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Votre avis sur Eiffel ?
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Une belle histoire imaginaire sur fond de biopic. C’est joliment fait et bien interpreté. On passe un bon moment et on fini par rêver que cette belle preuve d’amoir soit vraie.
Que c'est ennuyeux... sombre et tellement ennuyeux que j'ai eu beaucoup de mal à aller jusqu'au bout !!!
Je ne sais pas si c'est le scenario de Caroline Bongrand ou la mise en scène de Martin bouboulon, ou les deux, mais ce n'est vraiment pas bon.
Ça aurait pu.... ça aurait du...
:(
Je ne sais pas si c'est le scenario de Caroline Bongrand ou la mise en scène de Martin bouboulon, ou les deux, mais ce n'est vraiment pas bon.
Ça aurait pu.... ça aurait du...
:(
Si le titre du projet peut rapidement faire penser à un long-métrage centré sur la création de la Tour Eiffel, "Eiffel" est un film un peu plus complexe que cela. En effet, il aurait simplement pu se contenter d'être un biopic, mais il va surtout beaucoup emprunter les chemins de la romance au niveau de son scénario. Et globalement, même si le film a des qualités indéniables, c'est à ce niveau-là que se trouvent la plupart des points faibles de l'œuvre. Je ne suis pas forcément contre l'idée de raconter cette histoire, cela permet d'offrir de bonnes scènes vraiment bien écrites et très intéressantes. Toutes les séquences relatant la construction de l'édifice sont passionnantes, elles permettent de vraiment comprendre l'envers du décor. La reconstitution visuelle de la Tour Eiffel est également bien gérée, c'est assez bien rendu et les effets spéciaux sont de qualités. Malheureusement, toute cette histoire autour de cette romance vient considérablement ralentir le rythme du film et vient empiéter sur ce qui est vraiment intéressant à suivre. Que l'on se le dise, cette romance n'a rien d'extraordinaire, elle est tout ce qu'il y a de plus basique. Si les deux acteurs jouent bien leurs rôles, leurs échanges sont très banals et n'ont rien de vraiment intéressants, sachant que cette histoire n'existe même pas. Tout cela a été inventé pour le film, et je me demande donc bien qu'elle fût l'intérêt de cette idée. Pourquoi ne pas simplement faire un film sur la construction de la Tour Eiffel ? Je pense que ce point de départ peut être bien plus intéressant, même si cela peut paraître moins vendeur pour les studios qu'une petite histoire d'amour à l'eau de rose. Toutes les bonnes séquences du film tournent autour de cette construction, et elles sont toutes plutôt pas trop mal gérer. C'est prenant, parfois instructif et cela aurait dû constituer l'essentiel de l'histoire. C'est donc dommage d'avoir parasité un ensemble assez intéressant, par une histoire aussi basique. Pour conclure, une idée mal utilisée.
L'histoire n'a rien à voir avec la vraie histoire, pourtant incroyable de la Tour Eiffel. Mais ce n'est pas ça le problème. Le problème c'est que cette histoire-là n'est pas crédible une seule seconde. Personne n'est convainquant et tout est cliché. Dialogues, situation, jeu (pourtant de grands acteurs), musique (pourtant quel exceptionnel compositeur)... Il n'y a que les costumes et les images qui sont belles.
Duris est excellent... quand il est servi par un scénario solide ( cf Molière, un régal ! ) le problème dans Eiffel est qu'on ne sait que penser de cette idylle chaotique avec Adrienne ( pourquoi le choix de cette actrice qui n'a aucun charisme ? ) et qu'on attend impatiemment la fin de cet agaçant marivaudage pour se passionner sur la Tour, trop rarement filmée.
Un film sur la construction et les péripéties de notre dame de fer, il est touchant,beau, les acteurs sont assez bons, et certains plans méritent d'avantage de visibilité ! La bande son est agréable, quelques minutes en plus auraient été appréciée, enfin bref ! Je recommande !
Une romance avec un petit peu de Tour Eiffel. Je ne m'attendais pas trop à cette fausse histoire sur la construction de la Tour. Généralement, modifier des événements ne me dérange pas, mais ça n'a pas fonctionné avec celui-ci.
Les Histoires d'amour commencent et se termine à Paris, telle est la définition de Paris dans son histoire ! Dans ce film mélangeant Biopic (Histoire de Gustave Eiffel) et la romance inventé entre les personnages de Gustave Eiffel (incarné par Romain Duris), et le personnage de Adrienne Bourgès, (incarné ici par Emma Mackey), rendent ce film magnifique ! Une très belle histoire romantique, L'histoire d'amour se construit en même temps que la Tour Eiffel ! Film excellent !
Un des plus beau et touchant film d amour que j ai vu avec le fabuleux destin de Gustave Eiffel, trop rare ce genre de film historique comme Titanic d ailleurs .
Il y a tant à dire sur Gustave Eiffel, cette légende française, que dédier son biopic a son histoire d’amour a de quoi décevoir. On adore Romain Duris, on est ravie de découvrir enfin sur grand écran la belle Emma Mackey, l’histoire d’amour est poignante mais voulait-on réellement voir cela ? Les passages les plus intéressants du film concernent justement toute la mécanique mise en place pour permettre l’élévation de l’édifice. Les prouesses technologiques nous passionnent mais tout cela passe au second plan derrière cet amour compliquée. Il y avait finalement dans ce script de quoi faire deux très bons films, le rendu est amer.
