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ConFucAmuS
529 abonnés
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2,0
Publiée le 11 février 2020
Deux ans et demi. C'est le temps écoulé entre le tournage du film Underwater et sa sortie en salles. Surprenant au premier abord. Si on remonte le temps au moment de sa conception (avril-mai 2017), on réalise qu'un certain Alien Covenant déboulait en salles. Misant sur le succès du sixième film de la saga de science-fiction/horrifique, le film réalisé par William Eubank (auteur des films Space Time : L'ultime Odyssée et The signal) suivait le filon avec une variation sous la mer. Problèmes : 1) Alien Covenant n'a pas rapporté grand chose 2) Un film a déjà tenté le coup. Il s'appelle Léviathan (sorti en 1989) et c'était pas une réussite. Bref, l'excitation est retombée vite. Ajoutez le rachat de son studio d'origine par Disney. Déjà qu'il ne sait pas quoi faire avec la franchise Alien, imaginez l'indécision pour un dérivé comme Underwater... Finalement le voilà, arrivant sur les écrans dans l'indifférence générale. Cruel certes mais néanmoins logique si on s'en tient à ce que le film propose. C'est à dire pas grand chose. Résumons : - Une plate-forme sous-marine qui extrait du pétrole - Une catastrophe qui l'isole de la surface - Une présence inconnue menace les rescapés On peut difficilement faire plus limpide : hybrider Le huitième passager avec Abyss de James Cameron. Le long-métrage n'essaie même pas de faire semblant. Ne vous attendez donc pas à la moindre surprise, Underwater est en pilotage automatique du début à la fin. Rebondissements téléphonés, personnages à peine caractérisés, comportements parfois absurdes. À l'exception d'un ou deux moments de tension, le film peine à transmettre de l'émotion. Au moins, on s'en tient à 95 minutes. C'est concis. Cela dit, tant mieux puisque l'histoire n'a strictement rien à apporter au genre. Je me rabats sur la mise en scène plutôt pas mal, multipliant les procédés pour créer le suspense (vues subjectives, montage nerveux), et les comédiens investis. Dans le genre, Underwater se situe un cran en dessous d'un autre Alien-like, Life - Origine inconnue, à plusieurs longueurs du récent Crawl, et à 20.000 lieues sous le film séminal de Ridley Scott. Interchangeable.
Un scénario huit clos raté. Une qualité d'image de téléfilm. Des bandes sons inutiles. Un casting médiocre. Un rythme qui aurait pu être haletant mais ...plouf.
Du pur divertissement, ça pulse pendant 1h30, faut pas chercher plus loin. ça fait du bien de temps en temps d'être simplement et effectivement diverti !
Hello, Tout cela sent le réchauffé, c'est un mauvais remake de "Alien", mixé avec du "Abyss" évidemment. Je ne pense pas que j'aie besoin de la balise "spoiler" : le pitch est extrêmement ténu, les acteurs ne sont pas mauvais mais l'histoire ne tient pas debout, on est trop vite dans l'histoire, et ça finit abruptement... Film à emprunter à la médiathèque du coin dans quelques mois, éventuellement, pour tuer le temps.
Ne relève plus du navet mais d'un réel traumatisme pour des spectateurs innocents.... Vraiment, je pense qu'on ne pourra aller plus bas, au vu des regards de tous les spectateurs dans la salle, il faut d'urgence installer des cellules psychologiques à la sortie des salles.... En outre, il va falloir créer une association de victimes afin d'obtenir réparation ou au minimum un avoir au moins égal à un an de cinéma gratuit en compensation, je préfère regarder une saison entière de plus belle la vie plutôt que revoir ne serait qu'une minute de ce film 😨
Film un peu oppressant au début et mieux ne vaut pas être claustrophobe. Maintenant , histoire et scenario un peu décevant , sans grosse surprise et la fin pas géniale.
Un film qui aurait pu être un blockbuster en s'appuyant sur un scénario moins convenu. La pression que les mètres cubes d'eau au-dessus de notre tête devraient peser mais non. Alors oui il y a Vincent Cassel et oui il y a Kristen Stewart en petite tenue car ça apportait vraiment au scénario apparemment mais ça ne suffit pas à faire un bon film.
Pour moi c'est tout ce que le cinéma devrait ne plus faire. Les personnages sont des clichés vivants et au bout de 5 minutes on sait qui va vivre et qui va mourir. On a le droit au black, au comique, au capitaine, aux amoureux, le mec gentil. Il manquait juste le personnage qui savait tout et on avait le tiercé gagnant des clichés. Les scènes sont clichés spoiler: La mort de Vincent Cassel qui se laisse mourir pour sauver l'héroïne en la lâchant. La scène la plus cliché au monde . Le film utilise toutes les facilités possibles en piquant quasiment tout à Alien spoiler: Même la scène de l'héroïne en culotte . Je pense qu'il ne faut vraiment pas financer ce genre de films qui fait que l'on continue à en faire. Le point positif: Kirsten Stewart. J'aime bien qu'elle ose aller dans la difficulté en cassant complétement son image qu'elle avait au début. C'est risqué et ça ne paie pas tout le temps.
Vu "Alien à la mer" ...... bruitages semblables, noir sidéral commun, jeux de lumières proches..... D'accord, ici on a Vincent Cassel et surtout la jolie Kristen Stewart (même à travers son scaphandre, ah c'est beau, mais ... par contre sur l'intrigue, ou nouveauté ... rien, le vide !!! A plus de 10 500 m sous l'eau, l'angoisse est bien présente, quelques minutes, mais le scénario ne surnage pas longtemps, emberlificoté dans les multiples bras (?) de ces poulpes-Alien géants, dont la présence n'avait sans doute jamais été détectée (?)... pas fan !!**
« Underwater » est un thriller de science-fiction divertissant et efficace dans sa structure scénaristique : du rythme, de la tension et des personnages attachants. La mise en scène est soignée, avec de bons effets spéciaux. Le casting est honorable. Le gros point négatif : le dénouement, rapidement expédié avec un monstre sans intérêt pour l’histoire.
