Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
20 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Excellent et brutal.
Ecran Large
par Christophe Foltzer
Punchy, ultra-violent, gore et passionnant, "Revenge" est un petit événement dans le monde compliqué de la série B française. Au-delà de son discours féministe et du contexte dans lequel il sort, c'est avant tout un revenge movie super efficace et très bien exécuté qu'on vous conseille d'aller voir toutes affaires cessantes. On tire notre chapeau à Coralie Fargeat. Vraiment.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
Le Figaro
par Etienne Sorin
Une mise en scène très maîtrisée, graphique et pop, qui a déjà séduit les Américains et le Festival de Toronto en septembre dernier.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Parisien
par Michel Valentin
Un premier long-métrage léché et des scènes bien découpées, dont une traque au fusil où la proie est un homme nu, ça change !
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Mad Movies
par Laurent Duroche
POUR : "Revenge" a le bon mauvais goût de verser dans l'imaginaire décomplexé là où le cinéma français exige habituellement un "réalisme social" grisâtre aussi sexy qu'un JT de Jean-Pierre Pernaut. On prend.
Première
par Sylvestre Picard
"Revenge" trace à coups de fusil une piste aussi sanglante qu'appétissante.
La critique complète est disponible sur le site Première
VSD
par Olivier Bousquet
« Revenge », tient autant du coup de poing dans la gueule que dans l’affirmation d’un style et d’une vision du cinéma pour le moins galvanisante.
L'Ecran Fantastique
par Yann Lebecque
On sent chez Coralie Fargeat l'amour du cinéma de genre et l'envie de faire de belles images, mais n'est pas John Boorman, Wes Craven ni même Abel Ferrara qui veut.
L'Express
par Christophe Carrière
"Revenge" se savoure avec un plaisir gourmand, attisé par l'involontaire résonance du propos avec l'actualité, la victime d'agression sexuelle réglant ici ses comptes avec ses "porcs".
L'Humanité
par Vincent Ostria
La réponse féministe aux « survivals » gore : une bimbo massacre les trois horribles machos qui l’ont violée et laissée pour morte. Musclée et sans failles, cette série B, parfois limite pour ses excès sanguinolents et sa description outrée des mâles en rut, révèle une cinéaste surdouée en montage et en mise en scène.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Radical et gore, ce récit est surtout la révélation d’une réalisatrice à suivre, Coralie Fargeat, qui dénonce sans complaisance les violences faites aux femmes.
Libération
par Jérémy Piette
Coralie Fargeat parvient à embrasser son désert de plans larges en mirages qui laissent dégorger la tension malgré son obsession pour une stylistique trop lestée d’allégories, trop léchée, trop bonne élève, rivée à des gimmicks géométriques bien appris et ultra-resucés.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Télérama
par Jérémie Couston
On prend vite fait et cause pour ce personnage dont la résilience passe par la violence, l’inversion du rapport bourreau-victime étant l’un des plaisirs les plus pervers du cinéma horrifique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par J.S.
Un rape and revenge scotchant qui va causer des évanouissements.
aVoir-aLire.com
par Pierre Vedral
Puissant réquisitoire féministe à forte vertu cathartique, Revenge révèle une hargne peu commune au sein de la production française, mais doit aussi composer avec certains défauts liés à une première œuvre.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Critikat.com
par Axel Scoffier
"Revenge" manque paradoxalement de tension d’ensemble, laissant le spectateur à distance d'événements écrits d’avance et dont on pressent qu’ils ne fonctionnent que sur un principe de surenchère.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
L'Obs
par François Forestier
Les amateurs du genre trouveront leur compte d’hémoglobine et de hurlements. On est dans la tradition des bons vieux films du "Midi-Minuit", avec starlette craquante, cadavres éparpillés, et scène finale baignant dans le raisiné. Il y en a qui aiment. Nous, pas.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Monde
par Jacques Mandelbaum
La réalisatrice Coralie Fargeat se risque au film de "viol et vengeance", mais abuse du symbolisme et risque la caricature.
Mad Movies
par Jean-Baptiste Herment
CONTRE : "Revenge" ne joue malheureusement que sur un seul et unique tableau : celui du pur fantasme de cinéphile où toute notion de réalisme est volontairement gommée au détriment d'un style tendance (...) et d'un traitement narratif où les ficelles s'avèrent beaucoup trop usées pour ne pas casser.