Très beau film. Les Acteurs principaux au top.
Les images un peu sombre mais d’époque.
A hauteur de mon espérance.
Les images un peu sombre mais d’époque.
A hauteur de mon espérance.
Film instructif l histoire d amour meme si elle est romancee apporte de la legerete au film qui sans cela serait devenu un suivi de chantier. Romain DURIS est tres bon comme toujours. Film captivant et emouvant.
Une adaptation râtée
L'accomplissement cinématographique de 20 ans de négociations de la part de Caroline Bongrand, scénariste qui avait proposé son projet à Luc Besson et Olivier Dahan avant de le voir se concrétiser sous la caméra de Martin Bourboulon.
Dans le Paris de 1889, Gustave Eiffel (Romain Duris) retrouve par le plus grand des hasards un amour de jeunesse, Adrienne (Emma Mckey). Plusieurs paris rythment cette histoire inspirée de faits réels : les caissons étanches vus comme prouesse technique, une femme cocu prête à tout laisser pour un amour impossible, un dîner décisif avec le Ministre du commerce, le contrat obtenu auprès de la ville de Paris pour 20 ans, des grèves d'ouvriers sur le chantier... même si les décors pauvres ne reflètent pas ce faste dans des images trop sombres, les costumes rattrapent un peu cette fin de siècle. La forme de la Tour Eiffel serait en réalité une référence à la première lettre de cet amour perdu.
L'accomplissement cinématographique de 20 ans de négociations de la part de Caroline Bongrand, scénariste qui avait proposé son projet à Luc Besson et Olivier Dahan avant de le voir se concrétiser sous la caméra de Martin Bourboulon.
Dans le Paris de 1889, Gustave Eiffel (Romain Duris) retrouve par le plus grand des hasards un amour de jeunesse, Adrienne (Emma Mckey). Plusieurs paris rythment cette histoire inspirée de faits réels : les caissons étanches vus comme prouesse technique, une femme cocu prête à tout laisser pour un amour impossible, un dîner décisif avec le Ministre du commerce, le contrat obtenu auprès de la ville de Paris pour 20 ans, des grèves d'ouvriers sur le chantier... même si les décors pauvres ne reflètent pas ce faste dans des images trop sombres, les costumes rattrapent un peu cette fin de siècle. La forme de la Tour Eiffel serait en réalité une référence à la première lettre de cet amour perdu.
On parle de la construction d'une légende et on perd 50 % du film dans une histoire d amour. Quel gâchis.
Un film très attendu, et longtemps reporté à cause du Covid. Une attente pour un “biopic” qui laissait de belles promesses : une reconstitution du Paris du XIXe, un Romain Duris en Gustave Eiffel, la première apparition au cinéma d’une grande espoir du cinéma français et mondial, Emma Mackey (qui s’est faite connaître à l’international pour son rôle dans l’excellente Sex Education). Et bien sûr, le personnage le plus mythique de Paris : la Tour Eiffel.
Une attente légèrement déçue par le fait qu’il s’agit davantage d’une romance que de la construction de la tour Eiffel. Cette construction n’est qu’un prétexte, un arrière-plan pour développer cette histoire d’amour. Cela n’en reste pas moins un film visuellement réussi. Les décors et costumes sont magnifiques, la musique est confiée au brillant Alexandre Desplat qui accompagne parfaitement des images qui ont de la gueule.
Quelques scènes restent marquantes, comme celle de la jonction entre les deux pieds de la Tour.
Un film qui nous donne donc envie de plonger dans ce Paris de la révolution industrielle, même si on sort un poil déçu en se disant que le film aurait pu être une grande claque s’il s’était davantage concentré sur l’aspect historique. Ici il reste en surface sur l’origine de sa construction, sur la réticence des contemporains et notamment des Parisiens à sa construction.
Cela n’en reste pas moins une belle répétition pour Martin Bourboulon avant de s’attaquer au géant Trois Mousquetaires dans lequel on retrouvera Duris.
Une toute nouvelle chaîne YouTube dédiée au cinéma est disponible ici : www.youtube.com/@flim.
Venez écouter les plus belles histoires et anecdotes du 7e art !
Une attente légèrement déçue par le fait qu’il s’agit davantage d’une romance que de la construction de la tour Eiffel. Cette construction n’est qu’un prétexte, un arrière-plan pour développer cette histoire d’amour. Cela n’en reste pas moins un film visuellement réussi. Les décors et costumes sont magnifiques, la musique est confiée au brillant Alexandre Desplat qui accompagne parfaitement des images qui ont de la gueule.
Quelques scènes restent marquantes, comme celle de la jonction entre les deux pieds de la Tour.
Un film qui nous donne donc envie de plonger dans ce Paris de la révolution industrielle, même si on sort un poil déçu en se disant que le film aurait pu être une grande claque s’il s’était davantage concentré sur l’aspect historique. Ici il reste en surface sur l’origine de sa construction, sur la réticence des contemporains et notamment des Parisiens à sa construction.
Cela n’en reste pas moins une belle répétition pour Martin Bourboulon avant de s’attaquer au géant Trois Mousquetaires dans lequel on retrouvera Duris.
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