Mon avis complet (sans spoilers) : https://bit.ly/2Fydrm1
Dans l’espace, personne ne vous entend crier. Telle pourrait être la tagline de « Underwater » à l’instar du culte « Alien » mais avec les abysses plutôt que l’espace. A la vision de ce long-métrage, il est en effet impossible de ne pas penser au film culte de Ridley Scott et à ses suites, dont l’une est réalisée par James Cameron. Ce dernier étant aussi à l’œuvre sur un autre film culte, « Abyss » auquel ce « Underwater » fait encore plus penser. La boucle est bouclée. A cela ajoutons une petite dose de « Pacific Rim » pour les créatures et la base du scénario. Des références écrasantes auxquelles le long-métrage en présence ici fait irrémédiablement penser et qu’il ne tente pas de surpasser, ni même d’égaler, mais auxquels il fait quelques clins d’œil. Il faut donc ne pas tenter de comparer et voir le film pour ce qu’il est : une honnête petite série B inspirée par d’illustres modèles.
Une petite série B qui démarre très fort en présentant succinctement son personnage principal et en nous plongeant – c’est le cas de le dire – directement dans le vif du sujet. Aucun répit, on est directement en immersion avec un quart d’heure d’ouverture de haute volée qui présente l’enjeu (survivre après une explosion en trouvant un moyen de remonter à la surface en dépit d’une présence hostile) et fait saliver pour la suite. C’est une ouverture admirable au niveau du rythme et de la tension, donnant à « Underwater » une ambiance anxiogène en phase avec le sujet. Malheureusement cela retombe vite dans la seconde moitié d’un film plutôt, et astucieusement, court. Pas que ce soit raté, mais tout rentre vite dans le rang et surtout dans une certaine banalité propre à ce sous-genre qu’est le film de monstres en milieu confiné. A ce titre, il y a deux ans, « Life, origine inconnue » était bien plus réussi et halentant, ne nous laissant aucune seconde de répit.
Le problème de « Underwater » est que les différentes étapes dans la progression spatiale des personnages sont balisées et que les fonds marins ici exploités obligent à une image sombre dès que les protagonistes sont dans l’eau. Une obscurité angoissante au début mais qui devient vite fatigante car on n’y voit pas grand-chose, tout cela étant parfois même flou. Heureusement, la toute fin rehausse le niveau en nous laissant une bonne impression. Car sinon, rien de bien folichon au niveau des dialogues très basiques, ni de la caractérisation des personnages, vraiment limitée. Et le quota dit comique avec le personnage de T.J. Miller est raté voire énervant. Mais Kristen Stewart en impose en succédané de la Sigourney Weaver des « Alien » et prouve après le remake de « Charlie,s Angels » qu’elle est aussi à l’aise dans les blockbusters que dans les films d’auteur, comme son partenaire de « Twilight », Robert Pattinson. Deux suites de carrière bien négociées et admirables. En revanche, Vincent Cassel est transparent. Sinon louons le design réussi et effrayant des créatures, notamment de l’impressionnant monstre final; dommage qu’on les voit si peu et si mal. Une petite série B sympathique quoiqu’oubliable qui ne mérite pas les mauvais retours critiques entendus un peu partout.
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"Underwater" fait partie des gros divertissements hollywoodiens qui font indéniablement du bien mais qui, après réflexion, ne cassent pas trois pattes à un canard. Cette immersion sous-marine, à douze kilomètres de profondeur, convainc par ses effets numériques bluffants et par son démarrage en trombe qui ne laisse pas le spectateur reprendre son souffle. L'équipe réduite de scientifiques rappellent assurément celle d'"Alien" ou le plus récent "Life : Origine inconnue", ce qui rend le scénario assez prévisible. Bien que l'urgence soit palpable dès le début, on perçoit le survival à plein nez. "Underwater" joue donc plus la carte de la sécurité plutôt que celle de l'originalité. Heureusement pour William Eubank, le spectacle est assuré par une succession de rebondissements, des acteurs physiquement coriaces et une atmosphère plutôt oppressante et réussie. Kristen Stewart mène sa troupe avec panache, à l'instar du personnage de Ripley dans "Alien". A ses côtés, c'est plutôt marrant de voir Vincent Cassel dans ce genre de film où il apparait à la fois mystérieux et posé. Je regrette que l'histoire ne soit pas plus fouillée, que la tension ne serve pas plus à faire péter les codes du prévisible. Du coup, bien que le film soit très bien servi, "Underwater" se contente d'être un film d'horreur pour teenager qui ne marquera pas les esprits ni le genre. Mais ça n'empêche pas de s'offrir un petit plongeon !
Ne cherchez pas un scénario complet ni une explication du pourquoi du comment, “Underwater” nous plonge directement dans le bain. Kristen Stewart, filmée en gros plan de son corps sec et le crâne quasi rasé, doit faire face au tremblement d’une grande base sous-marine. Avec ses collègues, dont Vincent Cassel, elle doit trouver le moyen de remonter à la surface des 10 000 mètres de profondeurs. C’est donc un survival movie à la tension haletante et à la mise en scène suffisamment maîtrisée pour nous faire ressentir la peur. Malheureusement, William Eubank part trop loin en se lançant dans une seconde partie qui frôle avec la mythologie et finit par nous perdre dans les abysses du ridicule. D'autres critiques sur notre page Facebook : Cinéphiles 44 et notre site cinephiles44.com