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30 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
Entre intime et spectaculaire, cette fresque « à la française » est une réussite.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
CNews
par La rédaction
Plus qu’un biopic, « Eiffel » est avant tout une aventure romanesque qui révèle le côté à la fois romantique et visionnaire de son héros passionné.
La Croix
par Corinne Renou-Nativel
Le beau travail sur la lumière et l’énergie de ses interprètes, Romain Duris et Emma Mackey, évitent le piège de la reconstitution poussiéreuse.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
La Voix du Nord
par Christophe Caron
Sans doute que le film ne sent pas assez la sueur et la graisse mécanique. Mais il renoue avec un cinéma français ambitieux, populaire et généreux.
La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord
Le Parisien
par La Rédaction
Incarnée par les très glamour Romain Duris et Emma Mackey, actrice franco-britannique révélée par la série « Sex Education », cette aventure jalonnée de rebondissements bénéficie de décors sublimes : dans un Paris brumeux, le chantier de la tour Eiffel y est magnifiquement reconstitué.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Ouest France
par Gilles Kerdreux
Dans une belle reconstitution historique du Paris de la fin du 19e siècle, la folle épopée technologique est passionnante. La trame amoureuse moins, au-delà du talent de Romain Duris et Emma Mackey. Mais ça reste du cinéma de qualité.
Paris Match
par Fabrice Leclerc
Un film ample et réussi où Martin Bourboulon sait faire la part des choses entre romance, intimité et grand spectacle, genre qu’il domine comme peu dans le cinéma français.
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Première
par Thierry Chèze
Dans les rôles principaux, Romain Duris et Emma Mackey font des étincelles. Leur alchimie donne le la du récit.
La critique complète est disponible sur le site Première
Public
par Sarah Lévy
Les costumes et la musique sont canons. On plonge immédiatement dans le Paris du 19ème siècle.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Un grand film populaire.
Télé Loisirs
par Gwenola Trouillard
Dommage que la passion contrariée du créateur pour sa muse fasse passer au second plan la construction de la Dame de fer. Les scènes de chantier sont pourtant parmi les plus réussies et les plus spectaculaires de cette épopée monumentale dans tous les sens du terme.
Voici
par La Rédaction
Un fil (de fer) très mince, autour duquel s'enroule, comme une barbe à papa, une grande fresque romantique et joliment spectaculaire.
Femme Actuelle
par La Rédaction
Un histoire d'amour avec un grand A, certes, mais tout de même un peu envahissante. A voir pour l'émerveillement que procure la sortie du sol de la tour.
Franceinfo Culture
par Jacky Bornet
La frustration est grande de voir le film se détourner de la construction de la tour une fois le premier étage achevé. La romance grignote le récit jusqu’à cet arrêt brutal, pour enchaîner directement sur le triomphe de l’inauguration en 1889.
La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Martin Bourboulon privilégie le romantisme tragique en insérant une intrigue sentimentale de fiction au cœur de faits réels. Cela peut déranger mais l'alchimie entre Emma Mackey et Romain Duris, héros tourmenté, fonctionne bien.
La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche
Le Point
par Jean-Luc Wachthausen
Un drame romantique habilement réalisé.
Marie Claire
par Emily Barnett
Raconter la naissance d'un mythe national à travers un drame amoureux : c'est le pari fait par cette production, calibrée mais élégante, avec un Romain Duris plein d'énergie.
aVoir-aLire.com
par Claudine Levanneur
Ni biopic, ni documentaire, Eiffel est avant tout une comédie romantique assumée qui décevra les amateurs de prouesses techniques, mais réjouira les aficionados d’aubades enflammées.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
Closer
par La Rédaction
Une sorte de comédie romantique aux effets spéciaux bluffants, qui délaisse hélas son vrai personnage principal, la Tour, au profit d'une histoire d'amour interdite qui peine à prendre de la hauteur.
Critikat.com
par Josué Morel
Le récit semble dès le départ corseté, animé par une flamme dont il n’ose s’approcher qu’à moitié, pour un résultat inopérant autant sur le plan du film historique que sur celui de la romance entravée.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Dernières Nouvelles d'Alsace
par Nathalie Chifflet
C’est bien beau, mais c’est terriblement ennuyeux. La tour Eiffel est renvoyée à son image de carte postale, qui en a fait le décor d’innombrables demandes en mariage : Martin Bourboulon ne lésine pas sur le grand mélo cliché de la romance.
