joue ici la mécanique d'un système totalitaire face à un peuple que l'on veut maintenir dans la servitude et l'ignorance, et dont le seul moyen pour résister est de rester uni.
    Clémence D.
    Clémence D.

    2 abonnés 1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 8 mai 2018
    J’ai beaucoup apprécié ce film, très bon casting. Le scénario est très bon et on peine à croire qu’il s’agit d’une histoire vraie, je recommande vivement pour en apprendre plus sur cette époque sombre de l’histoire.
    Chris58640
    Chris58640

    216 abonnés 761 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 mai 2018
    Le film de Lars Kraume sort dans les salles dans… un silence assourdissant ! Comme pour faire écho à son titre et à son sujet, personne ne parle de lui ou presque. Et pourtant, il mérite bien qu’on prenne deux heures pour aller voir en face ce qu’est le vrai courage, pas le courage des super héros masqués, ou des vociférateurs politiques, mais le courage silencieux de gamins de 18 ans piégés dans un pays qui se dirige tout droit vers une prison idéologique à ciel ouvert. Lars Kraume livre un film techniquement très conventionnel, la trame scénaristique est classique (découverte, action, conséquences), la photographie fait très « Berlin-Est » et j’imagine que c’est voulu, la musique est présente mais sans grand intérêt, d’’ailleurs on la remarque à peine. En fait, Kraume prend le parti d’un film sobre, presque austère comme les allemands savent le faire quand ils savent que le sujet qu’ils traitent est important. Pas d’esbroufe et un suspens maîtrisé, on peut juste discuter de sa scène finale, qui ressemble terriblement à une scène culte d’un film américain mondialement connu. On peut y voir une inspiration ou un hommage si on est optimiste, une resucée un peu vaine si on est pessimiste. Mais hormis ce petit bémol qui n’en est pas vraiment un, il n’y a pas grand-chose à redire au travail de Lars Kraume. Le casting est impeccable, qu’ils s’agissent des adolescents comme Léo Schreicher ou Tom Gramenz (avec une petite mention pour Jonas Dassler qui a un peut-être un tout petit peu plus difficile et intense comparé aux autres, et qui s’en sort comme un chef) ou des adultes. Max Hopp en père autoritaire et ultra politisé, Ronald Zehfeld en ouvrier sidérurgiste piégé par sa condition, ou encore Florian Lukas en proviseur dépassé par les évènements, tous sont excellents. Peu de femmes au casting, les rôles féminins sont peu nombreux et les personnages féminins sont soient des mères de familles silencieuses et soumises, soit des sbires du système soviétique, presque totalement asexuées. Ce déséquilibre est un peu gênant, mais on peut imaginer que c’est aussi cela, le contexte historique de 1956. C’est le scénario et sa subtilité qui font de « la Révolution Silencieuse » un très bon film, intelligent et au message fort. Même si on peu regretter quelques défauts (comme un triangle amoureux un peu inutile) ou trouver que le film tire un peu en longueur sur la fin, on est forcé d’assister à la démonstration parfaite de la perversité d’un système dictatorial sur les individus qu’il opprime. Le contexte, c’est Berlin-Est en 1956 mais ça pourrait se transposer dans l’Allemagne nazie, dans une dictature sud-américaine, dans la Chine de Mao ou l’Espagne de Franco, le film aurait la même puissance car les dictatures se ressemblent toutes dans leur méthodes pour opprimer, pour combattre le libre-arbitre, pour faire régner l’ordre idéologique par la terreur, par la manipulation et la menace. Ici, des gamins pas plus politisés que cela dans l’ensemble se sentent touchés par le sort d’un autre peuple, et comme ça fait écho à leur propre condition, il décident de marquer deux minutes de silence. Cela aurait du n’être qu’un micro évènement mais la machine va s’emballer, le système scolaire est-allemand comprend que sa jeunesse peut lui échapper, à cause des radios ouest-allemande et de leur « propagande », elles décident de faire de cette histoire un exemple. Menaces directes, manipulation, menaces sur les familles, les interrogatoires qui se succèdent n’auraient rien à envier à la défunte gestapo, et d’ailleurs c’est ce que fait remarquer en douce un des élèves. Dans une Allemagne mal dénazifiée, faire régner la terreur de cette façon est une tentation à laquelle le régime soviétique aurait eu tort de ne pas céder ! Jusqu’au dénouement, la solidarité du petit groupe est mise à rude épreuve et la tentation de dénoncer son copain pour sauver sa propre condition et celle de sa famille est évidemment une bouée de sauvetage à laquelle il faut beaucoup de courage pour renoncer. C’est ce courage silencieux qui est le vraie message du film, le courage, c’est parfois de se taire et de ne rien faire de ce que le « système » attend de toi. A une époque où les vociférations et la tentation de la violence sont à la mode dans les pays occidentaux, il serait peut-être de bon ton de s’accorder 2 heures pour aller voir à quoi ressemble le vrai courage, la vraie résistance au système. Le film a un autre intérêt, c’est qu’il aborde les relations père-fils de plusieurs façons. Dans un pays comme l’Allemagne en 1956, les relations père-fils sont forcément ultra compliquées, vu ce qu’à eu à affronter la génération précédente. Ici, l’amour paternel est mis à rude épreuve, que le père soit ultra politisé, que le père soit mort, que le père soit résigné au sort que la vie lui réserve. Il y a quelque chose de très fort dans ces scènes père-fils, et qui prend aux tripes même par moment. Malgré ces quelques petits défauts, « La Révolution du Silence » est un très bon plan cinéma, pour ceux qui en ont marre de voir des scénarii creux et formatés et des héros de pacotille qui gesticulent sur des fonds verts.
    poet75
    poet75

