Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
19 critiques presse
Bande à part
par Benoît Basirico
Bouleversant marivaudage incandescent d’une jeunesse en quête d’amour et de repères.
La critique complète est disponible sur le site Bande à part
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
“Mes provinciales”, (..) est un film apparemment doux, et qui ne l’est pas du tout. Qui cache sa violence sous une élégance de forme. C’est surtout le film le plus beau de Civeyrac.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Marcos Uzal
Civeyrac assume son anachronisme, comme le faisaient Bresson, Rohmer ou Eustache : en serrant le présent dans les mots, en le tordant par des pensées anciennes, en le sublimant dans des intrigues intemporelles. C’est un geste fort ambitieux mais exécuté avec une très délicate simplicité, une limpidité noire et blanche qui laisse s’épanouir la parole et les visages.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Positif
par Jean-Christophe Ferrari
Le résultat est saisissant : rarement la jeunesse fut, à l'écran, aussi belle, aussi vibrante, aussi attachante, aussi confiante et inquiète à la fois.
Transfuge
par Yannick Haenel
C’est d’ores et déjà l’un des plus beaux films de l’année : "Mes Provinciales", de Jean Paul Civeyrac. Ou comment faire naître et vivre une jeunesse incandescente.
Télérama
par Louis Guichard
Finalement, un scénario original (alors que les producteurs poussent aujourd’hui à l’adaptation littéraire), quelques décors et des acteurs débutants ou peu expérimentés, regardés avec une attention magnifique, suffisent à donner un grand film.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Culturopoing.com
par Maryline Alligier
Si Jean-Paul Civeyrac inscrit ses personnages dans une époque bien identifiée, un monde bien réel et des rapports familiers, il trouve toujours l'écho d'une sensibilité universelle, et le film toujours le moyen d'échapper à son temps.
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
L'Humanité
par Emile Breton
Et la mise en scène coule de source : brèves séquences montées sans souci de continuité narrative, mais données comme autant d’éléments décisifs pour la compréhension du personnage – et de son rapport aux autres. Parmi les beautés de cette succession de temps : Paris, ses immeubles à étages, ses rues, les quais de Seine (...).
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
La Croix
par Céline Rouden
Avec ce film, Jean-Paul Civeyrac propose cependant un récit ample et de facture assez classique qui met à l’honneur une génération de comédiens tous très convaincants.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Septième Obsession
par Jérôme d’Estais
Un cri ouaté mais puissant, celui d’un cinéaste (d’un enseignant aussi) qui définit l’art comme une quête existentielle, le fait de filmer comme une nécessité, et non comme un passe-temps perméable aux effets de mode.
Le Figaro
par Eric Neuhoff
Avec Mes provinciales, Jean-Paul Civeyrac filme la vie oisive et insouciante de jeunes apprentis cinéastes. Un film intense plein de références.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Sud Ouest
par Sophie Avon
Entre fêtes, travail et amis, Etienne forge le cinéaste qu’il sera, exigeant, sincère, pas loin sans doute de Jean-Paul Civeyrac qui avec ce neuvième long-métrage n’est pas un nouveau venu. Même si, de fait, son film ressemble à une œuvre inaugurale qui par-dessus les époques et à travers les âges, parle de la jeunesse éternelle, de sa fugacité, de ses fantômes.
La critique complète est disponible sur le site Sud Ouest
Critikat.com
par Pierre Eugène
Le film de Civeyrac a le mérite, sans le revendiquer, de plonger son spectateur avec lui, horizontalement pourrait-on dire, devant ses sujets d’élection. Mais il ne lui offrira pas de porte de sortie, pas de dépassement.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par Nicolas Schaller
Par chance, Civeyrac ne se contente pas de montrer ses personnages discourir sur l'art et le cinéma, il en fait aussi. Dès qu'il regarde ses comédiennes, dès qu'Etienne partage l'écran avec ses petites amoureuses, le film prend vie.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Mathieu Macheret
Ainsi le film se montre à la fois étonnamment attentif à la spécificité d’une certaine jeunesse (les évocations des Femen ou des ZAD) et rêvant à travers elle à autre chose : une pérennité, un voeu de beauté reconduit de génération en génération.
Les Fiches du Cinéma
par Nicolas Marcadé
Radicalement sombre et littéraire, le film manque sans doute de légèreté et de contrastes, mais pas de cohérence et d’intériorité.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
aVoir-aLire.com
par Gérard Crespo
Le meilleur film de Jean-Paul Civeyrac, portrait attachant de jeunes cinéphiles, et réflexion subtile sur la création.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Première
par Christophe Narbonne
Dans Mes provinciales, classique - et trop long - récit d’apprentissage sur un étudiant en cinéma monté à Paris, en plein doute (artistique et amoureux), Civeyrac oppose ainsi les valeureux soutiens de Godard à ceux de Verhoeven et Fincher qu’il brocarde sans nuances : le “méchant” fan de genre fera son long métrage, pas les autres. On a le droit de ne pas être d’accord avec cette vision binaire et un peu fausse.
