Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
21 critiques presse
Transfuge
par Jean-Christophe Ferrari
Le réalisateur tchadien suit ses personnages sans dolorisme, misérabilisme ou rage dénonciatrice. Mais avec un mélange de précision réaliste et de vibration humaniste qui déjà faisait le prix de ses films précédents ("Daratt", "Un homme qui crie", "Grisgris").
Cahiers du Cinéma
par Vincent Malausa
Une saison en France renoue avec ce mélange de tension sèche et d’impériale retenue qui infuse les plus beaux films de l’auteur.
L'Humanité
par Aurore Garot
Un film qui illustre, sans tomber dans le misérabilisme, des vies gâchées par des guerres incessantes.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Parisien
par Catherine Balle
Un film juste et sensible
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Les Fiches du Cinéma
par Marie Toutée
Comment traiter plus vite les demandes d’asile pour qu’en cas de refus, les réfugiés puissent éventuellement tenter leur chance dans un autre pays que la France ? C’est une question sous-jacente que pose le réalisateur tchadien dans son film émouvant.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Marianne
par Olivier de Bruyn
Un film intimiste et juste.
Positif
par Olivier De Bruyn
Sobrement mis en scène et remarquablement interprété, un film qui, malgré ses maladresses, jette un regard hélas pertinent sur la situation des demandeurs d’asile, ici et maintenant.
Télérama
par Frédéric Strauss
Comme les autres films du réalisateur (notamment Un homme qui crie, 2010), Une saison en France émeut pour mieux inviter à la réflexion. Ici, le regard de Sandrine Bonnaire, qui joue l’amie d’Abbas, reflète admirablement le souci de l’autre, mais aussi une interrogation inquiète sur son sort incertain.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Critikat.com
par Thomas Choury
"Une saison en France" parait donc peut-être plus beau dans ses intentions que ce qu’il est réellement sur l’écran : à se tenir en permanence sur la brèche, paralysé par la peur de céder au pathétique d’un côté et celle de ne pas rendre assez justice de l’autre, le film est comme sous-investi. [...] De cette position embarrassante du funambule, Haroun s’en sort par le haut.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Express
par Christophe Carrière
Malgré un rythme faiblard, il est impossible de rester insensible (...).
La Septième Obsession
par Xavier Leherpeur
La première force du film de Mahamat-Saleh Haroun, c’est de donner un corps au migrant. Une identité autonome qui ne serait plus un symbole générique mais une force charnelle et organique.
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Un film austère et engagé, où l’indignation et la mélancolie paraissent inextricables, et où le jeu appliqué des acteurs amplifie cette impression de malaise ambiant.
Le Monde
par Mathieu Macheret
Que cette histoire débouche, lors d’un final bouleversant, sur les dunes désolées de la « jungle » de Calais, alors démantelée, et le fil amoureux est soudain suspendu par la sidération devant l’étendue d’un désastre plus vaste, dont le vide vertigineux est peut-être le signe ultime de notre époque.
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
On adhère ainsi à ce que montre Mahamat-Saleh Haroun tout en regrettant que le film, attachant, soit un brin trop conforme à ce qu'on en attend.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
S’ils brillent tous, jusqu’aux personnages les plus secondaires, par leur forte présence à l’écran, que renforce la délicatesse de plans s’attardant longuement sur leur visage dans des situations on ne peut plus quotidiennes […], la mécanique trop attendue du scénario, la pédagogie excessive des dialogues, plombent le propos.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Studio Ciné Live
par Thierry Chèze
Un sujet fort, traité avec dignité et profondeur, mais desservi par une réalisation et un rythme atones.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Désireux de nous démontrer que nul ne fuit son pays le sourire aux lèvres, Mahmat-Saleh Haroun se lance dans un récit trop didactique pour être réellement poignant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par François Forestier
Ce cinéaste tchadien a le bon regard, la bonne attitude, mais pas le bon tempo : scènes trop longues, rythme mal maîtrisé, images souvent ternes. Un film qu'on aimerait aimer. Attendons le prochain…
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
par La Rédaction
Un film très explicatif qui repose sur un scénario ténu.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Première
par Thierry Chèze
Il manque un souffle, une main un plus tendue vers le spectateur, une ambition formelle qui n’auraient fait que renforcer le mélange de tension et de mélancolie existant.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Bernard Achour
L’histoire de ce migrant africain en attente de régularisation pose de vraies questions et comporte de beaux moments malgré l’approche très didactique et de terribles maladresses d’interprétation.
