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TheLardenne31 .
2 abonnés
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5,0
Publiée le 24 juin 2020
Premier ciné après 3 mois. Quel plaisir de retrouver les salles obscures avec ce film qui démarre lentement pour mieux nous attraper et plus nous lacher jusqu'à la fin. Les références à la ferme des animaux de George Orwell nous accompagnent tout au long de cette Histoire avec un grand H. A voir !
Retour au ciné dès le 1er jour après plus de 3 mois. Un film dans les années 30 qui suit un jeune journaliste sur la liberté et la manipulation de la presse à des fins politique dans une URSS corrompue, qui affame et appauvrit les campagnes. Très dur, des images poignantes sur la misère, les conditions de vie des paysans de l’URSS.
ce film est important car dévoile l'histoire peut-être ancienne mais à quel point actuelle! Il démontre les journalistes manipulateurs, les puissances qui pour faire du business flirtent avec les régimes et cautionnent l'horreur ( pecunia non olet) je suis sortie du cinéma retournée!!!!
ce n est pas le genre de film que je préfère mais j ai trouver celui la particulièrement long.et fade ...l intrigue paraissait intéressant mais les scènes jouer sont d une longueur interminable et finalement on le film peut être jouer en peu de temps ...
Un film magnifique tiré d’une histoire vraie qui traite d’un sujet relativement méconnu: l’holodomor. Comment un jeune journaliste occidental plein d’idéal va tenter de dénoncer, avant tout le monde, les horreurs provoquées par un système totalitaire. Avec de très bons acteurs et une belle photographie L’ombre de Staline est un thrilleur historique bouleversant et passionnant.
Entre espionnage et mondanités diplomatiques, l'ombre de Staline se cache dans les sentiers perdus de ce film qui tient son spectateur en haleine de tout son long.
Malgré quelques clichés (narration et personnages), ce film est très bien, notamment l'aspect thriller/documentaire. Les scènes de famine en Ukraine sont terrifiantes de véracité et d'horreur. Toujours se battre pour une seule vérité... la réalité. A l'heure des fake news et de la montée des totalitarismes, ce film est important sur le fond et redonne au journalisme ses valeurs fondamentales.
En 1933, le jeune journaliste britannique Gareth Jones, talentueux et idéaliste, va se retrouver confronté au stalinisme en arrivant à Moscou. Le pire l'attend quelques jours plus tard en Ukraine où l'horreur de la famine de l'Holodomor détruit des millions de vies... Cette biographie possède le mérite de traiter d'un sujet difficile et assez méconnu finalement, alors que les yeux du monde sont à l'époque braqués sur la montée du nazisme en Allemagne. Un film "historique" donc, disposant de quelques qualités (une belle photographie, un acteur principal (James Norton) convaincant), mais au final manquant de charisme et de force émotionnelle : il y avait pourtant matière à fracasser l'âme beaucoup plus profondément avec de telles atrocités ! Intéressant, mais presque trop pudique et trop lisse. Site CINEMADOURG.free.fr
un constat impitoyable du "miracle" soviétique de Staline et de ses méthodes dictatoriales ainsi que de l'aveuglement volontaire de l'occident dont les motivations sont ambiguës: idéologiques ou économiques
Au début des années trente, un jeune Gallois, Gareth Jones (James Norton dont il se dit qu'il pourrait succéder à Daniel Craig dans le rôle de l'agent 007) se rend en Union soviétique. Il y découvre l'effroyable famine organisé par le Kremlin en Ukraine et veut la révéler au monde entier.
Le jeudi 12 mars 2020, je devais aller voir "L'Ombre de Staline" en avant-première à 20h. Mais, pris par le travail, je ratais la séance. Je m'en suis vite consolé en me disant que je verrais le film à sa sortie le mercredi suivant. On sait tous que le film ne sortit pas le mercredi suivant… J'avais décidé que "L'Ombre de Staline" serait le premier film que j'irais voir à la réouverture des salles avec le désir - comme le disaient les partisans de Louis XVIII à la Restauration - de "renouer la chaîne des temps".