    276 abonnés 703 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2018
    Les films venus d’Allemagne ne sont pas légion sur nos écrans et, bien souvent, quand il en paraît un, il s’agit d’un film basé sur des faits réels survenus au cours du passé trouble et compliqué de ce pays et, en particulier, de celui de l’ex-RDA. C’est le cas, à nouveau, avec cette œuvre de Lars Kraume dont l’action se situe dans le Berlin-Est de 1956. Le Mur n’ayant pas encore été construit, il est encore relativement facile (quoique toujours risqué, car les contrôles sont automatiques) de passer du secteur est au secteur ouest de la ville. C’est ce que font, régulièrement, Kurt et Leo, deux lycéens qui, prétextant une visite au cimetière où est enterré le grand-père de l’un d’eux, vont voir au cinéma des films interdits de diffusion du côté de Berlin-Est.
    C’est au cours d’une de ces escapades qu’ils découvrent à l’écran des images de l’insurrection de Budapest et de la répression soviétique. De retour dans leur lycée, ils persuadent sans trop de peine leurs camarades de classe d’observer une minute de silence en hommage aux victimes de Budapest au début du cours d’histoire. Votée à la majorité des voix, cette décision est adoptée et mise à exécution, au grand désarroi du professeur. Cela aurait pu en rester là, mais non, dans un pays tel que l’ex-RDA, la rébellion silencieuse des élèves entraîne de terribles conséquences. L’affaire ne parvient pas seulement aux oreilles du directeur, mais met en branle une enquête des plus répressives et des plus insidieuses afin de repérer les meneurs et de les sanctionner. Cela prend de telles proportions que le ministre de l’éducation nationale en personne se croit tenu d’intervenir.
    En s’inspirant de ces faits aux lourdes répercussions, Lars Kraume a réalisé un film de facture très classique, presque académique. Néanmoins, malgré son allure très conventionnelle, l’histoire passionne, ne serait-ce qu’à cause des nombreux dilemmes et enjeux qui y interviennent. Pour plusieurs des lycéens de cette époque et de ce lieu, c’est le rapport au père qui se révèle extrêmement complexe, l’Allemagne sortant à peine d’une guerre à laquelle ont participé de nombreux hommes. Les enfants savent-ils vraiment ce qu’ont fait leurs pères pendant les années de guerre ? La grande question qui traverse tout le film, c’est celle de la vérité et du mensonge. Non seulement parce que les pères ont peut-être menti à propos d’eux-mêmes, mais parce que les lycéens eux aussi, harcelés par les enquêteurs qui veulent savoir les noms des meneurs de la minute de silence, se trouvent confrontés au choix de la vérité et du mensonge. À plusieurs reprises, au cours du film, il suffirait peut-être de mentir pour que cessent les poursuites à l’encontre des élèves. Placés devant ce dilemme, quels choix font-ils ? Jusqu’où sont-ils capables d’aller au nom de la vérité ? spoiler: Parmi eux se trouvent deux sœurs dont l’une porte une croix autour du cou. À l’enquêtrice qui la questionne à ce sujet tout en essayant de ridiculiser la foi chrétienne et qui lui demande si elle croit en Dieu, elle ne craint pas de répondre par l’affirmative. Car, en fin de compte, quoi qu’on fasse, c’est toujours la vérité qui a le dernier mot !
    orlandolove
    orlandolove

    137 abonnés 1 722 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2018
    Académique sur le fond (mise en scène, musique) mais l'émotion fonctionne à plein grâce à un scénario solidement charpenté et à des personnages bien construits.
    tupper
    tupper

    135 abonnés 1 387 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 mai 2018
    Le film rend parfaitement la progression dramatique de cette histoire. Au point que pendant presque 1h on a du mal à saisir le véritable enjeu tant les faits semblent anodins. Et pourtant cela vaut le coup de tenir car la tension qui s’installe ensuite nous révèle le véritable climat de ce lieu et de ce temps. On est entraîné aux côtés de cette classe dans une situation qui les dépasse. Leur défiance au départ futile se muant en une lutte noble et solidaire pour la justice et la liberté qui suscite l’attachement et l’émotion.
    fcaponord
    fcaponord

    13 abonnés 92 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mai 2018
    voilà un film très émouvant qui découvre une bande d'élève idéaliste en quête d'identité, sur un fond de guerre froide, ses partis pris... par une troupe d'acteurs épatants et un scénario à rebondissement qui tient en haleine jusqu'au bout, bref un film de haut vol tant et si bien qu'on en ressort bouleversé..... à moins d'être tristement blasé...
    dominique P.
    dominique P.

    844 abonnés 2 027 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 6 mai 2018
    C'est un excellent film historique qui parle de faits véridiques à Berlin en 1956.
    Le film est classique, de très bonne facture.
    Il y a un peu des longueurs, des passages ennuyeux mais c'est très intéressant et pertinent.
    Je le recommande.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 mai 2018
    Très beau film. Les acteurs, inconnus au grand public, sont excellents. La reproduction des décors/vêtements/ambiance de la période est superbe.
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