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ffred
Voilà un film qui, dirions-nous, laisse perplexe. Bonheur académie est le premier long métrage de fiction de Alain Della Negra et Kaori Kinoshita après un documentaire sorti en 2010. On a d'ailleurs vraiment l'impression d'être devant un documentaire ici encore. Des vrais raéliens (le film a été tourné dans leur camp d'été en Croatie) se mêlent aux acteurs professionnels pour nous donner quelque chose d'assez inconsistant et de bien ennuyeux. On ne s'attache pas aux personnages et l'histoire est inintéressante. La mise en scène et la technique sont peu travaillées (mais le budget devait être serré). Heureusement que Laure Calamy apporte un soupçon d'intérêt, elle est très bien comme toujours. Bref, un film bizarre, aussitôt vu, aussitôt oublié...
Il y aura toujours des sujets compliqués à aborder, que ce soit des thèmes tabou en France ou que ce soit une communauté dangereuse. Le spectateur doit donc savoir vers quoi il se dirige : une grammaire cinématographique qui a la possibilité de détourner le regard, d’ironiser, de s’interroger, etc.
(...)
S’il y a une idée qui revient constamment dans le film, c’est la question de la représentation.
(...)
Parce que le geste se rapproche beaucoup plus du documentaire, mais le point de vue effacé du duo de cinéastes se manifeste pourtant à travers l’intégration de la fiction : le décor est réel, les activités sont réelles, le film explore la fonction de comédien(ne).
(...)
Dans un second temps, la question de la représentation touche la grammaire visuelle du cinéma.
(...)
Ici, il est question de contempler puis s’interroger sur le pouvoir de l’image (de soi, celle du cinéma, etc).
Critique complète à lire sur le magazine web ONLIKE.NET rubrique Cinéma.
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S’il y a une idée qui revient constamment dans le film, c’est la question de la représentation.
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Parce que le geste se rapproche beaucoup plus du documentaire, mais le point de vue effacé du duo de cinéastes se manifeste pourtant à travers l’intégration de la fiction : le décor est réel, les activités sont réelles, le film explore la fonction de comédien(ne).
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Dans un second temps, la question de la représentation touche la grammaire visuelle du cinéma.
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Ici, il est question de contempler puis s’interroger sur le pouvoir de l’image (de soi, celle du cinéma, etc).
Critique complète à lire sur le magazine web ONLIKE.NET rubrique Cinéma.
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