Les Inrockuptibles
par Murielle Joudet
Derrière le bel emballage très aguicheur, "Revenge" a malencontreusement oublié l’essentiel : un regard de cinéaste.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
20 Minutes
Excellent et brutal.
Ecran Large
Punchy, ultra-violent, gore et passionnant, "Revenge" est un petit événement dans le monde compliqué de la série B française. Au-delà de son discours féministe et du contexte dans lequel il sort, c'est avant tout un revenge movie super efficace et très bien exécuté qu'on vous conseille d'aller voir toutes affaires cessantes. On tire notre chapeau à Coralie Fargeat. Vraiment.
Le Figaro
Une mise en scène très maîtrisée, graphique et pop, qui a déjà séduit les Américains et le Festival de Toronto en septembre dernier.
Le Parisien
Un premier long-métrage léché et des scènes bien découpées, dont une traque au fusil où la proie est un homme nu, ça change !
Mad Movies
POUR : "Revenge" a le bon mauvais goût de verser dans l'imaginaire décomplexé là où le cinéma français exige habituellement un "réalisme social" grisâtre aussi sexy qu'un JT de Jean-Pierre Pernaut. On prend.
Première
"Revenge" trace à coups de fusil une piste aussi sanglante qu'appétissante.
VSD
« Revenge », tient autant du coup de poing dans la gueule que dans l’affirmation d’un style et d’une vision du cinéma pour le moins galvanisante.
L'Ecran Fantastique
On sent chez Coralie Fargeat l'amour du cinéma de genre et l'envie de faire de belles images, mais n'est pas John Boorman, Wes Craven ni même Abel Ferrara qui veut.
L'Express
"Revenge" se savoure avec un plaisir gourmand, attisé par l'involontaire résonance du propos avec l'actualité, la victime d'agression sexuelle réglant ici ses comptes avec ses "porcs".
L'Humanité
La réponse féministe aux « survivals » gore : une bimbo massacre les trois horribles machos qui l’ont violée et laissée pour morte. Musclée et sans failles, cette série B, parfois limite pour ses excès sanguinolents et sa description outrée des mâles en rut, révèle une cinéaste surdouée en montage et en mise en scène.
Le Journal du Dimanche
Radical et gore, ce récit est surtout la révélation d’une réalisatrice à suivre, Coralie Fargeat, qui dénonce sans complaisance les violences faites aux femmes.
Libération
Coralie Fargeat parvient à embrasser son désert de plans larges en mirages qui laissent dégorger la tension malgré son obsession pour une stylistique trop lestée d’allégories, trop léchée, trop bonne élève, rivée à des gimmicks géométriques bien appris et ultra-resucés.
Télérama
On prend vite fait et cause pour ce personnage dont la résilience passe par la violence, l’inversion du rapport bourreau-victime étant l’un des plaisirs les plus pervers du cinéma horrifique.
Voici
Un rape and revenge scotchant qui va causer des évanouissements.
aVoir-aLire.com
Puissant réquisitoire féministe à forte vertu cathartique, Revenge révèle une hargne peu commune au sein de la production française, mais doit aussi composer avec certains défauts liés à une première œuvre.
Critikat.com
"Revenge" manque paradoxalement de tension d’ensemble, laissant le spectateur à distance d'événements écrits d’avance et dont on pressent qu’ils ne fonctionnent que sur un principe de surenchère.
L'Obs
Les amateurs du genre trouveront leur compte d’hémoglobine et de hurlements. On est dans la tradition des bons vieux films du "Midi-Minuit", avec starlette craquante, cadavres éparpillés, et scène finale baignant dans le raisiné. Il y en a qui aiment. Nous, pas.
Le Monde
La réalisatrice Coralie Fargeat se risque au film de "viol et vengeance", mais abuse du symbolisme et risque la caricature.
Mad Movies
CONTRE : "Revenge" ne joue malheureusement que sur un seul et unique tableau : celui du pur fantasme de cinéphile où toute notion de réalisme est volontairement gommée au détriment d'un style tendance (...) et d'un traitement narratif où les ficelles s'avèrent beaucoup trop usées pour ne pas casser.
Les Inrockuptibles
Derrière le bel emballage très aguicheur, "Revenge" a malencontreusement oublié l’essentiel : un regard de cinéaste.