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Le côté spectaculaire de la conception de la Tour Eiffel est altéré par une passion amoureuse très présente dans le film. J'aurais aimé plus de scène sur la construction et des explications complémentaires sur la tour.
Bon, sincèrement, je m'attendais à mieux, bien mieux, tout en pensant que ça serait pire, bien pire. Vous ne comprenez pas ? Pas grave. Mais je m'explique : au moment de la sortie du film, en voyant l'affiche et en regardant la bande-annonce, je me suis dit "ça va être bien, un film sur l'architecte de la Tour Eiffel, depuis le temps qu'il fallait aborder ça au cinéma, et en plus, Duris est un bon acteur", donc j'avais pas mal d'espoirs.
En regardant le film, au bout d'une vingtaine de minutes (le film n'en dure pas 120), j'ai compris que ça allait surtout être une histoire d'amour compliquée/impossible sur fond de flashbacks incessants, et que la Tour ne serait qu'un prétexte, à peine le sujet du film. Et c'est là que j'ai été déçu, même si, au final, Romain Duris et la beauté des images font que l'on ne s'ennuie pas trop en regardant "Eiffel".
Notons quand même que le carton final comme quoi spoiler: la tour à la forme d'un A, initiale d'Adrienne, l'amante d'Eiffel, c'est facile. Bah oui, elle a la forme d'un A, la tour, c'est vrai, mais quelle autre forme lui donner ? Et si elle s'était appelée Catherine, il aurait fait une tour en C pour lui rendre hommage ? N'allons pas chercher des symboles là où il n'y en à pas forcément.
. Ce carton final est un peu simpliste, donc. Le film aussi, mais on a de belles images.
En regardant le film, au bout d'une vingtaine de minutes (le film n'en dure pas 120), j'ai compris que ça allait surtout être une histoire d'amour compliquée/impossible sur fond de flashbacks incessants, et que la Tour ne serait qu'un prétexte, à peine le sujet du film. Et c'est là que j'ai été déçu, même si, au final, Romain Duris et la beauté des images font que l'on ne s'ennuie pas trop en regardant "Eiffel".
Notons quand même que le carton final comme quoi spoiler: la tour à la forme d'un A, initiale d'Adrienne, l'amante d'Eiffel, c'est facile. Bah oui, elle a la forme d'un A, la tour, c'est vrai, mais quelle autre forme lui donner ? Et si elle s'était appelée Catherine, il aurait fait une tour en C pour lui rendre hommage ? N'allons pas chercher des symboles là où il n'y en à pas forcément.
. Ce carton final est un peu simpliste, donc. Le film aussi, mais on a de belles images.
Je n'ai pas pu aller jusqu'au bout. Romain Duris en Gustave Eiffel? C'est un erreur de casting manifeste et pour le reste, on assiste à une reconstitution mondaine de cette fin de XIXième siècle.
Je n'ai rien aimé dans ce film. Du jeu d'acteur aux décors, en passant par la mise en scène, rien ne va. Dommage que le scénario ne relève pas le niveau.
A comme Affligeant
A comme Affligeant
Un film incroyable, avec certes beaucoup d'amour. Mais l'amour permet de rendre l'histoire palpitante et passionnante.
Artriste
Avec Eiffel, Martin Bourboulon réalise une biographie historique romancée de qualité. L'histoire nous amènes à la fin des années 1880 et nous fait suivre Gustave Eiffel qui va imaginer et construire le monument le plus important de sa carrière, alors que dans le même temps il recroise son amour de jeunesse. Ce scénario librement inspiré de faits réels est plaisant à vivre pendant une heure quarante qui nous raconte le combat d'un homme pour mener à bien son projet via un récit non linéaire qui joue avec les époques. L'intrigue manque peut-être un peu d'enjeu sur son aspect architecturale, mais la romance qui prend tout autant de place, parvient elle à donner de l'intérêt. Elle est très bien incarnée par les deux protagonistes principaux, interprétés par Romain Duris et Emma Mackey. Leurs visages captent toute la lumière au point de ne voir qu'eux. Les autres rôles n'ont donc pas beaucoup d'importance. Seule leur relation compte et elle est appréciable même si elle manque tout de même d'un peu d'émotion et de jolis mots à défaut d'embrassades. L'ensemble est bien réalisé et offre un joli visuel grâce à la photographie bénéficiant d'un cachet donnant une personnalité esthétique à l’œuvre. Tout cela est bien aidé par un travail de reconstitution remarquable, aussi bien au niveau des décors que des costumes. Les images de la construction parviennent même à être vertigineuses. Toutes les scènes sont accompagnées par une b.o. très douce, marquée d'une grande présence. Tout cela s'achève sur une fin satisfaisante, venant mettre un terme à Eiffel, qui mérite d'être découvert.
Quelle déception
Je m'attendais à un grand biopic sur l'un des personnages phare de notre histoire et je me retrouve avec une mièvre histoire d'amour digne d'un téléfilm de l'après midi
Non vraiment le plan d'attaque de ce biopic n'est pas le bon. Parler de cette histoire d'amour pendant 80% du film alors qu'elle n'apporte pas grand intérêt à la construction de la tour est très dommageable.
Dommage car les 20% parlant de l'histoire de la construction du monument le plus visité du monde est très intéressant et superbement filmé et expliqué.
