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Jean-Michel V
2 critiques
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2,0
Publiée le 24 octobre 2021
Une grosse production, mais un scenario quasi inexistant . Le résultat est décevant et en dehors de quelques informations techniques sur la construction de la tour il n'y a pas grand chose d'autre qu'une histoire d'amour pas vraiment palpitante.
Un film magnifique ! Une histoire d'amour très belle et qui trouve totalement sa place au milieu de la grande Tour ! J'ai vraiment passé un super moment devant ce film. Tout amoureux de Paris s'y retrouvera forcément ! Bravo !
Quel plaisir de retourner au cinéma et de profiter de ce style de film sur grand écran ! Un chef d'œuvre d'esthétisme . J'ai adoré le point de vue : ce qui se passe dans l'intime donne lieu à l'action et à la réalisation. Et les 2 acteurs sont parfaits.
Film aussi décevant que mauvais. Fantasmes historiques, nombreuses erreurs anachroniques. Scénario bidon et amourette ronflante. On aurait rêvé découvrir le Paris de la Belle Époque... on a droit à la place à un Paris mielleux avec un Romain Duris à côté de la plaque et dans l'ensemble des effets visuels ratés. Tellement pas à la hauteur du sujet.
Ai vu "Eiffel" de Martin Bourboulon. Ce film est un monument de tout ce qu'il ne faut pas faire au cinéma... en cela c'est un chef-d'oeuvre et tous les étudiants de la FEMIS devraient en faire leur film de chevet. Un scénario qui n'a ni queue ni tête, où le spectateur en apprend plus sur la vie amoureuse et sexuelle de l'Ingénieur que sur ses réalisations en acier. Les trois-quart du film sont vampirisés par une histoire d'amour tiédasse et maladroite avec moult flash-back voir flash-back dans le flash-back totalement bancals qui de plus n'est que pure invention de scénariste. La Tour Eiffel aurait la forme d'un A majuscule car Gustave était amoureux d'Adrienne Bourgès... on se plait à remercier le bon Dieu que la belle ne se soit pas prénommée Ginette car une tour en forme de G Majuscule aurait été une gageure architecturale. Martin Bourbelon n'ayant pas les moyens financiers et cinématographiques de s'attacher à la grande histoire (redorer le blason de la France après la défaite de Sedan, le passage du XIXème à l'ère de l'industrialisation...) perd son temps et le notre à s'embourber dans une petite historiette à l'eau de rose. Les personnages sont à peine esquissés au point que l'on a souvent la sensation de voir un film avec Gustave Duris déguisé en Arsène Lupin. Emma Mackey dont le visage ne prend aucune ride lors des vingt années passées, dans un jeu totalement contemporain sabote toutes les scènes qui se passent à table... on ne peut imaginer jeune fille de la haute société bordelaise du XIXème siècle manger et boire le coude sur la table habillée en garçon. Ce personnage de jeune fille qspoiler: ui se veut affranchie de ses parents, de la société et rentrant au bercail dès que son mari lui fait les gros yeux... est écrit à coup de serpe et n'est absolument pas crédible. L 'interprétation assez fade de l'actrice ne fait qu'enfoncer le rivet. A ce jeu de chamboule-tout seul Pierre Deladonchamps ressort sain et sauf de l'aventure. Le metteur en scène probablement conscient de la platitude de son scénario essaye mais en vain de donner du souffle en remuant sa caméra de gauche à droite et de haut en bas, mais en aucun cas cela ne peut s'appeler de la mise en scène. Les personnages dansent... la caméra tourne et donne le tournis, Eiffel tombe à terre, la caméra suit le même mouvement, Eiffel se déplace de son bureau à une maquette qui est à 1 mètre de lui, la caméra fait un double axel piqué... On n'échappera pas au baiser du couple maudit sur les hauteurs du monument en contre jour d'un coucher de soleil... grotesque tant il nous fait penser à Titanic. On ne parlera pas de la fausse scène de noyade tant c'est une idée éculée, ridicule en plus d'être mal réalisée. Alexandre Desplat se fend d'une partition sans aucune inspiration. Les seules scènes dignes d'intérêt et plutôt bien réalisés sont celles dans les ateliers et sur le chantier mais cela représente tellement peu de minutes dans ce film d'1h49. Ce film à alibi culturel loupe totalement sa cible au point que la scénariste et écrivaine Caroline Bongrand ne reconnaissant plus son projet d'origine sur l'écran s'en est dédouanée lors d'interviews, tout comme Eiffel n'y reconnaîtrai pas une seconde sa vie professionnelle et sentimentale.
EIFFEL (2021): Un amour ressurgissant du passé, en toile de fond, la construction de la Dame de Fer entourée d'une effervescence populaire et politique. Une bande annonce braquant ses projecteurs sur cette grande aventure qu'était la construction de la Tour Eiffel. Beaucoup comme moi seront déçus, pensant voir un grand film document fiction d'époque. Certes, cette grande entreprise sera évoquée avec ses aspects techniques, mais ne sera pas mise en lumière comme je l'espérais. La réalisation préfèrera s'orienter vers cette union entre Gustave Eiffel et Adrienne Bourgès, une sombre histoire romantique. Une très belle prestation de Romain Duris dans le rôle de Gustave Eiffel, un homme écorché par les sentiments et écrasé par les responsabilités. Adrienne, jouée par Emma Mackey, un bon choix pour le charme de cette histoire. Le film est bien réalisé, bien interprété, mais ne fera pas assez briller la construction de cet emblème français qui aurait dû être la grande star de cette histoire.
Un temps hors du temps, un film poétique, historique, on voyage dans le temps et avec le coeur des personnages. Cela faisait longtemps qu'il film français ne m'avais pas fait cet effet.
On est embarqué dans le Paris du 19ème siècle à la limite du steampunk. La lumière et la photographie nous émerveillent, on y est. Dans les rôles principaux, Romain Duris et Emma Mackey sont parfaits, on se noie dans les yeux d'Emma. Ce film nous fait tourner la tête spoiler: comme leur valse . A voir au cinéma.
Mais quelle déception ! Sur 1h49 que dure le film, les personnages principaux se roulent des pelles pendant 1h30. Je savais que ce serait romancé mais pas à ce point. Tout ce qui m'intéressait vraiment: les aspects techniques, le contexte historique, la condition des ouvriers, la campagne de dénigrement des intellectuels est saupoudré de manière bébête. Quant au Paris d'époque, on ne s'est pas fait chier: on a tourné à Paris puis on a flouté. Au final, ce film est trop érotique pour les enfants et trop mièvre pour les adultes.
un film qui parle de Gustave EIFFEL mais pas assez de la tour... dommage cela aurait pu être un bon film historique mais ce n'est finalement qu'un film d'amour
Beauté des décors et de l'image. Emma Mackey apporte de l'intensité au film là où son personnage peut parfois paraitre fade. Abondance de scènes sans dialogues qui créent des longueurs par moment. Une fin trop rapide Film qui reste à voir pour son personnage principal (qui passe parfois au second plan...) : la tour eiffel