Transfuge
Le réalisateur tchadien suit ses personnages sans dolorisme, misérabilisme ou rage dénonciatrice. Mais avec un mélange de précision réaliste et de vibration humaniste qui déjà faisait le prix de ses films précédents ("Daratt", "Un homme qui crie", "Grisgris").
Cahiers du Cinéma
Une saison en France renoue avec ce mélange de tension sèche et d’impériale retenue qui infuse les plus beaux films de l’auteur.
L'Humanité
Un film qui illustre, sans tomber dans le misérabilisme, des vies gâchées par des guerres incessantes.
Le Parisien
Un film juste et sensible
Les Fiches du Cinéma
Comment traiter plus vite les demandes d’asile pour qu’en cas de refus, les réfugiés puissent éventuellement tenter leur chance dans un autre pays que la France ? C’est une question sous-jacente que pose le réalisateur tchadien dans son film émouvant.
Marianne
Un film intimiste et juste.
Positif
Sobrement mis en scène et remarquablement interprété, un film qui, malgré ses maladresses, jette un regard hélas pertinent sur la situation des demandeurs d’asile, ici et maintenant.
Télérama
Comme les autres films du réalisateur (notamment Un homme qui crie, 2010), Une saison en France émeut pour mieux inviter à la réflexion. Ici, le regard de Sandrine Bonnaire, qui joue l’amie d’Abbas, reflète admirablement le souci de l’autre, mais aussi une interrogation inquiète sur son sort incertain.
Critikat.com
"Une saison en France" parait donc peut-être plus beau dans ses intentions que ce qu’il est réellement sur l’écran : à se tenir en permanence sur la brèche, paralysé par la peur de céder au pathétique d’un côté et celle de ne pas rendre assez justice de l’autre, le film est comme sous-investi. [...] De cette position embarrassante du funambule, Haroun s’en sort par le haut.
L'Express
Malgré un rythme faiblard, il est impossible de rester insensible (...).
La Septième Obsession
La première force du film de Mahamat-Saleh Haroun, c’est de donner un corps au migrant. Une identité autonome qui ne serait plus un symbole générique mais une force charnelle et organique.
Le Journal du Dimanche
Un film austère et engagé, où l’indignation et la mélancolie paraissent inextricables, et où le jeu appliqué des acteurs amplifie cette impression de malaise ambiant.
Le Monde
Que cette histoire débouche, lors d’un final bouleversant, sur les dunes désolées de la « jungle » de Calais, alors démantelée, et le fil amoureux est soudain suspendu par la sidération devant l’étendue d’un désastre plus vaste, dont le vide vertigineux est peut-être le signe ultime de notre époque.
Les Inrockuptibles
On adhère ainsi à ce que montre Mahamat-Saleh Haroun tout en regrettant que le film, attachant, soit un brin trop conforme à ce qu'on en attend.
Libération
S’ils brillent tous, jusqu’aux personnages les plus secondaires, par leur forte présence à l’écran, que renforce la délicatesse de plans s’attardant longuement sur leur visage dans des situations on ne peut plus quotidiennes […], la mécanique trop attendue du scénario, la pédagogie excessive des dialogues, plombent le propos.
Studio Ciné Live
Un sujet fort, traité avec dignité et profondeur, mais desservi par une réalisation et un rythme atones.
aVoir-aLire.com
Désireux de nous démontrer que nul ne fuit son pays le sourire aux lèvres, Mahmat-Saleh Haroun se lance dans un récit trop didactique pour être réellement poignant.
L'Obs
Ce cinéaste tchadien a le bon regard, la bonne attitude, mais pas le bon tempo : scènes trop longues, rythme mal maîtrisé, images souvent ternes. Un film qu'on aimerait aimer. Attendons le prochain…
Le Figaro
Un film très explicatif qui repose sur un scénario ténu.
Première
Il manque un souffle, une main un plus tendue vers le spectateur, une ambition formelle qui n’auraient fait que renforcer le mélange de tension et de mélancolie existant.
VSD
L’histoire de ce migrant africain en attente de régularisation pose de vraies questions et comporte de beaux moments malgré l’approche très didactique et de terribles maladresses d’interprétation.