Le casting Duris Mackay ne convint pas outre mesure et on se retrouve à s'ennuyer devant ce film qui n'a de biopic que le nom
Je m'attendais à un grand biopic sur l'un des personnages phare de notre histoire et je me retrouve avec une mièvre histoire d'amour digne d'un téléfilm de l'après midi
Non vraiment le plan d'attaque de ce biopic n'est pas le bon. Parler de cette histoire d'amour pendant 80% du film alors qu'elle n'apporte pas grand intérêt à la construction de la tour est très dommageable.
Dommage car les 20% parlant de l'histoire de la construction du monument le plus visité du monde est très intéressant et superbement filmé et expliqué.
Le casting Duris Mackay ne convint pas outre mesure et on se retrouve à s'ennuyer devant ce film qui n'a de biopic que le nom
Pour marquer le centenaire de la Rèvolution française, les organisateurs de l'Exposition universelle de 1889 voulurent ètonner le monde entier par l'èdification, au Champs de Mars, à Paris, d'une tour de fer unique en son genre! Après avoir hèsitè entre plusieurs projets, ils choisirent celui de l'ingènieur français Gustave Eiffel, incarnè sobrement par Romain Duris! L'histoire d'un amour impossible est bien retranscrite à l'ècran, tout comme la reconstitution historique! Ce ne fut pas comme on l'a dit, un biopic ratè à tous les niveaux, mais bel et bien un beau film populaire et ambitieux dans lequel il s'agit de mettre en place les pièces du gigantesque Meccano que constitue l'assemblage de cette tour pas comme les autres! Qui a vu "Eiffel" (2020) se souviendra en tout cas du chantier de la Dame de fer et de ces travaux colossaux qui s'effectuèrent avec une ètonnante rapiditè! Mais aussi de l'intrigue romantique entre le magicien du fer et Adrienne Bourgès (Emma Mackey aussi touchante que Duris). Un mix qui fonctionne plutôt bien sur le papier! Comme quoi...
Quand la romance sucrée prend le pas sur l'histoire ... raté ! Dommage il y avait de quoi faire un beau film avec un tel sujet.
Eiffel réussi l'exploit de montrer ce que la France fait de meilleur en matière de musique, d'effets spéciaux et d'une photographie qui nous replonge dans le Paris du 19ème siècle. Même si le film est très intéressant de par sa manière d'aborder la construction de la Tour Eiffel, il faut cependant avouer que le film est globalement décevant et frustrant de par l'immense potentiel qui a été gâché. L'histoire romantique prend le devant de la scène pour laisser loin derrière la Dame de Fer, et ce choix porte préjudice à l'ambiance du film, qui quelque fois est lente et ennuyeuse à cause de nombreuses scènes dans le silence qui vont venir rallonger cette histoire amoureuse classique et prévisible, c'est là que le film echoue. Cependant lorsque le film se réoriente et se concentre pleinement à la Tour Eiffel, il devient passionnant, la composition du cadre est très belle quant aux explications sur la construction de la tour, elles sont très intéressantes. Nous passons par l'ingénierie de Gustave Eiffel, la conception, les plans de la tour, chercher des investissements, les caractéristiques techniques, convaincre la commission pour l'exposition universelle, gérer les grèves, les défits et contraintes de la construction, les nouvelles technologies utilisées...tous ces moments sont excellent. Pour conclure, Eiffel reste un film très sympathique malgré le fait d'avoir un peu abandonné la Dame de Fer, le film aurait été largement meilleur si l'on s'était plus concentré sur la Tour Eiffel et laisser la romance de Gustave Eiffel en arrière plan. Néanmoins c'est un film que je recommande à tous ceux qui souhaite découvrir un film français esthétiquement très appréciable et qui avant tout apprécie les histoires romantiques.
Ecrire un si mauvais scénario pour un budget de film pareil… ça ne devrait pas exister ! Quelle médiocrité...
Olalalala... quelle déception ! La construction de l'emblématique Tour Eiffel qui sert de prétexte à une histoire d'amour des plus banales et des plus stéréotypées comme on en a vu déjà des milliers au ciné ! Gros beurkkkk !
L'intrigue est intéressante mais le rythme du film trop plat et rend donc le scénario ennuyeux.
C'est dommage car l'histoire est intrigante.
C'est dommage car l'histoire est intrigante.
shindu77
Le film est intéressant mais il aurait pu être meilleur. Ce long-métrage bascule un peu trop dans la romance de Gustave Eiffel et se perd quelque peu alors qu'il aurait été plus intéressant de vraiment nous montrer le côté visionnaire de l'homme. Les deux acteurs principaux sont intéressants malgré tout mais la mise en scène est trop basique.
Roub E.
Un film qui s’éparpille un peu et qui finit par ne pas raconter grand chose. Évocation de la construction du monument le plus célèbre de Paris et de la vie de son créateur c’est son histoire d’amour contrariée qui va prendre la part la plus importante du film. Bénéficiant visiblement de gros moyens le film semble pourtant étriqué pour évoquer la construction folle de cet ouvrage. Il n’est de surcroît pas très beau, trop sombre à mon goût au niveau de la photo. A l’inverse du personnage qu’il évoque le film manque cruellement d’ambition et d’audace, c’est traité comme un docu fiction ou l’on nous balance à intervalles réguliers des anecdotes Wikipedia (qui ne nous apprennent pas grand chose au final) et un côté carte postale pas très engageant. Dommage aussi d’avoir choisi Emma Mackey pour le rôle d’Adrienne qui si elle semble être une bonne comédienne paraît bien trop jeune pour jouer un amour de jeunesse de l’ingénieur. Un film bien trop sage, bien trop académique pour éveiller vraiment mon intérêt.
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