"L'Ombre de Staline" (dont le titre, partout sauf en France, est "Mr. Jones") est inspiré de faits réels. Gareth Jones a bien existé qui travailla un temps au cabinet du Premier ministre britannique Lloyd George, qui interviewa Hitler et qui enquêta en URSS sur les modes de financement des plans quinquennaux. Comme Hergé avec "Tintin au pays des Soviets" écrits en 1929, comme Gide avec "Retour de l'URSS" publié en 1936, Gareth Jones découvre avec violence la réalité du "miracle soviétique" : Staline affame son peuple pour obtenir les devises pour financer les objectifs des plans quinquennaux.
On sait aujourd'hui que l'Holodomor, un mot ukrainien signifiant littéralement "extermination par la faim", fit entre 1931 et 1933 quelque quatre millions de victimes en Ukraine. Au mitan du film, dans une parenthèse sinistre, presque muette, la caméra suit Gareth Jones qui découvre horrifié l'ampleur du sinistre : les paysans émaciés par la faim, les cadavres abandonnés au bord des routes, les enfants mangeant de la chair humaine…
Le film d'Agnieszka Holland, une vieille routière du cinéma, est d'un classicisme revendiqué. Les scènes qui se déroulent en URSS sont plongées dans une lumière désespérément grise censée en souligner la tristesse. Aux côtés de James Norton, on reconnaît Vanessa Kirby (qui jouait la princesse Margaret dans les deux premières saisons de "The Crown") et Peter Sarsgaard abonné aux rôles de salaud.
"L'Ombre de Staline" n'en est pas moins d'une actualité brûlante à une époque où les relectures partisanes de l'histoire, en Occident et en Russie, donnent lieu à des guerres de mémoire. En témoigne la récente polémique provoquée par Vladimir Poutine sur les causes de la Seconde Guerre mondiale.
Sauf à être féru d'Histoire, au-delà de la simple et très vague connaissance du sujet (que sous Staline, ce n'était pas le Paradis Socialiste !), le spectateur lambda découvrira. Mais c'est hélas traité d'une certaine manière cinématographique que ça ne donnera pas trop envie à un large public. Cette façon de presque tout filmer en gris et sombre vise sans doute à mettre dans l'ambiance du scénario mais que c'est lassant pour les yeux ! Et le cinéma, la mise en scène, ce n'est pas ça. Quand la forme gâche le fond...
Histoire passionnante même si on en connaît la toile de fond. En revanche la façon de filmer m'a tout gâché : gros plans excessifs et mise au point floue..bonjour la migraine ! Quel dommage !
L'histoire vraie du jeune journaliste gallois Gareth Jones, qui suite à ses révélations sur le régime stalinien en 1933, fût assassiné par la police politique soviétique à la veille de ses 30 ans, en 1935 en Mongolie. Le film d’ Agnieszka Holland se termine un an avant cette date quand la terre entière commence à comprendre que le paradis de Staline ne ressemble pas à ce que l’on raconte. Une vérité que l’on doit en grande partie à ce journaliste dont sa découverte en Ukraine va lever le voile sur l'épisode le plus terrible de l'Histoire soviétique de l'entre-deux guerres. C’est toujours magnifique la façon dont Agnieszka Holland raconte les histoires de la grande Histoire . " Sacrifice", " Sous la ville " " Le Complot" et maintenant ce très beau réquisitoire pour la liberté, de la presse et des consciences. James Norton dans le rôle principal en est le porte-parole salutaire. Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
J'en crois un film de concept politique et aussi relatant les sentiments d'un aventurier /Sinon pris entre les intrigues qui se suivent et appellent aux déclins d'une oligarchie patriotique et qui renoue avec la rébellion d,un jeune publiciste sur les accès pour subjuguer démocratie et anarchie sinon contestation d 'une jeunesse libérer de ce déclin celui du ' Mur ' ou d'une séparation entre l'Est ou l'Ouest ! Pour ainsi décrire sur quel sujet est fait ce film sans autre anecdote mais simplement en improvisant le roman D'un pays qui retrouve un sens de la liberté d'aujourd'hui en comparaison de son exclusion d'avant sa chute ! Un sorte de roman et suite s'il en est une ! Afin de retrouver le passé / au présent / au futur ainsi de suite !spoiler: J'attends du réalisateur une entrevue de son film en auditoire !