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La trame est sommaire (ramener la reine au bercail), mais le concept assez fort pour faire tenir le film droit dans ses bottes. La force du film repose sur une constante réinvention de ces quatre héroïnes déguisées en hommes.
Car Toutes pour une s’écarte du genre de la cape et d’épée pour évoluer tantôt en comédie, tantôt en drame, et se finissant même en western. Ce qui occasionne des pertes de rythme, mais ce qui permet au film de trouver son identité en abordant son sujet de fond, la place de la femme dans une société masculine.
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi. Mais certaines scènes valent le détour.
La critique complète est disponible sur le site Le Parisien
Après Divines, Houda Benyamina signe une surprenante relecture féministe du roman de Dumas. En partie maladroite mais pleine de panache, elle est servie par un superbe quatuor de comédiennes.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Houda Benyamina ne manque pas d'audace, mais de finesse si, notamment dans son humour voué à appuyer un propos féministe qui cède à la misandrie au risque du ridicule.
En fait de brûlot féministe, Toutes pour une se veut un objet parfaitement prévisible et formaté, dont on ne retiendra que son parterre d’actrices qui se donnent beaucoup du mal pour donner un peu d’épaisseur à cette dissertation.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Relecture des Trois mousquetaires au féminin, ou relecture de "Divines" à la mode du XVIIe siècle, le nouveau film de Houda Benyamina se rêve en brûlot furieusement fun et rageusement féministe, mais peine à trouver la bonne énergie.
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure en costumes dans de très beaux paysages d’Occitanie et de Méditerranée, la promesse est engageante mais le film, lui, est étrangement atone et inoffensif.
La critique complète est disponible sur le site Libération
["Toutes pour une"] ne mérite vraiment pas les torrents de haine déversés en ligne [...]. Il serait néanmoins tout aussi mensonger d'y voir une réussite éclatante. La faute à des dialogues à cheval entre classicisme et modernité mal digérée, trop écrits et encore plus démonstratifs, avec lesquels le quatuor d'actrices principales se débat tant bien que mal.
Au final, malgré le côté moderne des combats, mêlant épée et poings, une seule scène se distingue comme percutante. [...] Le reste fait flop régulièrement. [...] Ajoutez à cela des chansons modernes qui ne servent à rien et un choix d'éclairage naturel qui rend nombre de scènes illisibles et on est pas passé loin du désastre total.
La critique complète est disponible sur le site Abus de Ciné
La transposition manque d’allant, la féminisation de l’intrigue est écrite sans nuances ni distinction. Les scènes de duels pâtissent d’un montage à la serpe émoussée et le souffle promis dans la séquence d’ouverture retombe irrémédiablement.
La critique complète est disponible sur le site L'Obs
Romanesque gommé, dialogues et musique modernes, féminisme surligné, la satire vire à la caricature. Parfois même à la prétention. Reste un quatuor d’actrices fortes, dont l’épatante Sabrina Ouazani, pour sauver ce qui reste d’une tentative ratée. Certains l’aiment tiède…
La critique complète est disponible sur le site Paris Match
Du plaidoyer féministe au western spaghetti, du message politique à la farce. La confusion règne ici en maître. Avec en plus d’énormes soucis de dialogues sur- signifiants et de rythme.
La critique complète est disponible sur le site Première
Seule Deborah Lukumuena, déchaînée et souvent drôle en Portau (re-sic), parvient à tirer son épingle de ce mauvais jeu. Toutes pour une ? Pas pour nous !
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Marie Claire
La trame est sommaire (ramener la reine au bercail), mais le concept assez fort pour faire tenir le film droit dans ses bottes. La force du film repose sur une constante réinvention de ces quatre héroïnes déguisées en hommes.
Dernières Nouvelles d'Alsace
Une relecture potache et féministe des "Trois Mousquetaires".