L'Obs
par Nicolas Schaller
La photo est soignée, Emma Mackey (de la série « Sex Education »), très bien, mais le film est ripoliné, love story cosmétique, sans souffle ni personnalité. A l’image de Romain Duris, en pilotage automatique.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Le Dauphiné Libéré
par Nathalie Chifflet
Voilà donc une nouvelle couche de romanesque sur la légende Eiffel, par un cinéma qui joue la corde sensible et la corde sociale revendicative. Eiffel est mû à la fois par le dépit amoureux et la revanche de classe.
Le Figaro
par Etienne Sorin
Eiffel, c’est un peu Titanic sans le Titanic. Une love story sans véritable drame ni enjeu ni James Cameron.
La critique complète est disponible sur le site Le Figaro
Le Monde
par Véronique Cauhapé
Dans ce décor minutieusement reconstitué, Romain Duris et Emma Mackey ressemblent à deux figurants pour une publicité sur Paris dans une romance qui prend le pas sur le biopic.
Cahiers du Cinéma
par Pierre Eugène
Dans ce film téléologique qui survend le fait que la tour Eiffel deviendra icône, tout est rétro, sauf les dialogues. Le format Scope, peu propice à filmer la verticalité, interroge. C'est qu'il s'agit d'observer laugouresement la valse des sentiments au coeur du gros oeuvre.
Les Echos
par Olivier De Bruyn
Hélas, le cinéaste ne parvient jamais à sublimer son passionnant sujet.
La critique complète est disponible sur le site Les Echos
Les Inrockuptibles
par Théo Ribeton
Eiffel fait l’erreur de vouloir trop séduire, et trop vulgairement : rajeunir le personnage de vingt ans pour le filmer comme un mannequin, abuser d’ornementations boostées aux effets spéciaux, faisant quasiment ployer le film sous la quincaillerie steampunk, tout cela au prétexte bien commode et grossier de faire “moderne”.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Marianne
par Olivier De Bruyn
Académisme à tous les étages de la tour Eiffel : incarné par un Romain Duris des mauvais jours, ce pâle biopic s’abîme dans la reconstitution poussiéreuse et ne suscite aucun vertige.
La critique complète est disponible sur le site Marianne
Télérama
par Marie Sauvion
Cet ambitieux récit néglige son sujet au profit d’une romance stéréotypée. Et la fiction sonne creux.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
20 Minutes
Entre intime et spectaculaire, cette fresque « à la française » est une réussite.
CNews
Plus qu’un biopic, « Eiffel » est avant tout une aventure romanesque qui révèle le côté à la fois romantique et visionnaire de son héros passionné.
La Croix
Le beau travail sur la lumière et l’énergie de ses interprètes, Romain Duris et Emma Mackey, évitent le piège de la reconstitution poussiéreuse.
La Voix du Nord
Sans doute que le film ne sent pas assez la sueur et la graisse mécanique. Mais il renoue avec un cinéma français ambitieux, populaire et généreux.
Le Parisien
Incarnée par les très glamour Romain Duris et Emma Mackey, actrice franco-britannique révélée par la série « Sex Education », cette aventure jalonnée de rebondissements bénéficie de décors sublimes : dans un Paris brumeux, le chantier de la tour Eiffel y est magnifiquement reconstitué.
Ouest France
Dans une belle reconstitution historique du Paris de la fin du 19e siècle, la folle épopée technologique est passionnante. La trame amoureuse moins, au-delà du talent de Romain Duris et Emma Mackey. Mais ça reste du cinéma de qualité.
Paris Match
Un film ample et réussi où Martin Bourboulon sait faire la part des choses entre romance, intimité et grand spectacle, genre qu’il domine comme peu dans le cinéma français.
Première
Dans les rôles principaux, Romain Duris et Emma Mackey font des étincelles. Leur alchimie donne le la du récit.
Public
Les costumes et la musique sont canons. On plonge immédiatement dans le Paris du 19ème siècle.
Télé 7 Jours
Un grand film populaire.