La critique complète est disponible sur le site Première
Cahiers du Cinéma
par Stéphane Delorme
Ce qui rend la vision si embarrassante, c’est la prétention désarmante au « grand œuvre » et la naïveté de croire qu’il suffit pour cela d’aligner les références nobles.
Bande à part
Bouleversant marivaudage incandescent d’une jeunesse en quête d’amour et de repères.
Les Inrockuptibles
“Mes provinciales”, (..) est un film apparemment doux, et qui ne l’est pas du tout. Qui cache sa violence sous une élégance de forme. C’est surtout le film le plus beau de Civeyrac.
Libération
Civeyrac assume son anachronisme, comme le faisaient Bresson, Rohmer ou Eustache : en serrant le présent dans les mots, en le tordant par des pensées anciennes, en le sublimant dans des intrigues intemporelles. C’est un geste fort ambitieux mais exécuté avec une très délicate simplicité, une limpidité noire et blanche qui laisse s’épanouir la parole et les visages.
Positif
Le résultat est saisissant : rarement la jeunesse fut, à l'écran, aussi belle, aussi vibrante, aussi attachante, aussi confiante et inquiète à la fois.
Transfuge
C’est d’ores et déjà l’un des plus beaux films de l’année : "Mes Provinciales", de Jean Paul Civeyrac. Ou comment faire naître et vivre une jeunesse incandescente.
Télérama
Finalement, un scénario original (alors que les producteurs poussent aujourd’hui à l’adaptation littéraire), quelques décors et des acteurs débutants ou peu expérimentés, regardés avec une attention magnifique, suffisent à donner un grand film.
Culturopoing.com
Si Jean-Paul Civeyrac inscrit ses personnages dans une époque bien identifiée, un monde bien réel et des rapports familiers, il trouve toujours l'écho d'une sensibilité universelle, et le film toujours le moyen d'échapper à son temps.
L'Humanité
Et la mise en scène coule de source : brèves séquences montées sans souci de continuité narrative, mais données comme autant d’éléments décisifs pour la compréhension du personnage – et de son rapport aux autres. Parmi les beautés de cette succession de temps : Paris, ses immeubles à étages, ses rues, les quais de Seine (...).
La Croix
Avec ce film, Jean-Paul Civeyrac propose cependant un récit ample et de facture assez classique qui met à l’honneur une génération de comédiens tous très convaincants.
La Septième Obsession
Un cri ouaté mais puissant, celui d’un cinéaste (d’un enseignant aussi) qui définit l’art comme une quête existentielle, le fait de filmer comme une nécessité, et non comme un passe-temps perméable aux effets de mode.
Le Figaro
Avec Mes provinciales, Jean-Paul Civeyrac filme la vie oisive et insouciante de jeunes apprentis cinéastes. Un film intense plein de références.
Sud Ouest
Entre fêtes, travail et amis, Etienne forge le cinéaste qu’il sera, exigeant, sincère, pas loin sans doute de Jean-Paul Civeyrac qui avec ce neuvième long-métrage n’est pas un nouveau venu. Même si, de fait, son film ressemble à une œuvre inaugurale qui par-dessus les époques et à travers les âges, parle de la jeunesse éternelle, de sa fugacité, de ses fantômes.
Critikat.com
Le film de Civeyrac a le mérite, sans le revendiquer, de plonger son spectateur avec lui, horizontalement pourrait-on dire, devant ses sujets d’élection. Mais il ne lui offrira pas de porte de sortie, pas de dépassement.
L'Obs
Par chance, Civeyrac ne se contente pas de montrer ses personnages discourir sur l'art et le cinéma, il en fait aussi. Dès qu'il regarde ses comédiennes, dès qu'Etienne partage l'écran avec ses petites amoureuses, le film prend vie.
Le Monde
Ainsi le film se montre à la fois étonnamment attentif à la spécificité d’une certaine jeunesse (les évocations des Femen ou des ZAD) et rêvant à travers elle à autre chose : une pérennité, un voeu de beauté reconduit de génération en génération.
Les Fiches du Cinéma
Radicalement sombre et littéraire, le film manque sans doute de légèreté et de contrastes, mais pas de cohérence et d’intériorité.
aVoir-aLire.com
Le meilleur film de Jean-Paul Civeyrac, portrait attachant de jeunes cinéphiles, et réflexion subtile sur la création.
Première
Dans Mes provinciales, classique - et trop long - récit d’apprentissage sur un étudiant en cinéma monté à Paris, en plein doute (artistique et amoureux), Civeyrac oppose ainsi les valeureux soutiens de Godard à ceux de Verhoeven et Fincher qu’il brocarde sans nuances : le “méchant” fan de genre fera son long métrage, pas les autres. On a le droit de ne pas être d’accord avec cette vision binaire et un peu fausse.
Cahiers du Cinéma
Ce qui rend la vision si embarrassante, c’est la prétention désarmante au « grand œuvre » et la naïveté de croire qu’il suffit pour cela d’aligner les références nobles.