Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
8 critiques presse
Le Figaro
par La Rédaction
La toujours excellente Laure Calamy cherche l'amour en Croatie, lors d'un summer camp de Raël, gourou grotesque déjà popularisé par Houellebecq dans La Possibilité d'une île. La version «orgasme et méditation» des Bronzés.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Télérama
par Jacques Morice
L'ambiguïté est reine. Pas de satire en règle : on baigne plutôt dans une atmosphère troublante, où la manipulation consiste surtout à nous désorienter.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Les Fiches du Cinéma
par François Barge-Prieur
Fiction ténue intégrée à un documentaire sur les adeptes du culte de Raël, le film déroute par la neutralité avec laquelle il aborde une philosophie de vie à la fois profonde et extrêmement naïve.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Les Inrockuptibles
par Serge Kaganski
Le processus d’immersion fonctionne si bien qu’au bout d’un moment, on ne sait plus distinguer les uns des autres : les acteurs semblent se prendre vraiment au jeu alors que certains raëliens deviennent de vrais personnages.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Critikat.com
par Olivia Cooper-Hadjian
Le projet de construire un film de fiction à partir d’une réalité préexistante était ambitieux, et l’on peut saluer la volonté d’expérimentation des cinéastes. Reste que l’objet résultant de ce processus n’est pas convaincant.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La dimension critique qu’on était en droit d’attendre de l’œuvre en est à peu près ruinée et c’est dommage.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Studio Ciné Live
par Thierry Cheze
Malgré la présence de Laure Calamy, cette plongée dans un rassemblement de raëliens laisse perplexe.
L'Obs
par François Forestier
Pendant soixante-quinze minutes, on est immergé dans un océan de bêtasserie, avec message du gourou, réunions de fidèles, ateliers thérapeutiques… Bref, toutes choses dont on se fout éperdument, malgré la pointe de pitié qu’on peut éprouver pour les ravis de la crèche qui gobent ces âneries.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Figaro
La toujours excellente Laure Calamy cherche l'amour en Croatie, lors d'un summer camp de Raël, gourou grotesque déjà popularisé par Houellebecq dans La Possibilité d'une île. La version «orgasme et méditation» des Bronzés.
Télérama
L'ambiguïté est reine. Pas de satire en règle : on baigne plutôt dans une atmosphère troublante, où la manipulation consiste surtout à nous désorienter.
Les Fiches du Cinéma
Fiction ténue intégrée à un documentaire sur les adeptes du culte de Raël, le film déroute par la neutralité avec laquelle il aborde une philosophie de vie à la fois profonde et extrêmement naïve.
Les Inrockuptibles
Le processus d’immersion fonctionne si bien qu’au bout d’un moment, on ne sait plus distinguer les uns des autres : les acteurs semblent se prendre vraiment au jeu alors que certains raëliens deviennent de vrais personnages.
Critikat.com
Le projet de construire un film de fiction à partir d’une réalité préexistante était ambitieux, et l’on peut saluer la volonté d’expérimentation des cinéastes. Reste que l’objet résultant de ce processus n’est pas convaincant.
Le Monde
La dimension critique qu’on était en droit d’attendre de l’œuvre en est à peu près ruinée et c’est dommage.
Studio Ciné Live
Malgré la présence de Laure Calamy, cette plongée dans un rassemblement de raëliens laisse perplexe.
L'Obs
Pendant soixante-quinze minutes, on est immergé dans un océan de bêtasserie, avec message du gourou, réunions de fidèles, ateliers thérapeutiques… Bref, toutes choses dont on se fout éperdument, malgré la pointe de pitié qu’on peut éprouver pour les ravis de la crèche qui gobent ces âneries.