Télé Loisirs
Dommage que la passion contrariée du créateur pour sa muse fasse passer au second plan la construction de la Dame de fer. Les scènes de chantier sont pourtant parmi les plus réussies et les plus spectaculaires de cette épopée monumentale dans tous les sens du terme.
Voici
Un fil (de fer) très mince, autour duquel s'enroule, comme une barbe à papa, une grande fresque romantique et joliment spectaculaire.
Femme Actuelle
Un histoire d'amour avec un grand A, certes, mais tout de même un peu envahissante. A voir pour l'émerveillement que procure la sortie du sol de la tour.
Franceinfo Culture
La frustration est grande de voir le film se détourner de la construction de la tour une fois le premier étage achevé. La romance grignote le récit jusqu’à cet arrêt brutal, pour enchaîner directement sur le triomphe de l’inauguration en 1889.
Le Journal du Dimanche
Martin Bourboulon privilégie le romantisme tragique en insérant une intrigue sentimentale de fiction au cœur de faits réels. Cela peut déranger mais l'alchimie entre Emma Mackey et Romain Duris, héros tourmenté, fonctionne bien.
Le Point
Un drame romantique habilement réalisé.
Marie Claire
Raconter la naissance d'un mythe national à travers un drame amoureux : c'est le pari fait par cette production, calibrée mais élégante, avec un Romain Duris plein d'énergie.
aVoir-aLire.com
Ni biopic, ni documentaire, Eiffel est avant tout une comédie romantique assumée qui décevra les amateurs de prouesses techniques, mais réjouira les aficionados d’aubades enflammées.
Closer
Une sorte de comédie romantique aux effets spéciaux bluffants, qui délaisse hélas son vrai personnage principal, la Tour, au profit d'une histoire d'amour interdite qui peine à prendre de la hauteur.
Critikat.com
Le récit semble dès le départ corseté, animé par une flamme dont il n’ose s’approcher qu’à moitié, pour un résultat inopérant autant sur le plan du film historique que sur celui de la romance entravée.
Dernières Nouvelles d'Alsace
C’est bien beau, mais c’est terriblement ennuyeux. La tour Eiffel est renvoyée à son image de carte postale, qui en a fait le décor d’innombrables demandes en mariage : Martin Bourboulon ne lésine pas sur le grand mélo cliché de la romance.
L'Obs
La photo est soignée, Emma Mackey (de la série « Sex Education »), très bien, mais le film est ripoliné, love story cosmétique, sans souffle ni personnalité. A l’image de Romain Duris, en pilotage automatique.
Le Dauphiné Libéré
Voilà donc une nouvelle couche de romanesque sur la légende Eiffel, par un cinéma qui joue la corde sensible et la corde sociale revendicative. Eiffel est mû à la fois par le dépit amoureux et la revanche de classe.
Le Figaro
Eiffel, c’est un peu Titanic sans le Titanic. Une love story sans véritable drame ni enjeu ni James Cameron.
Le Monde
Dans ce décor minutieusement reconstitué, Romain Duris et Emma Mackey ressemblent à deux figurants pour une publicité sur Paris dans une romance qui prend le pas sur le biopic.
Cahiers du Cinéma
Dans ce film téléologique qui survend le fait que la tour Eiffel deviendra icône, tout est rétro, sauf les dialogues. Le format Scope, peu propice à filmer la verticalité, interroge. C'est qu'il s'agit d'observer laugouresement la valse des sentiments au coeur du gros oeuvre.
Les Echos
Hélas, le cinéaste ne parvient jamais à sublimer son passionnant sujet.
Les Inrockuptibles
Eiffel fait l’erreur de vouloir trop séduire, et trop vulgairement : rajeunir le personnage de vingt ans pour le filmer comme un mannequin, abuser d’ornementations boostées aux effets spéciaux, faisant quasiment ployer le film sous la quincaillerie steampunk, tout cela au prétexte bien commode et grossier de faire “moderne”.
Marianne
Académisme à tous les étages de la tour Eiffel : incarné par un Romain Duris des mauvais jours, ce pâle biopic s’abîme dans la reconstitution poussiéreuse et ne suscite aucun vertige.
Télérama
Cet ambitieux récit néglige son sujet au profit d’une romance stéréotypée. Et la fiction sonne creux.