Le Dauphiné Libéré
Car Toutes pour une s’écarte du genre de la cape et d’épée pour évoluer tantôt en comédie, tantôt en drame, et se finissant même en western. Ce qui occasionne des pertes de rythme, mais ce qui permet au film de trouver son identité en abordant son sujet de fond, la place de la femme dans une société masculine.
Le Parisien
Le rythme faiblit en cours de route et les péripéties avec la reine n’ont aucun intérêt — en dehors d’une séquence de coït assez drôle avec le roi. Mais certaines scènes valent le détour.
Les Inrockuptibles
Un film d’aventure foutraque, mais amusant.
Télé Loisirs
Une quête de liberté qui n'a pas la force du premier film d'Houda Benyamina. Reste la chaleureuse complicité des actrices.
La Croix
Après Divines, Houda Benyamina signe une surprenante relecture féministe du roman de Dumas. En partie maladroite mais pleine de panache, elle est servie par un superbe quatuor de comédiennes.
Le Journal du Dimanche
Houda Benyamina ne manque pas d'audace, mais de finesse si, notamment dans son humour voué à appuyer un propos féministe qui cède à la misandrie au risque du ridicule.
Le Monde
En fait de brûlot féministe, Toutes pour une se veut un objet parfaitement prévisible et formaté, dont on ne retiendra que son parterre d’actrices qui se donnent beaucoup du mal pour donner un peu d’épaisseur à cette dissertation.
Les Fiches du Cinéma
Relecture des Trois mousquetaires au féminin, ou relecture de "Divines" à la mode du XVIIe siècle, le nouveau film de Houda Benyamina se rêve en brûlot furieusement fun et rageusement féministe, mais peine à trouver la bonne énergie.
Libération
Projet féministe et inclusif qui cherche à renouveler ou bousculer les critères de ce que peut être une fiction d’aventure en costumes dans de très beaux paysages d’Occitanie et de Méditerranée, la promesse est engageante mais le film, lui, est étrangement atone et inoffensif.
Mad Movies
["Toutes pour une"] ne mérite vraiment pas les torrents de haine déversés en ligne [...]. Il serait néanmoins tout aussi mensonger d'y voir une réussite éclatante. La faute à des dialogues à cheval entre classicisme et modernité mal digérée, trop écrits et encore plus démonstratifs, avec lesquels le quatuor d'actrices principales se débat tant bien que mal.
Abus de Ciné
Au final, malgré le côté moderne des combats, mêlant épée et poings, une seule scène se distingue comme percutante. [...] Le reste fait flop régulièrement. [...] Ajoutez à cela des chansons modernes qui ne servent à rien et un choix d'éclairage naturel qui rend nombre de scènes illisibles et on est pas passé loin du désastre total.
Critikat.com
Indigent.
Ecran Large
C’est très moche, très bête et très mal joué. Un improbable coup d’épée dans l’eau.
L'Obs
La transposition manque d’allant, la féminisation de l’intrigue est écrite sans nuances ni distinction. Les scènes de duels pâtissent d’un montage à la serpe émoussée et le souffle promis dans la séquence d’ouverture retombe irrémédiablement.
Le Figaro
La relecture des Trois mousquetaires par la réalisatrice Houda Benyamina se révèle aussi nécessaire que l’écriture inclusive.
Paris Match
Romanesque gommé, dialogues et musique modernes, féminisme surligné, la satire vire à la caricature. Parfois même à la prétention. Reste un quatuor d’actrices fortes, dont l’épatante Sabrina Ouazani, pour sauver ce qui reste d’une tentative ratée. Certains l’aiment tiède…
Première
Du plaidoyer féministe au western spaghetti, du message politique à la farce. La confusion règne ici en maître. Avec en plus d’énormes soucis de dialogues sur- signifiants et de rythme.
Télérama
Seule Deborah Lukumuena, déchaînée et souvent drôle en Portau (re-sic), parvient à tirer son épingle de ce mauvais jeu. Toutes pour une ? Pas pour nous !