Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
10 critiques presse
Critikat.com
par Clément Graminiès
(...) aux conclusions toutes faites sur ses contemporains et aux déclarations d'intention, le réalisateur préfère entretenir le flou, n'hésitant pas à regarder avec une petite touche d'ironie complice ce microcosme sociétal courir à sa propre perte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Les Fiches du Cinéma
par Clément Deleschaud
La plus grande force de cette fable, au-delà de ne pas s’échiner à rationaliser un monde au bord de l’abîme, tient dans sa foi à ne pas vouloir colmater à tout prix ses épanchements burlesques et autodestructeurs, mais bien à les embrasser jusqu’au malaise.
La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma
Libération
par Elisabeth Franck-Dumas
L’artiste Neïl Beloufa mélange avec délice thèmes et pistes dans un film loufoque.
La critique complète est disponible sur le site Libération
L'Obs
par Xavier Leherpeur
Un polar étrange qui emprunte au surréalisme et au fétichisme leurs troubles hypnotiques et sensuels. Pour son premier film, le plasticien Neïl Beloufa ne regarde pas à la dépense, et son film souffre parfois d'un trop-plein. Mais ne manque pas d'originalité impertinente.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Journal du Dimanche
par Alexis Campion
Des qualités qui confèrent à son film un côté anachronique et théâtral, appréciable au défi d’un scénario parfois flottant, mais non dénué d’humour et de suspense.
Les Inrockuptibles
par Bruno Deruisseau
Bien que parfois maladroit dans son recours à un éventail de signes surchargé de postures arty, Occidental est un premier film audacieux.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Télérama
par Jacques Morice
Neïl Beloufa, artiste contemporain qui expose actuellement au Palais de Tokyo (« L’Ennemi de mon ennemi »), déjoue toutes sortes de préjugés (sexuels, religieux…) et déconstruit avec humour la représentation de l’amour, de la révolte, du travail, de l’amitié. Pour mieux les raviver, à la manière d’un ballet minimaliste et pop.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Le Monde
par Mathieu Macheret
Mais entre l’exercice de style et la volonté de discours, un hiatus demeure que le film ne parvient jamais véritablement à résoudre.
Positif
par Jean-Loup Bourget
Scénario fumeux, image enfumée, musique techno, dialogue pastichant Ionesco ou Pirandello, on est plutôt quelque part entre "Fawlty Towers" et "The Million Dollar Hotel" de Wenders.
Cahiers du Cinéma
par Cyril Béghin
Plutôt qu’un exercice de distanciation cinglant à la Fassbinder, auquel Occidental fait des clins d’œil, ou un objet hybride comme Gaz de France de Benoît Forgeard, l’ensemble est vraiment mou comme une musique d’ascenseur : navrante ambition.
Critikat.com
(...) aux conclusions toutes faites sur ses contemporains et aux déclarations d'intention, le réalisateur préfère entretenir le flou, n'hésitant pas à regarder avec une petite touche d'ironie complice ce microcosme sociétal courir à sa propre perte.
Les Fiches du Cinéma
La plus grande force de cette fable, au-delà de ne pas s’échiner à rationaliser un monde au bord de l’abîme, tient dans sa foi à ne pas vouloir colmater à tout prix ses épanchements burlesques et autodestructeurs, mais bien à les embrasser jusqu’au malaise.
Libération
L’artiste Neïl Beloufa mélange avec délice thèmes et pistes dans un film loufoque.
L'Obs
Un polar étrange qui emprunte au surréalisme et au fétichisme leurs troubles hypnotiques et sensuels. Pour son premier film, le plasticien Neïl Beloufa ne regarde pas à la dépense, et son film souffre parfois d'un trop-plein. Mais ne manque pas d'originalité impertinente.
Le Journal du Dimanche
Des qualités qui confèrent à son film un côté anachronique et théâtral, appréciable au défi d’un scénario parfois flottant, mais non dénué d’humour et de suspense.
Les Inrockuptibles
Bien que parfois maladroit dans son recours à un éventail de signes surchargé de postures arty, Occidental est un premier film audacieux.
Télérama
Neïl Beloufa, artiste contemporain qui expose actuellement au Palais de Tokyo (« L’Ennemi de mon ennemi »), déjoue toutes sortes de préjugés (sexuels, religieux…) et déconstruit avec humour la représentation de l’amour, de la révolte, du travail, de l’amitié. Pour mieux les raviver, à la manière d’un ballet minimaliste et pop.
Le Monde
Mais entre l’exercice de style et la volonté de discours, un hiatus demeure que le film ne parvient jamais véritablement à résoudre.
Positif
Scénario fumeux, image enfumée, musique techno, dialogue pastichant Ionesco ou Pirandello, on est plutôt quelque part entre "Fawlty Towers" et "The Million Dollar Hotel" de Wenders.
Cahiers du Cinéma
Plutôt qu’un exercice de distanciation cinglant à la Fassbinder, auquel Occidental fait des clins d’œil, ou un objet hybride comme Gaz de France de Benoît Forgeard, l’ensemble est vraiment mou comme une musique d’ascenseur : navrante ambition.